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Nosopharm prêt à s’attaquer au programme NOSO-502

Un laboratin femme au laboratoire.
Photo by Julia Koblitz on Unsplash

 

Nosopharm a annoncé fin juin dernier le remaniement de son conseil de surveillance, qui accueille à sa tête Jacques Dumas et enregistre l’entrée de Laurent Fraisse en tant que membre indépendant. La nouvelle équipe a reçu pour mission de préparer un tour de financement et de poursuivre le développement du programme NOSO-502 jusqu’à la phase 1 des essais cliniques.

Nosopharm, entreprise biotechnologie française dédiée à la recherche et au développement de nouveaux médicaments anti-infectieux, a annoncé il y a quelques semaines la nomination de nouveaux membres au sein de son conseil de surveillance. Jacques Dumas prend la présidence de l’organe non-exécutif, à la suite de Jacques Biton.

Martin Lauriot Prevost intègre le conseil de surveillance au titre d’investisseur historique. Sandra Dubos remplace Gwenaël Hamon en tant que représentante de Kreaxi, un des investisseurs de Nosopharm. Enfin, Laurent Fraisse rejoint l’organe comme membre indépendant à la place de Marie-Paule Richard. Quant à Frédéric Hammel, qui représente Elaia Partners, il reste au sein du conseil.

Faciliter les collaborations avec les partenaires

Le nouveau président, Jacques Dumas, a le statut pour continuer le travail entamé par M. Biton. Il est diplômé de chimie organique de l’Université Paris VI et de l’Université de Stanford en Californie. Il bénéficie surtout de 30 ans d’expérience en R&D, pendant lesquels il a occupé de hauts postes chez AstraZeneca, Bayer Healthcare et Tetraphase. Aussi, le nouveau président du conseil de Nosopharm a le mérite d’avoir co-inventé deux médicaments commercialisés : le Nexavar® et le Stivarga®.

Philippe Villain-Guillot, co-fondateur et président du directoire de Nosopharm a dit être convaincu que sous sa houlette, le « nouveau conseil de surveillance facilitera les collaborations avec des partenaires industriels et universitaires de premier plan ». Objectif: développer le pipeline du groupe. Il compte sur lui pour préparer le prochain tour de financement.

Enrayer principalement l’antibiorésistance

Philippe Villain-Guillot croit aussi que cette nouvelle équipe fera avancer les programmes prometteurs de découverte de médicaments contre les maladies infectieuses. En particulier dans le contexte actuel du renforcement de l’antibiorésistance. De son côté, Jacques Dumas s’est dit très « heureux de prendre la présidence du conseil de surveillance de Nosopharm ».

Il espère que la plateforme unique de découverte de médicaments du groupe, basée sur Photorhabdus et Xenorhabdus, permettra de « découvrir des anti-infectieux first-in-class et aider à lutter contre l’antibiorésistance. ». Selon lui, cette découverte est très attendue d’autant que « les maladies infectieuses sont une cause majeure de mortalité au niveau mondial. Aussi, ces infections deviennent-elles difficiles à traiter avec l’augmentation de l’antibiorésistance.

Résultats positifs pour les études toxicologiques

Déclarée par l’OMS comme l’une des principales menaces mondiales pour la santé publique, la résistance aux antibiotiques a fait 1,27 million de morts en 2019. Les agents pathogènes à Gram négatif multirésistants, impliqués dans ces maladies infectieuses, représentent 59 % des décès déclarés. Jacques Dumas et son conseil doivent s’y attaquer d’urgence.

C’est pourquoi ils vont poursuivre le développement du programme phare NOSO-502 jusqu’à la phase 1 des essais cliniques. Nosopharm a récemment annoncé l’achèvement et les résultats positifs de ses études toxicologiques précliniques pour son antibiotique. Celui-ci est spécifiquement réservé au traitement des infections nosocomiales causées par les entérobactéries multirésistantes. Par exemple escherichia coli et Klebsiella pneumoniae.

