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Velo Electrique : Tout Savoir Sur Le Vélo à Assistance électrique

Véritable moyen de déplacement du futur, les vélos continuent de séduire de plus en plus de personnes. En plus de son concept écologique et de son aspect pratique, ce mode de transport dispose aussi d’un aspect élégant. Le vélo à assistance électrique (VAE) est un type de vélo, dont l’assistance électrique constitue la principale caractéristique. Celle-ci intervient pour augmenter la puissance déjà fournie par le cycliste, ce qui facilite considérablement la conduite. Comparés aux autres modes de transport, les VAE disposent d’avantages intéressants et considérables.

Comment reconnaître un VAE ?

Un vélo à assistance électrique est un type de vélo équipé d’un moteur électrique, dont l’alimentation est assurée par une batterie en lithium rechargeable. Le moteur assiste le cycliste dans son pédalage, ce qui en constitue le principal avantage. Grâce à un système de capteurs, le moteur se met en marche dès que le cycliste actionne le pédalier et s’arrête dès que le cycliste s’arrête. Il ne dispose d’aucun autre système qui lui permettrait d’avancer sans pédaler. Un VAE homologué est un choix judicieux pour rouler sur la voie publique ou sur une piste cyclable. En ce qui concerne le confort, celui-ci est principalement déterminé par les composants du véhicule. Contrairement aux idées reçues, les VAE ne sont pas uniquement réservés aux personnes ayant des difficultés physiques ni aux personnes âgées. Au contraire, ils conviennent à tout le monde et pour tout type de trajet.

Quelle vitesse pour un vélo à assistance électrique ?

La vitesse en kilomètre des VAE est restreinte à 25 par heure en France sauf s’agissant des speed bikes dont la vitesse peut atteindre les 45 km/h. La catégorie dont la vitesse est limitée à 25 km est recommandée si vous vivez dans une grande agglomération. Une fois que vous avez atteint cette vitesse, le moteur du vélo va s’arrêter. En revanche, un speed bike sera mieux adapté dans les cas où vous prévoyez de parcourir de longs trajets sur des routes dégagées. Le speed bike est un type de vélomotorisé, dont le moteur a été débridé. Ces véhicules ne sont en revanche plus considérés comme des bicyclettes classiques, mais comme des cyclomoteurs. C’est pour cette raison d’ailleurs que la réglementation des cyclomoteurs leur est applicable.

Quelle est la différence entre un VAE et un vélo électrique ?

De prime abord, il faut noter que la spécificité d’un VAE réside dans le caractère électrique de l’assistance. Ce n’est donc pas le vélo en soi qui est électrique, mais l’assistance grâce au moteur. À côté, plusieurs autres caractéristiques permettent également de distinguer un vélo à assistance électrique d’un vélo électrique classique. Le VAE s’arrête par exemple dès lors que le cycliste arrête de pédaler, ce qui n’est pas le cas d’un vélo électrique classique. C’est ce qu’on appelle le « pédalage assisté ». Cette caractéristique constitue un avantage important car elle permet de réaliser des économies sur l’autonomie de la batterie. Alors que la batterie d’un vélo électrique classique permet de faire une balade de 40 à 50 km, celle d’un VAE permet de parcourir un trajet allant jusqu’à 180 km.

Comment utiliser un vélo à assistance électrique ?

En principe, si vous savez utiliser un vélo classique, vous devez être en mesure de conduire un VAE, bien que celui-ci demande un minimum d’adaptation : adaptation notamment au comportement requis pour sa conduite et avoir l’habitude de vous approprier ses caractéristiques spécifiques telles que le poids et la vitesse. Il est également important d’avoir une bonne gestion de l’assistance par le moteur. Une fois que vous aurez compris les quelques spécificités du VAE, il ne vous sera plus difficile de le dompter.

Les vélos à assistance électrique conviennent très bien pour transporter des charges ou conduire des enfants. Ils sont également un excellent choix pour une circulation sécurisée au sein d’un trafic urbain. Pour assurer sa sécurité, le cycliste doit prendre en compte le fait que le VAE est plus rapide et plus lourd qu’un vélo classique. Il doit également garder en tête que le piéton a tendance à sous-estimer sa vitesse : par conséquent, le freinage doit être maîtrisé.

Quels sont les différents types de vélo à assistance électriques et comment choisir ?

Les vélos à assistance électrique existent sous plusieurs types, dont les principales catégories sont le vélo de ville, le VTC et le VTT à assistance électrique, le vélo de route, le vélo de randonnée et les vélos à assistance électrique rapide ou speed bikes. Le choix de la catégorie de VAE doit être principalement guidé par l’utilisation prévue en plus du budget.
Très pratique, le VAE s’adapte à différents usages et peut rouler à toute distance, en ville comme à la campagne. Il peut être utilisé pour un déplacement au travail ou au marché tout comme il convient pour une randonnée. Par ailleurs, le VAE remplace efficacement le transport en commun. Mise à part l’utilisation, d’autres critères sont à prendre en compte dans son choix, à savoir la qualité du produit, son design ainsi que ses caractéristiques telles que la vitesse et l’autonomie de la batterie.