En Chine, une crise immobilière embarrassante

Un casque d'ouvrier du bâtiment au sol.
Photo by Ümit Yıldırım on Unsplash

 

La Chine connait actuellement une crise immobilière qui empêche certains promoteurs d’achever les travaux faute de liquidités. Face à cette situation, les acheteurs ont pris la décision radicale de cesser le paiement des mensualités. Ils expriment aussi leur mécontentement à travers des manifestations qui inquiètent le gouvernement, à deux mois du Congrès du parti communiste.

Depuis la libéralisation du marché immobilier en 1998, la Chine connaait un boom du secteur. Profitant des prêts bancaires, les promoteurs ont pu développer de nombreux projets pour satisfaire une demande de plus en plus forte. Mais leurs dettes colossales ont poussé les autorités à mettre fin aux crédits à partir de 2020. Une décision qui a réduit les possibilités de financement pour les géants de l’immobilier comme l’ex-numéro un Evergrande. Le deuxième promoteur immobilier chinois s’efforce depuis plusieurs mois de rembourser les sommes dues, évaluées l’année dernière à 300 milliards de dollars.

Seulement 60% des appartements pré-vendus livrés

La débâcle de ce groupe a depuis contaminé l’ensemble du marché immobilier chinois. Conséquences : les ventes résidentielles ont déjà chuté de 35 % cette année. Tandis que les promoteurs n’ont pour l’instant livré que 60% des appartements pré-vendus entre 2013 et 2020 (en Chine, les logements neufs sont généralement vendus avant leur construction). Ils n’ont eu de cesse de reporter à plusieurs reprises la livraison des logements, au grand dam des acheteurs. Fatigués d’attendre et de louer une autre maison, les futurs propriétaires ont pris la décision radicale de ne plus payer les mensualités tant que les travaux ne sont pas achevés. Certains ont même organisé des manifestations pour exprimer leur mécontentement.

Un fonds d’aide aux promoteurs dans certaines villes

Le boycott des remboursements vise à faire pression sur les promoteurs, eux-mêmes dos au mur. Quand aux rassemblements, ils ont pour but de décider les dirigeants nationaux ou locaux à agir. Cette stratégie porte ses fruits puisqu’à Zhengzhou, une grande ville du centre de la Chine, les autorités ont créé un fonds d’aide aux entreprises immobilières afin qu’ils puissent achever les travaux. Du côté du gouvernement, on craint que la crise immobilière n’éclate en bulle et ne pèse sur la reprise économique. En effet, un cercle vicieux pourrait naître de cette situation. On pourrait constater une baisse des ventes et des prix des logements, une faille des prometteurs et la détérioration des finances des collectivités locales.

L’épargne chinoise en hausse de 30 % sur un an

Un autre danger pourrait venir d’une perte de confiance du consommateur chinois. En effet, la hausse du pouvoir d’achat de ces derniers, due aux prépaiements, ont longtemps aidé à financer indirectement près de 30 % du PNB chinois. Le contexte actuel pourrait provoquer un recul de la consommation intérieure pour une hausse de l’épargne, sous l’effet de la prudence. Déjà, au premier semestre 2022, l’épargne chinoise a progressé de 30 % par rapport à l’année précédente.

Soucieux de stabilité sociale et craignant le ralentissement structurel de la future croissance chinoise, le pouvoir a décidé de débloquer un dernier fonds public. Aussi, va-t-il presser les promoteurs afin de livrer au plus vite les appartements aux acheteurs. En effet, le timing de cette crise immobilière met dans l’embarras les dirigeants chinois à deux mois du Congrès du parti communiste. Le président Xi Jinping devrait se voir accorder un troisième mandat à l’issue de ce rendez-vous.

Le moral des jeunes travailleurs français au plus bas (étude Malakoff Humanis)

Malakoff Humanis propose une protection sociale aux salariés.
De jeunes salariés sur leur ordinateur.

 

Selon une étude du groupe de protection sociale Malakoff Humanis, publiée début juillet, une bonne partie des travailleurs français de moins de 30 ans ont une santé psychique déclinante. Conséquence : 36% d’entre eux ont dû poser un arrêt maladie en mars 2022, contre 21% un an plus tôt.

Le groupe de protection sociale paritaire et mutualiste Malakoff Humanis a publié, le mercredi 6 juillet 2022, une étude sur la santé mentale des salariés depuis le début de la crise sanitaire due au Covid-19. Cette pandémie a particulièrement fait des ravages parmi les jeunes travailleurs. En effet, 23 % des salariés de moins de 30 ans jugent négativement leur santé mentale, contre 16 % pour l’ensemble des employés. Aussi, 48 % déclarent mal dormir (contre 32 %), 42 % se disent stressés (contre 28 %) et 34 % émotionnellement épuisés (contre 22 %), voire à bout de force (29 % contre 19 % de l’ensemble). Pour supporter le coup, 22 % confient avoir consommé des somnifères, des anxiolytiques ou des antidépresseurs (11 % en 2019).

Le contexte professionnel pointé du doigt

Cette situation crispante a poussé un tiers (36%) des jeunes salariés à arrêter le travail au moins une fois en mars 2022. Ce qui représente le double de l’ensemble des salariés (18%) et une hausse de 15% par rapport à mars 2021 (21%). Les troubles psychosociaux (dépression, anxiété, stress, épuisement professionnel…) constituent 16% des arrêts maladie chez les moins de 30 ans (14% pour l’ensemble des salariés). Mais le Covid-19 reste le principal responsable de leur état avec 56%. Près de la moitié des sondés (44%) accusent le contexte professionnel d’être à l’origine de leur mal-être. Ils pointent en particulier l’intensité et le temps de travail (67%), ainsi que les remarques blessantes ou agressives (27%).

La santé physique également au plus bas

En dehors du bureau, les travailleurs de moins de 30 ans relèvent une dégradation des rapports sociaux (47%) depuis le début de la pandémie. Mais il y a également des raisons personnelles (28%), notamment la situation financière. Quelle que soit la raison, 44 % des jeunes reconnaissent eux-mêmes avoir une mauvaise santé mentale. Sur le plan de la santé physique aussi, il y a un problème. En effet, 18 % d’entre eux la jugent mauvaise contre 14 % pour l’ensemble des salariés. L’inactivité en est la principale cause. Les jeunes actifs évoquent un manque de temps (35 %) et le télétravail, qui semble avoir fait disparaître le « droit à la déconnexion ». Selon le sondage de Malakoff Humanis, 51 % d’entre eux n’arrivent pas à se débrancher.

Malakoff Humanis, la mutuelle santé sur-mesure

Malgré l’état de leur santé mentale et physique, les salariés de moins de 30 ans ne se bousculent pas aux portes des cabinets médicaux. Comme explication, certains disent avoir des difficultés à obtenir un rendez-vous (29 %) avec le médecin à cause notamment de délais d’attente trop longs. Quand d’autres invoquent des raisons financières (23 %), qui les poussent à renoncer à leurs soins. Ceux-là pointent en particulier un portefeuille à sec et un reste à charge trop important.

Cette étude permettra à Malakoff Humanis de renforcer ses offres de mutuelle santé (économique, tonique et énergique), ainsi que ses garanties optionnelles pour couvrir des frais de santé plus spécifiques. En plus de la complémentaire santé, le groupe facilite l’accès aux soins des personnes en activité et limite leurs restes à payer. Aujourd’hui, il assure la santé et la prévoyance de 426 000 entreprises et plus de 10 millions de personnes et leurs familles.

Immobilier : dans quels quartiers fait-il bon vivre à Villeneuve-d’Ascq ?

Paris, Bordeaux, Lyon, Marseille… Quand on parle de ville où s’installer, ces grandes métropoles viennent rapidement à l’esprit. Néanmoins, elles présentent de nombreux désavantages comme la durée du trajet travail-domicile, la densité de population ou encore les prix (exorbitants) de l’immobilier. Pourtant, il existe bien d’autres communes en France où il est pertinent de s’installer, comme Villeneuve-d’Ascq. Cette commune située dans le département du Nord compte même 4 quartiers où il fait bon vivre. Précisions.