Quel budget prévoir pour acheter un vélo électrique ?

Le VAE représente un budget conséquent pour ceux qui souhaitent s’en procurer. Avant tout, il est important de bien choisir le modèle adapté au besoin et à l’utilisation prévue. La plupart des modèles sont fabriqués en Europe et de très bonnes qualités. La marque joue également un grand rôle sur le prix d’un VAE.

À partir de 400 euros, il vous est possible d’acquérir un vélo pliant. Quant aux V.T.T électriques de gamme élevée, il faut compter jusqu’à plus de 15.000 euros. Lors de votre achat, ne perdez pas de vue les autres dépenses à prévoir telles que l’assurance, qui est indispensable dans les grandes villes. Aussi, il est conseillé d’acheter un antivol pour protéger votre moyen de transport lors de son stationnement et au parking.

Les questions d’entretien ne doivent pas non plus être prises à la légère. L’entretien d’un VAE est pratiquement le même que celui d’un vélo classique à la seule différence qu’il doit être effectué de manière plus régulière. Cela vaut surtout dans la mesure où vous l’utilisez souvent et à une vitesse élevée. Le pneu et les chaînes sont notamment les principaux éléments qui nécessitent d’être changés de manière assez régulière.

Quelles sont les aides à l’acquisition d’un VAE ?

Avec la démocratisation des vélos à assistance électrique, le pouvoir public veut faciliter l’accès à ce nouveau mode de transport qui vient remplacer la voiture. Pour cette raison, il existe aujourd’hui différentes aides à l’acquisition d’un VAE. Le « bonus vélo à assistance électrique » est par exemple une forme d’aide pour le financement d’une première acquisition de VAE. Un forfait mobilités durables est également offert aux salariés qui rejoignent leur travail à vélo. Enfin, certaines grandes villes fournissent des aides pour l’adaptation d’un kit de motorisation électrique sur un vélo « classique ».

Quels sont les avantages d’un vélo à assistance électrique ?

Les avantages d’un VAE sont nombreux comparés à d’autres modes de transport. Grâce à l’assistance, il est plus facile de se relancer de manière rapide et donc de trouver une vitesse proche de 20 km/h rapidement sans fournir un effort élevé. De même, il est moins dur de monter les côtes avec un VAE et l’assistance est d’une aide précieuse lorsqu’il y a du vent en face. En bref, ce mode de transport constitue un allié incomparable pour les déplacements même jusqu’à son lieu de travail. Par rapport aux transports en commun, un VAE permet d’éviter les affluences aux heures de pointe sans parler de son caractère respectueux de l’environnement.

Malakoff Humanis: le bien-être en entreprise, une priorité

Photo de Mimi Thian sur Unsplash

Le bien-être des salariés est une condition clé pour la performance des entreprises. Pourtant, il est trop souvent négligé par les employeurs. Malakoff Humanis, premier groupe de protection sociale, œuvre à remédier à cette situation.

L’Institut de l’Entreprise vient de publier la 3ème édition de son Baromètre sur la relation des Français à l’entreprise. Cette étude est réalisée en partenariat avec le cabinet d’études et de conseil Elabe, Veolia ainsi que Malakoff Humanis. Elle repose sur le témoignage de milliers d’employés et d’une dizaine de dirigeants. Parmi lesquels Enrique Martinez (Directeur général du Groupe Fnac-Darty), Estelle Brachlianoff (Directrice générale de Veolia) et Thomas Saunier (Directeur général de Malakoff Humanis).

L’entreprise, 3e acteur ayant le plus le pouvoir d’améliorer le monde

Il ressort de cette enquête que les Français ont globalement une bonne image des entreprises. En effet, 70% de nos concitoyens ont encore confiance en elles. C’est un niveau stable par rapport à la première enquête de 2017. Les sondés estiment aussi, à 67%, que l’entreprise a une place structurante dans leur vie. En outre, 58% d’entre eux la considèrent comme le 3e acteur qui a le plus le pouvoir d’améliorer le monde dans lequel on vit. Elle arrive derrière les citoyens eux-mêmes (67%) et les soignants (63%).

Des atteints fortes au niveau du bien-être au travail

Malgré cette opinion positive, les attentes des Français à l’égard des entreprises sont nombreuses. Trois thématiques se dégagent toutefois. En premier lieu, le besoin d’un meilleur partage de la valeur pour protéger le pouvoir d’achat dans ce contexte inflationniste. Ensuite, le souhait d’un engagement plus ferme dans la lutte contre la crise écologique. Enfin, le désir d’une meilleure attention au bien-être des salariés au travail. Par ailleurs, si les Français étaient des dirigeants d’entreprise, ce serait leur priorité n°1 à 78%.