Située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France, Villeneuve-d’Ascq est une commune qui vaut le détour. Faisant partie de la Métropole européenne de Lille, la technopole de 63 000 habitants compte tout d’abord un large réseau de transport la reliant directement à l’agglomération lilloise.

Villeneuve-d’Ascq est une ville dynamique, moderne, attractive et familiale. C’est l’un des plus grands centres économiques de la région avec ses vastes centres commerciaux et son parc scientifique. Les amoureux d’espaces verts sont également servis puisque la commune s’attache à respecter la nature. Villeneuve-d’Ascq totalise 30 km de rue piétonnes et pistes cyclables, 200 hectares de parcs et 6 lacs.

Les amateurs de culture ne sont également pas en reste. Des événements sont en effet organisés tout au long de l’année, sans oublier la présence de nombreux musées renommés (Musée des Moulins, Musée de Plein air, Musée d’art contemporain, d’art moderne et d’art brut…)

De plus, l’immobilier à Villeneuve d’Ascq affiche des prix abordables comparé aux grandes métropoles. Sur ce point, la ville à taille humaine dénombre 4 quartiers très agréables à vivre. Chacun à son histoire, son patrimoine et ses particularités en termes d’immobilier ou de logement.

On peut tout d’abord citer Brigode, le quartier situé au centre est de la commune. Ses habitants profitent d’un cadre verdoyant, calme et reposant. Vient ensuite le quartier de Flers Bourg, un secteur pittoresque niché en centre ouest de Villeneuve-d’Ascq. Les locaux profitent du charme d’un quartier aux airs de vieux village. Les bâtiments, faits de briques rouges typiques du nord de la France, accueillent des résidences d’architectes de renom, une galerie photographique et des ateliers d’artistes.

Un autre quartier est particulièrement dynamique : l’hôtel de ville. Desservi par le métro qui le relie au centre de Lille en moins de dix minutes, il accueille de nombreuses fêtes ou événements. Les logements, commerces, bureaux et restaurants sont légion. Sans oublier la Maison des droits de l’homme et les pôles universitaires. Autant d’éléments faisant la vitalité du quartier de l’hôtel de ville.

Passons maintenant au quartier de La Haute-Borne. Ce secteur aux multiples visages abrite des laboratoires, des start-ups et des entreprises utilisatrices de technologies de pointe, mais aussi le parc scientifique éponyme et un vaste espace de 200 hectares. Plus de 500 logements en location ou en accession y sont construits.

Place au dernier quartier, le Triolo. Il s’agit d’un secteur résidentiel, constitué en majorité de logements locatifs. Le calme et la tranquillité qui y règnent en font un quartier très attractif. Le Triolo a l’avantage d’être desservi par une ligne de métro facilitant les déplacements. Il est également animé par une piscine, un cinéma d’art et d’essai, un centre commercial et un collège. Enfin, la vie associative du quartier propose un large panel d’activités qui contribuent non seulement au bien-être et au dynamisme de ses habitants, mais également à celui de Villeneuve-d’Ascq.

Pouvoir d’achat : ce que le gouvernement a proposé en Conseil des ministres

Le gouvernement Borne a dévoilé, jeudi 7 juillet, en Conseil des ministres, le projet de loi « pour la protection du pouvoir d’achat » des Français. Une enveloppe d’à peu près 20 milliards d’euros a été déboursée afin d’aider les populations à traverser cette période de forte inflation.

Pour l’exécutif et le Parlement, « l’urgence du pouvoir d’achat (…) est le premier défi », a insisté mercredi, la première ministre, Elisabeth Borne, lors de son discours de politique générale devant les parlementaires au sein du palais Bourbon à Paris. Promettant, des mesures « concrètes, rapides et efficaces » pour faire face à l’inflation (accélération à 5,8 % en juin sur un an selon l’Insee). Ces mesures retenues et présentées dans l’après-midi du jeudi 7 juillet, seront débattues à l’Assemblée nationale à partir du 18 juillet. Tour d’horizon sur quelques propositions du gouvernement à l’issue du Conseil des ministres.

Chèque alimentaire et revalorisation de la prime d’activité

Selon Bruno Le Maire « un chèque alimentaire de 100 euros, plus 50 euros par enfant à charge, sera versé aux 9 millions de foyers [les plus modestes] ». Poursuivant, le ministre de l’Économie, a annoncé que le gouvernement a fait le choix de « revaloriser la prime d’activité à 4 % ». Le but est de « protéger tous ceux qui travaillent » afin que « le travail paie et garantisse un niveau de vie digne même lorsqu’il y a un niveau d’inflation aussi élevé ».

Prolongation du bouclier tarifaire sur l’énergie jusqu’à fin 2022

Le gouvernement envisage de prolonger jusqu’à la fin de l’année le « bouclier tarifaire » sur l’énergie régulant les prix de l’électricité et du gaz. Ce système permet de limiter les hausses de facture d’électricité à 4 % et d’empêcher les prix du gaz d’être au niveau d’octobre 2021. 

Fin progressive de la remise sur le carburant

« À partir du 1er octobre, la remise de 18 centimes va disparaître progressivement. Ce sera douze centimes de remise en octobre, six centimes en novembre et, ensuite, cette remise s’éteindra », a déclaré le ministres.

Une indemnité carburant « travailleurs » à partir d’octobre

Une indemnité carburant pour les « travailleurs » doit être appliquée à partir du 1er octobre. Cette aide ponctuelle d’un montant total de 100 à 300 euros pourra être versée aux travailleurs à faible revenu, en une fois.  

Point d’indice des fonctionnaires (+3,5 %)

Le point d’indice qui sert de base à la rémunération des 5,7 millions d’agents publics connaîtra une augmentation de 3,5 %. Cette augmentation qui sera appliquée à partir du 1er juillet est la plus importante revalorisation du point d’indice depuis 1985. Pour coût total de 7,5 milliards d’euros, il sera réparti entre l’Etat, les collectivités territoriales et les hôpitaux.

SOLDES D’ÉTÉ 2022 : CONSEILS ET CALENDRIER DES DATES SELON LES DEPARTEMENTS

©Pexels

À l’exception de la Corse, des Alpes-Maritimes et des départements d’outre-mer, les soldes d’été ont démarré ce mercredi 22 juin dans la plupart des départements français. Le clap de fin, lui, est prévu pour le mardi 19 juillet 2022. Selon la DGCCRF, « Les produits, annoncés comme soldés doivent avoir été proposés à la vente et payés depuis au moins un mois à la date du début de la période de soldes considérée ».

C’est le top départ pour les soldes d’été 2022. Cette année, les soldes interviennent dans un contexte marqué par des situations particulières. D’abord, l’accélération de l’inflation estimée à 5,2 % sur un an en mai 2022 ; une grande première depuis septembre 1985. Suivi d’une hausse des prix, rythmée par les répercussions de la guerre en Ukraine. Pour les populations, les soldes sont l’occasion idéale pour souffler et faire de bonnes affaires. Nous vous dévoilons l’intégralité du calendrier des promotions estivales.