Un Diagnostic santé des salariés chez Malakoff Humanis

Conscient qu’une bonne santé et qualité de vie au travail est indispensable à la performance d’une entreprise, le groupe Malakoff Humanis se positionne comme le meilleur allié des salariés. Dans ce cadre, il a conçu un ensemble de dispositifs et de solutions clé en main pour les PME afin de répondre aux enjeux de leur secteur d’activité. Il leur propose notamment un Diagnostic santé des salariés. Cet outil permet de réaliser un état des lieux complet de la perception qu’ils ont de leur santé, de leur bien-être et de la qualité de vie au travail.

Pour une maîtrise des dépenses de santé et prévoyance

En outre, l’assureur aide les organisations professionnelles à identifier de manière précise les facteurs de risques professionnels et personnels ainsi que les leviers prioritaires à activer. L’action de Malakoff Humanis contribue à maîtriser les dépenses de santé et prévoyance des entreprises. Mais également à améliorer la santé et la qualité de vie au travail, à augmenter l’efficacité et la motivation des salariés en les aidant en cas de difficulté. Près de 500 entreprises ont déjà adopté le service en ligne Diagnostic santé des salariés. Pour un total de 7 000 salariés ayant bénéficié du dispositif depuis son lancement.

Krispy Kreme bientôt en France

La chaîne américaine de restaurants connus pour ses beignets sucrés annonce son arrivée prochaine sur le territoire hexagonal, avec Paris comme point entrée.

Des donuts, terme américain francisé désignant ces beignets sucrés enrobés de glace, s’annoncent en France pour le plaisir ceux qui en raffolent. Et pour cause, un des meilleurs spécialistes de ce petit four, en l’occurrence la chaîne de restaurants Krispy Kreme, va bientôt s’installer enfin dans le pays.

Après une première annonce remontant à novembre 2022, le groupe américain compte notamment débarquer à Paris courant septembre 2023, selon des informations recueillies par BFM Business auprès du responsable de sa branche française Alexandre Maizoué.

L’enseigne à 1,5 milliard de dollars de chiffre d’affaires en 2022 a décidé de cibler la capitale française dans le cadre d’une stratégie plus large de pénétration du marché européen sur lequel elle reste théoriquement absente pour l’heure, en dehors de ses boutiques au Royaume-Uni.

Paris, porte d’entrée

Elle a pour ce faire, un plan déploiement en plusieurs étapes. Celui-ci consiste en la création à la fois de boutique, d’armoires et de kiosques entre autres dans des supermarchés, les aéroports, les centres commerciaux se trouvant sur le sol parisien.

À terme, l’entreprise espère compter jusqu’à cinq grands stands, 80 kiosques et 450 armoires à Paris ainsi que dans toute la région Île-de-France d’ici les cinq prochaines années. Avec des donuts vendus nus (sans supplément de glace) à trois euros l’unité, toujours selon les informations de BFM business.

« La France sera stratégique pour pénétrer le marché européen », confie Alexandre Maizoué, cité par le média français. Même si un maillage de tout le territoire hexagonal reste conditionné au succès de cette première installation à Paris.

Savoir-faire séculaire

La société majoritairement détenue par le groupe financier américain JAB Holdings ne compte en tout cas pas lésiner sur les moyens pour attirer les consommateurs franciliens. Elle prévoit notamment de proposer ses donuts sous le même mode qu’aux États-Unis. C’est-à-dire, des beignets concoctés surplace, devant le client.

Fort d’un savoir presque séculaire, Krispy Kreme créé en 1937 et dont les donuts ont servi à inciter de nombreux Américains à se faire vacciner lors de la pandémie du Covid-19, table sur une production de 270 douzaines beignets par heure.

« Je suis très excité à l’idée de pouvoir implanter Krispy Kreme à Paris, avec des objectifs très ambitieux. C’est une marque incroyable, très appréciée des consommateurs partout où elle est présente », indiquait notamment Alexandre Maizoué en novembre 2022, dans la foulée de sa joint-venture avec Wagram Finances.

Affichant un taux de nicotine illégal, la vape d’Elf Bar pourrait être interdite aux Royaume-Uni

Le géant chinois des alternatives au tabac Elf Bar, fabricant de la cigarette électronique la plus utilisée (Elf Bar 600s) en Grande-Bretagne, risque de voir ce produit retiré des ventes après une enquête du Daily Mail révélant qu’il dépassait de loin le taux de nicotine maximum. Si Elf Bar indique avoir enfreint la loi « par inadvertance », les experts de la santé s’insurgent et rappellent que ce dispositif est utilisé illégalement par des dizaines de milliers de mineurs dans le pays.