Les dates des soldes d’été 2022 selon les départements

Votre département de résidence N° du département La date des soldes
Ain 01 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Aisne 02 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Allier 03 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Alpes-de-Haute-Provence 04 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Alpes-Maritimes 06 Mercredi 6 juillet au mardi 2 août 2022
Ardèche 07 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Ardennes 08 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Ariège 09 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Aube 10 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Aude 11 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Aveyron 12 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Bas-Rhin 67 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Bouches-du-Rhône 13 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Calvados 14 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Cantal 15 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Charente 16 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Charente-Maritime 17 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Cher 18 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Corrèze 19 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Corse-du-Sud                     2A Mercredi 13 juillet au mardi 9 août 2022
Côte-d’Or 21 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Côtes-d’Armor 22 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Creuse 23 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Deux-Sèvres 79 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Dordogne 24 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Doubs 25 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Drôme 26 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Essonne 91 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Eure 27 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Eure-et-Loir 28 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Finistère 29 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Gard 30 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Gers 32 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Gironde 33 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Guadeloupe 971 Samedi 24 septembre au vendredi 21 octobre 2022.
Guyane 973 Jeudi 6 octobre au mercredi 2 novembre 2022
Haute-Corse                    2B Mercredi 13 juillet au mardi 9 août 2022
Haute-Garonne 31 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Haute-Loire 43 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Haute-Marne 52 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Hautes-Alpes 05 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Haute-Saône 70 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Haute-Savoie 74 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Hautes-Pyrénées 65 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Haute-Vienne 87 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Haut-Rhin 68 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Hauts-de-Seine 92 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Hérault 34 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Ille-et-Vilaine 35 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Indre 36 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Indre-et-Loire 37 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Isère 38 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Jura 39 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
La Réunion 974  

Samedi 3 septembre au vendredi 30 septembre 2022 (soldes d’hiver : du samedi 4 février au vendredi 4 mars 2022)

Landes 40 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Loire 42 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Loire-Atlantique 44 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Loiret 45 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Loir-et-Cher 41 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Lot 46 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Lot-et-Garonne 47 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Lozère 48 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Maine-et-Loire 49 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Manche 50 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Marne 51 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Martinique 972 Jeudi 6 octobre au mercredi 2 novembre 2022
Mayenne 53 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Mayotte 976 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Meurthe-et-Moselle 54 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Meuse 55 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Morbihan 56 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Moselle 57 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Nièvre 58 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Nord 59 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Oise 60 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Orne 61 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Paris 75 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Pas-de-Calais 62 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Puy-de-Dôme 63 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Pyrénées-Atlantiques 64 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Pyrénées-Orientales 66 Mercredi 6 juillet au mardi 2 août 2022
Rhône 69 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Saône-et-Loire 71 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Saint-Barthélémy 977  

Samedi 8 octobre au vendredi 4 novembre 2022( soldes d’hiver : du samedi 7 mai au vendredi 21 mai 2022)

Saint-Martin 978  

Samedi 8 octobre au vendredi 4 novembre 2022( soldes d’hiver : du samedi 7 mai au vendredi 21 mai 2022)

Saint-Pierre-et-Miquelon 975 Mercredi 20 juillet au mardi 10 août 2022
Sarthe 72 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Savoie 73 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Seine-et-Marne 77 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Seine-Maritime 76 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Seine-Saint-Denis 93 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Somme 80 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Tarn 81 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Tarn-et-Garonne 82 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Territoire de Belfort 90 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Val-de-Marne 94 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Val-d’Oise 95 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Var 83 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Vaucluse 84 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Vendée 85 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Vienne 86 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Vosges 88 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Yonne 89 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022
Yvelines 78 Mercredi 22 juin au mardi 19 juillet 2022

Bon à Savoir

Durant les soldes, contrairement aux promotions, les commerçant(e)s ne peuvent réapprovisionner leurs étals de produits déjà soldés. Quant aux marchand(e)s, ils ne peuvent solder que des articles payés et proposés depuis la date de début de soldes. Et une réduction du prix des articles concernés doit être clairement affichée. La mention « ni repris, ni échangé » est interdite par la loi. Pour rappel, un prix soldé bénéficie des mêmes garanties que n’importe quel autre article.

Du whisky-coca bientôt disponible en canette

La marque Jack Daniel’s et le géant du soda Coca-Cola vont prochainement lancer sur le marché, une nouvelle boisson à 5% d’alcool. De quoi élargir l’horizon de choix des amateurs de cocktail.

Pourquoi se donner la peine de réaliser un cocktail whisky-coca quand on peut l’avoir au bar ou dans une enseigne de grande distribution ? Jack Daniel’s et Coca-Cola se proposent de faciliter les choses aux amateurs de ce mix devenu un classique au fil des années.