« Nous présentons nos plus sincères excuses », voici le message diffusé le 6 février par Elf Bar à la suite d’analyses effectuées en laboratoires par le média britannique Daily Mail indiquant que sa gamme d’e-cigarettes « 600s » dépassait d’au moins 50% la limite légale de nicotine présente dans les e-liquides. Dans le détail, les tests ont révélé que la vape contenait entre 3 et 3,2ml alors que la quantité de liquide nicotinique est limitée à 2ml (teneur maximale de 2%) au Royaume-Uni.

D’après la réglementation de 2016 sur le tabac et les produits connexes, la limite de 2ml a été fixée pour créer un environnement protégeant les enfants contre l’utilisation de ces alternatives au tabac.

Ces résultats ont logiquement provoqué une levée de boucliers des acteurs de la santé britanniques qui mettent en garde contre le risque pour les mineurs utilisant illégalement cette cigarette électronique. La moitié des jeunes de 11 à 17 ans (environ 100 000 personnes), ont admis avoir utilisé l’Elf Bar 600s l’année dernière, selon une étude du groupe anti-tabac Ash.

Lancée en 2021, cette vape aux saveurs sucrées (Coca Cola, Barbe à papa…) et à l’emballage brillant est rapidement devenue la plus populaire auprès des consommateurs. 2,5 millions d’unités sont vendues chaque semaine dans les principaux supermarchés.

« Les données de l’enquête du Mail sont absolument choquantes et très inquiétantes. Il est terrible que les gens ne sachent pas ce qu’ils utilisent. Il est urgent de prendre des mesures contre ces vapes », a déclaré le professeur de pédiatrie à l’Imperial College de Londres Andrew Bush.

Mark Oates, le directeur du groupe de défense des consommateurs We Vape jugent également très inquiétantes les conclusions du Daily Mail et souligne des manquements à plusieurs niveaux. Au-delà des niveaux trop élevés d’e-liquide, il regrette l’insuffisance, voire l’absence de contrôles permettant de s’assurer que les directives sont suivies à la lettre.

« Toute personne fournissant des vapes sur le marché britannique devrait respecter la législation. Il est incroyablement frustrant que des acteurs majeurs de ce secteur se comportent d’une manière qui porte atteinte à la réputation d’un produit aussi bénéfique que le vaping et nous espérons que la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) mènera une enquête approfondie sur cette affaire », a-t-il indiqué.

S’il a tout d’abord mis en doute la fiabilité des tests, en suggérant que les échantillons peuvent être contrefaits, Elf Bar a rapidement admis avoir involontairement enfreint la loi.

« Nous avons découvert que certains lots du produit Elf Bar ont été remplis de manière excessive au Royaume-Uni. Il semble que la taille des réservoirs d’e-liquide, qui est standard sur d’autres marchés [comme les États-Unis], ait été adaptée par inadvertance à certains de nos produits britanniques. Nous nous excusons sincèrement pour la gêne occasionnée », explique un porte-parole.

L’entreprise chinoise a ajouté qu’elle allait revoir son processus de production et alerter tous les détaillants. Bien que cette situation soit « hautement regrettable », elle ne compromettrait, toujours selon Elf Bar, en rien la sécurité des produits.

La chaîne de supermarchés britannique Tesco a réagi en retirant temporairement de la vente les Elf Bar 600s, « le temps que le fabricant enquête sur toutes ces allégations ».

Morrisons, un autre poids lourd de la distribution nationale, déclare prendre l’affaire très au sérieux : « Nous confirmons que nous travaillons en étroite collaboration avec Elf Bar et les services de contrôle des marchés pour approfondir l’enquête ».

Les MetaBirkins sont-ils des Birkins ou pas ?

Les célèbres sacs à main commercialisés par le géant français du luxe Hermès, sont au cœur d’une confrontation judiciaire à New York impliquant le droit de la propriété intellectuelle, la liberté d’expression et un enjeu de taille pour l’avenir des NFT.

Un particulier bien qu’artiste, peut-il s’arroger le droit de propriété sur la version numérique d’un actif commercialisé par une marque ?

Autrement dit, un peintre par exemple peut-il se permettre de vendre sous forme de NFT (jeton non fongible) – procédé permettant de certifiant l’authenticité d’un objet numérique à travers la blockchain – sa reproduction des sacs Birkins ?

C’est ce que tente de déterminer depuis ce lundi 30 janvier, un tribunal de New York, dans le cadre d’un procès opposant la maison Hermès, firme commercialisant ces fameux sacs réputés pour leur cherté et Mason Rothschild qui se présente comme un artiste aux œuvres virtuelles.

Droit de propreté

Ce dernier qui avait commercialisé en janvier 2022 des Birkins virtuels baptisés pour l’occasion MetaBirkins, défend son acte, invoquant notamment le premier amendement de la Constitution américaine garantissant la liberté d’expression.

Il estime en effet que ses sacs, bien que semblables à ceux vendus chez Hermès à des dizaines de milliers de dollars pièce, restent imaginaires. « Mon projet MetaBirkins dans son ensemble était une expérience artistique pour explorer où se situe réellement la valeur du sac à main Birkin« , a soutenu Mason Rothschild via le dossier judiciaire cité par le Wall Street Journal.

Une position contestée par la maison du luxe. Celle-ci dépeint l’artiste en spéculateur numérique dont le seul but reste le profit. Un profit à partir d’un objet dont il ne possède pas les droits de propreté de surcroît, ajoute Hermès. L’entreprise estime par ailleurs que l’initiative de Rothschild qui lui a rapporté de l’argent, empiète sur sa capacité à se lancer hypothétiquement dans les NFT à l’avenir.

Le risque d’un précédent

La bataille juridique qui s’ensuit est d’un enjeu qui va au-delà des deux acteurs. Car l’issue de ce procès pourrait servir de jurisprudence dans la façon dont une société revendique les droits de son produit face aux actifs virtuels. D’autant que ce genre de contentieux a été de plus en plus fréquent depuis l’explosion des NFT ces derniers mois.

Roc-A-Fella Records, Nike Miramax LLC pour ne citer que ces sociétés, ont ainsi eu récemment des démêlées avec des personnes ou organisations voulant commercialiser leurs objets sous NFT.

De Beers : Al Cook prend ses fonctions en février

Al Cook, nouveau PDG de De Beers.

Désigné en octobre 2022 par De Beers en tant que nouveau PDG de la compagnie de diamants, le britannique Al Cook prendra effectivement fonction le 20 février prochain. Il remplace à ce poste Bruce Cleaver, qui deviendra coprésident du groupe, aux côtés de Duncan Wanblad, PDG de la maison-mère Anglo American.

Le 10 octobre 2022, De Beers avait annoncé la nomination d’Al Cook en tant que nouveau PDG du groupe, en remplacement de Bruce Cleaver, en poste depuis 2016 et présent au sein de la compagnie depuis 2005. Le leader mondial des diamants avait indiqué qu’il prendra ses fonctions en début d’année, sans plus de précision. Il vient de fixer la date exacte. Ce sera le 20 février prochain au siège social à Londres.

Une succession pleine de défis

Le prédécesseur d’Al Cook, Bruce Cleaver, deviendra coprésident de De Beers, aux côtés de Duncan Wanblad, PDG et directeur exécutif d’Anglo American, le conglomérat qui détient 85 % du groupe sud-africain. Pendant son mandat de six ans, Bruce Cleaver a mené la transformation de l’entreprise dans toute la chaîne de valeur. Il a notamment lancé le plan Building Forever, comprenant 12 objectifs ambitieux de développement durable pour 2030. Le dirigeant a également supervisé la création de Tracr, la première plateforme de blockchain de diamants distribuée qui assure une traçabilité infalsifiable. En outre, il a piloté d’ambitieux projets, comme la mise en service de navires d’exploration et d’extraction de diamants les plus grands et les plus sophistiqués au monde.

Mais une expérience de 25 ans dans des groupes importants

Selon Duncan Wanblad, Bruce Cleaver a dirigé De Beers « avec distinction et fait évoluer la vision stratégique de la société dans l’intérêt des consommateurs ». Il aurait également permis d’élargir l’horizon de la compagnie à plus long terme et de renforcer son leadership indiscutable. Des éloges qui témoignent de l’importance du challenge à relever pour Al Cook. Le responsable britannique devra abattre un travail formidable tout en affrontant les nouveaux défis de la filière du diamant. Mais Duncan Wanblad ne s’inquiète pas pour cela. Il croit en son potentiel, démontré tout au long de sa carrière de 25 ans.

Impatient de collaborer avec les équipes et les clients

Le PDG d’Anglo American relève principalement son expérience en matière de leadership international au sein d’importants groupes comme BP et Equinor. Aussi, souligne-t-il la parfaite adéquation de l’ensemble de ses compétences stratégiques multidisciplinaires, ainsi que de ses solides convictions et valeurs personnelles avec la nature de l’entreprise. Pour sa part, Al Cook se dit honoré d’avoir « l’opportunité de diriger De Beers, la société à l’origine de la principale marque de diamants au monde ». Il exprime son impatience de collaborer avec le personnel, les clients, les partenaires et les gouvernements (du Botswana, d’Angola, d’Afrique du Sud et du Canada) afin de maintenir le groupe en tête du secteur et d’assurer une valeur durable.