Les deux groupes ont décidé de mettre sur le marché, une nouvelle boisson en canette baptisée « Jack & Coke », selon une information rendue lundi 13 juin. Elle devrait être disponible d’abord au Mexique d’ici la fin de l’année, puis aux États-Unis en 2023. Avec une version classique et une autre à forte teneur en sucre, mais tous les deux à 5% d’alcool.

Risque minimal

On ne saurait dire que les deux entreprises prennent un énorme risque avec cette nouvelle boisson. Tant le fait de mélanger du spiritueux ou toute autre boisson alcoolisée à une autre davantage sucrée, est devenu presque un réflexe pour de nombreux buveurs à travers le monde. « Cette relation réunit deux icônes américaines classiques pour offrir aux consommateurs une expérience gustative qu’ils aiment d’une manière cohérente et pratique », indique d’ailleurs fort opportunément Lawson Whiting, patron de Brown-Forman Corporation, la firme propriétaire de Jack Daniel’s dans le communiqué d’annonce.

C’est dire que l’opportunité du marché est déjà là, il ne reste qu’à la saisir. D’autant que Coca-Cola dispose depuis 2019 d’une gamme de quatre boissons spécialement recommandées pour la réalisation des cocktails. Une stratégie destinée à capitaliser sur la forte présence des sodas dans les mix de boissons.

Incursion sur le marché

Le mariage de Coca-Cola avec la filiale de Brown-Forman Corporation n’est pas non plus inédit. Les deux sociétés ayant par le passé déjà mis sur le marché en édition limitée, un coffret comprenant une bouteille du spiritueux de Tennessee et un verre estampillé « Jack & Coke ».

La nouvelle boisson est une nouvelle incursion de Coca sur le marché des produits alcoolisés. Sa première expérience dans ce segment remonte à 2018 avec le lancement de Lemon-Dou. S’ensuivent diverses associations avec des groupes allant de Constellation Brands à Molson Coors, entre autres.

Une tendance en vogue sur le marché. Puisque Pepsi, concurrent de Coca s’y est également mis depuis peu. Aux consommateurs d’apprécier « Jack & Coke ».

Vacances d’été : la SNCF face au flux de voyageurs

Une TGV en France

 

Après deux années de restrictions sanitaires, les Français comptent pleinement profiter des vacances d’été 2022. Ils sont nombreux à vouloir partir loin de chez eux pour se reposer, tandis que les touristes affluent de tous les horizons. Dans un contexte de flambée du prix du carburant, certains moyens de transports se frottent logiquement les mains. Il s’agit notamment du train, avec la SNCF, qui se dit déjà être à son maximum.

Un million de voyageurs en plus par rapport à 2019

Pendant deux ans, les Français ont dû composer avec des restrictions sanitaires, qui les empêchaient de se déplacer convenablement. Heureusement, ces mesures ont été levées par le gouvernement en avril dernier. Une aubaine pour tous ceux qui ont l’habitude de partir en vacances en été. Si les Français manifestent le désir de s’en aller loin dans d’autres régions ou sous d’autres cieux, les touristes eux affluent en masse en France comme chaque année avant la pandémie.

Une situation qui ravit les restaurateurs, les propriétaires de bars, d’hôtels et de sites touristiques. Mais également les compagnies de transports, en tête la SNCF. En effet, l’entreprise ferroviaire publique française va faire du chiffre avec les nombreux départs et déplacements attendus. Elle profitera particulièrement de la hausse des prix du carburant pour capter de la clientèle. En effet, la flambée de l’essence pousse les particuliers à laisser leurs véhicules à la maison pour prendre le train. La SNCF attend ainsi un million de voyageurs de plus qu’en 2019.

Des trains complets en aller-retour

Afin de répondre à cette hausse de la clientèle, la SNCF a mobilisé toute sa flotte de rames disponibles. La compagnie compte particulièrement mettre en route toutes ses chenilles pendant les journées de pics. En priorité lors de la semaine du 14 juillet. Elle a prévu la circulation d’au moins 3000 TGV dans cette période. Mais cela risque de ne pas suffire. Comme de nombreux Français le constatent déjà.