Une arrivée dans un contexte d’incertitudes pour l’industrie du diamant

Al Cook était jusqu’ici vice-président exécutif de l’exploration et de la production internationale d’Equinor, la société pétrolière d’État norvégienne. A ce titre, il dirigeait des opérations dans 12 pays d’Amérique du Nord, d’Amérique du Sud, d’Europe et d’Afrique. Auparavant, il a piloté la stratégie mondiale et le développement commercial de la compagnie. Notons que Cook prend fonction à un moment d’incertitudes dans l’industrie du diamant. Cette impasse est marquée par une hausse continue des prix, l’épuisement des réserves de diamants en exploitation et les sanctions contre la Russie, qui représente environ un quart de l’offre mondiale.

Les destinations favorites des Français en 2022

Fès au Maroc.
Photo de Vince Gx sur Unsplash

 

Après deux années de pandémie, les Français ont beaucoup voyagé en 2022, particulièrement dans le pourtour méditerranéen. Puisqu’ils ont été nombreux à se rendre à Marrakech (Maroc), Lisbonne et Porto (Portugal).

Marrakech conserve sa place en tête

Contrariés par la crise sanitaire pendant deux ans, les Français ont pu prendre l’avion en 2022 pour profiter d’un bon séjour en France comme ailleurs dans le monde. Mais quelles ont été leurs destinations favorites l’année dernière ? D’après une étude du comparateur de voyages Liligo, relayée par Air Journal le 15 janvier 2023, nos compatriotes ont particulièrement apprécié le pourtour méditerranéen.

A la première place du top 3 des villes les plus visitées se trouve Marrakech pour la deuxième année consécutive. La ville marocaine a attiré les Français pour sa proximité avec l’Hexagone et pour le prix du ticket aller-retour. Celui-ci coûte en moyenne 207 euros, en baisse de 35% par rapport à l’avant-pandémie.

Nice, seule ville de la métropole dans le Top 10

La cité rouge compose le podium avec les villes portugaises de Lisbonne et de Porto. En quatrième position arrive la belle Istanbul (Turquie) et en cinquième Barcelone (Espagne). Le prix moyen d’un billet aller-retour pour la ville catalane s’élève à 117 euros. Soit 14 % de moins qu’en 2021 et 48 % de moins qu’en 2019. Suivent Saint-Denis de la Réunion (6e) et Pointe-à-Pitre en Guadeloupe (7e). La principale ville de la Réunion coûte en moyenne 861 euros en aller-retour .

Seule représentante de la France métropolitaine dans ce classement, la commune de Nice occupe la 8e place du Top 10 des destinations les plus privilégiées en 2022. Le prix moyen pour rallier la capitale des Alpes-Maritimes (Côte d’Azur) s’élève à 134 euros. Soit moins 37% par rapport à 2019 et moins 15% par rapport à 2021. La 9e place du classement revient à Montréal, dont le ticket en aller-retour coûte en moyenne 544 euros.

New York éjectée du classement

Enfin, Fort-de-France en Martinique prend la 10e et dernière position du classement bien que le prix moyen de l’aller-retour a augmenté de 15% entre 2020 et 2021. La ville martiniquaise remplace New York dans le Top 10. Plus globalement, les Français ont plébiscité les Antilles, le Maghreb, les États-Unis et le Mexique en 2022. Ils ont également aimé les séjours en Espagne, en Grèce, en Tunisie, en Egypte, en République dominicaine et en Italie, pays qui profite de sa proximité avec la France.

71% des Français comptent voyager en 2023

Liligo note qu’en 2022, le secteur du transport aérien a pu entamer un redémarrage après deux années difficiles à cause de la pandémie de Covid-19. Mais il a subi les conséquences de la crise énergétique et une augmentation du prix des billets d’avion au deuxième semestre. Si l’horizon semble s’éclaircir en 2023, il est encore trop tôt pour prédire un retour à la normale par rapport à 2019.

Selon des informations relayées par « Infotravel », 71% des Français comptent néanmoins voyager en 2023, contre 70% l’année dernière. Côté destinations, 65% de nos compatriotes préféreraient la Métropole et l’Europe. Et au niveau des moyens de déplacement, la voiture arrive en tête (71%) suivie de l’avion (30%) et du train (27%).

La Fondation Maliba engagée contre la vie chère au Mali

Créée par l’homme d’affaires Aliou Diallo, la Fondation Maliba participe à l’amélioration des conditions de vie des Maliens depuis plus de dix ans. Alors que la vie devient de plus en plus chère au Mali, ses actions deviennent déterminantes.

Au Mali, le panier de la ménagère s’est transformé en sachet ces derniers mois. En cause, une hausse des prix et donc du coût de la vie. Le gouvernement de Bamako justifie cette situation par la crise multidimensionnelle (sécuritaire, politique et institutionnelle) que vit le pays depuis dix ans, l’embargo de la CEDEAO, la pandémie du Covid-19 et la guerre en Ukraine. Il y a 3 mois, le pouvoir avait organisé un conseil de ministre extraordinaire sur la flambée des prix afin de trouver des solutions.

La Fondation Maliba en soutien de l’Etat

Il vient de mettre en place une commission interministérielle pour plancher sur la question des prix des produits de première nécessité et du pouvoir d’achat au Mali. Dans une conférence donnée mi-novembre, les ministres du Commerce Mahmoud Ould Mohamed et de l’Economie Alfousseyni Sanou ont promis de nouvelles mesures d’accompagnement pour soulager la population. Pour l’instant, le gouvernement a débloqué des subventions sur les produits de première nécessité comme le riz, le lait, l’huile et le pétrole. Il aurait déjà dépensé plus 132 milliards de FCFA…

Pour l’opposition, Bamako ne fait que de la compilation de promesses et de chiffres imaginaires. La ménagère ne ressent pas l’impact de ces mesures sur le marché. Pour épauler l’Etat, la Fondation Maliba multiplie ses actions sur le terrain. L’organisation créée et financée en fonds propres par le milliardaire malien Aliou Diallo accentue ses dons en vivres et en espèces aux populations les plus démunies du Mali. A savoir les réfugiés internes, les veuves et les orphelins ainsi que les communautés rurales.

Des programmes axés sur les femmes

Chaque mois, la Fondation Maliba distribue des vivres composés de riz, mil, sucre et lait pour une valeur de 50 millions de FCFA. Aussi, fait-elle occasionnellement des dons aux déplacés. Comme à ceux du Collectif des ressortissants du Nord (COREN), après l’occupation du Nord du Mali par les terroristes. Consciente que la seule distribution de denrées ne suffira pas, l’organisation malienne soutient aussi les coopératives agricoles féminines. Elle réalise notamment pour elles des forages équipés en pompes solaires, installe des moulins à grain et distribue du matériel de transformation alimentaire.

Toutes ces actions ont déjà coûté des dizaines de milliards à Aliou Diallo. Par ailleurs, la Fondation Maliba lance régulièrement des formations à l’endroit des femmes. Il s’agit d’une part de formations pour le maraîchage, dont les produits servent à nourrir la famille ou à la vente sur les marchés locaux. D’autre part des formations en fabrication et commercialisation de savons et gels. En outre, la Fondation Maliba finance des projets générateurs de revenus pour les jeunes et les femmes. Plus de 3500 emplois directs et indirects ont déjà été créés. Grâce à ces actions, l’association espère contribuer à baisser le coût de la vie.

Le commerce du diamant russe bat son plein en Europe

La pierre précieuse provenant de Russie, pays mis au ban de la communauté internationale pour son invasion de l’Ukraine, fait plus que jamais recette sur le marché européen.

Anvers, la deuxième ville belge, ne saurait mieux porter son nom de capitale mondiale du diamant qu’en ce moment. Alors que la Russie et la quasi-totalité de ses produits d’exportation croulent sous le poids des sanctions européennes à cause de la guerre déclenchée par Moscou contre Kiev il y a bientôt un an, le secteur diamantaire russe lui, prospère.

La pierre précieuse dont la Russie en a extrait 15 millions de carats de ses terres en 2021 – selon les chiffres du portail allemand des statistiques Statista –, a libre cours en Europe. Elle essaime plus que jamais ce marché, à commencer donc par la Belgique, sa principale porte d’entrée sur le Vieux continent.

Marché florissant

À tel point qu’Anvers qui représente la plaque tournante de ce circuit devrait avoir généré 1,3 milliard d’euros de valeur en importations l’année écoulée, à en croire des estimations basées sur la tendance du marché, citées par RFI. C’est moins que le 1,8 milliard d’euros de valeur importée en 2021 toujours grâce aux diamants. Mais la différence n’est pas significative au regard du contexte entourant les produits russes en Europe.

Asphyxiés par une batterie de sanctions destinées à infléchir les velléités guerrières du Kremlin, ces derniers sont contraints de se trouver de nouveaux débouchés, au risque de périr tout bonnement. Les exportations russes vers l’Ouest ont ainsi chuté de 60% ces derniers mois. Quant aux échanges de produits se produisant dans le sens inverse, ils ont baissé d’un tiers.

Cette situation laisse les deux marchés à l’agonie. À l’exception notable du marché du diamant, toujours aussi florissant.

Une indulgence décriée

La raison tient essentiellement de la préservation du secteur diamantaire des sanctions infligées par l’Union européenne à la Russie. Malgré les cris d’orfraie des responsables ukrainiens dont le président Zelenski et de plusieurs organisations internationales, Bruxelles contrairement à Washington n’a jamais mis les pierres précieuses sous embargo.

Manque de volonté politique ? Couardise ? Ultra-dépendance des Vingt-Sept vis-à-vis de ces diamants ? Les motivations pouvant expliquer un tel statu quo sont diverses et varient selon les interlocuteurs. Tous mettent cependant l’État belge au cœur de la situation.

Il faut dire que le secteur diamantaire concentre 1 500 entreprises et 30 000 emplois directs et indirects dans le pays, selon Tom Neys, porte-parole l’association des diamantaires d’Anvers interrogé par RFI.

Nativiz : l’agence SEO qui prône la qualité rédactionnelle

Depuis 2016, l’agence de communication Nativiz s’appuie sur les critères SEO (ou référencement naturel) pour produire des contenus stratégiques valorisant l’image en ligne des entreprises. Mais au-delà des exigences SEO, Nativiz s’engage à rédiger des articles qualitatifs, tant sur le fond que sur la forme, afin de promouvoir ses clients sur la toile.

Quand on parle de rédaction web, l’élément principalement mis en avant est le contenu SEO, respectant une méthodologie précise (mots-clés, liens de référencement, balises, url…) pour plaire aux algorithmes de Google. En dépit des exigences SEO, la valeur d’un contenu dépend aussi de sa qualité, tant sur le fond que sur la forme. Google intègre d’ailleurs la qualité informative et le style rédactionnel comme critères d’analyse des contenus web.

C’est la raison pour laquelle les experts français de la stratégie de contenus « native » comme l’agence Nativiz, maîtrisent et mettent en application les techniques rédactionnelles pour optimiser l’image en ligne de leurs clients. Une force de frappe, associée au pur référencement naturel, qui lui permet de rendre ses productions, et donc les entreprises, les plus visibles possibles.

Sa méthode ? Attirer l’attention des lecteurs grâce à des textes d’informations pertinentes, rédigés de façon concise, bien structurés et lisibles. L’internaute sera ainsi intéressé par ce qu’il lit et aura envie de consulter les autres productions mettant en lumière l’entreprise concernée.

Il existe généralement trois techniques rédactionnelles pour accrocher son auditoire : un agencement des idées ou d’informations vérifiées, une structuration claire et compréhensible des idées et une tonalité spécifique à un public cible.

Pour optimiser ses contenus web, Nativiz établit un plan de travail et structure de façon graduelle les informations. L’idée étant de créer une certaine harmonie entre les différents éléments. L’agence bordelaise s’engage aussi à produire des textes évolutifs apportant constamment de nouveaux éléments pour intéresser les lecteurs.

Il existe une astuce pour taper dans l’œil de ces derniers : la pyramide inversée, consistant à mettre en début d’article les informations accrocheuses et de passer les moins importantes dans les lignes suivantes. Nativiz privilégie également les phrases courtes, bien concises et sans équivoque pour ne pas ennuyer les internautes.

L’agence veille également à ce que ses productions aient un ton adapté à la cible de leurs clients. Le style d’écriture et les mots utilisés concordent ainsi avec leurs attentes et leurs besoins. Les rédacteurs web de Nativiz savent aussi rapporter des informations déjà existantes de façon authentique afin que les entreprises qu’ils accompagnent se démarquent de la concurrence.

La qualité informationnelle d’un texte SEO est un impondérable face auquel aucun rédacteur ne doit déroger. L’internaute d’aujourd’hui, habitué à l’information instantanée, est exigeant et parcourt plusieurs sites avant de sélectionner un article sur le web. Il se familiarise donc souvent avec les données concernant une thématique.

C’est la raison pour laquelle Nativiz veille à intégrer dans ses textes des informations fiables et sourcées. Des informations par ailleurs sélectionnées autour d’un champ sémantique approprié qui utilise des mots-clés adéquats et univoques.

Pour rappel, le recours aux mots-clés est l’une des grandes exigences SEO de Google et consort. Ainsi, via des termes spécifiques, les communicants de Nativiz permettent non seulement aux algorithmes des moteurs de recherche de référencer leurs productions, mais également aux lecteurs d’accéder rapidement à l’information.

Un contenu SEO informatif, cohérent et unique c’est bien, mais il ne faut pas qu’il soit émaillé de fautes. Qu’elles soient grammaticales, orthographiques ou de conjugaison, les fautes sont interdites car elles nuisent au référencement naturel mais aussi surtout à l’image de l’entreprise.

Après le fond, place à la forme. Nativiz travaillent à aérer ses contenus, afin que l’internaute repère d’un coup d’œil les informations qui l’intéressent. Les productions sont aussi structurées en courts paragraphes pour fluidifier la lecture.

En clair, si les contenus web de Nativiz sont pensés pour satisfaire les algorithmes de Google, ils sont avant tout des messages destinés à des cibles en quête d’information de qualité. C’est pourquoi l’agence maîtrise les techniques de rédaction permettant aux entreprises d’avoir la meilleure image possible en ligne.

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