De fait, bon nombre de passagers ont rapporté ces derniers jours que la plupart des trains affichent complets. Ils notent aussi que le prix des tickets s’élève désormais au-dessus de 100 euros pour un aller simple. Ils observeraient cette situation sur presque toutes les lignes en France. La situation ne devrait pas s’améliorer avant au moins un mois, croit-on d’ailleurs. Ceux qui ont attendu les derniers jours pour prendre un billet en viennent ainsi à le regrettent.

Récupérer des pertes des années de pandémie

La SNCF confirme l’engouement des Français pour les vacances d’été. La compagnie dit avoir vendu, le mercredi 15 juin, au moins 6,5 millions de billets TGV pour des circulations en juillet et août. Ce qui correspond à 10 % tickets écoulés en plus par rapport à la mi-juin 2019. Pour le pont du 14 juillet, un TGV sur deux afficherait déjà complet pour les retours du 17.

C’est pourtant dans ce contexte de forte tension sur les lignes que des grèves s’annoncent à la SNCF. En Ile-de-France, des conducteurs ont perturbé deux lignes de RER et deux lignes de Transilien le lundi 13 juin 2022. Mais Christophe Fanichet, président-directeur général de SNCF Voyageurs, se veut rassurant. Selon lui, le trafic ne sera pas perturbé. Il le faudrait d’ailleurs pour permettre au groupe de récupérer des pertes subies à cause du coronavirus.

Le nouveau numéro de Maison actuelle est disponible

Le soleil est là ! La revue spécialisée dans la décoration Maison actuelle aussi. Cette 76ème édition vous propose d’aménager l’intérieur de votre maison à votre image. Mais comme bien évidemment vous allez passer du temps dehors, la revue livre aussi ses conseils pour aménager un extérieur très confortable !

L’été pointe le bout de son nez. Et ses beaux jours sont synonymes de gaieté et de projets. C’est pourquoi le nouveau tirage du magazine Maison actuelle vous invite à repenser votre habitation. A commencer par l’intérieur. Grâce à de multiples astuces, vous décorerez toutes vos pièces, de la chambre à la cuisine, afin de vivre dans une maison qui vous ressemble totalement.

Les prévoyants ont pris le soin de préparer la venue de l’été avec les aménagements nécessaires. Ce n’est pas votre cas ?! Pas de panique, « il n’est jamais trop tard pour tondre la pelouse, installer des stores et un parasol, faire construire un gazebo ou encore changer de portail », rassure Didier Granilic, le rédacteur en chef. Alors suivez ses conseils pour investir dans des équipements qui vous assureront de passer cette belle saison dans le plus grand confort !

L’été rime souvent avec congés. Alors pourquoi ne pas mettre à profit ce temps libre pour enfin commencer les grands travaux de vos rêves ?! Il y a toujours à faire dans une maison : rénovation du plafond, du système de chauffage, de la cuisine, de la salle de bain, des portes ou encore des fenêtres… En feuilletant les pages du magazine, vous retrouverez tous les bons plans pour allier l’utile et l’agréable, le nécessaire au souhaitable, ou encore les désirs et la réalité du porte-monnaie.

 

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France : le casse-tête des constructeurs automobiles se poursuit

Le secteur enregistre pour la douzième fois consécutive fin mai, une baisse des livraisons. Les perspectives d’avenir sont si mauvaises que de nombreux acteurs craignent un retour au pire moment de 2020 marqué par une morosité due au Covid.

Il ne fait pas bon d’opérer dans la vente de véhicules en France en ce moment. Depuis quelque temps, le secteur connaît un contexte économique défavorable. À tel point qu’il vient de boucler sa douzième période consécutive de baisse des livraisons, selon les chiffres de la Plateforme automobile (PFA), organisation regroupant les industriels du secteur dans l’Hexagone.

Les résultats pour le mois écoulé témoignent en effet de 126 813 immatriculations seulement. Soit un recul de 10,09% sur une année. 2022 en l’occurrence semble avoir commencé sous de très mauvais auspices, à en croire les données disponibles à ce jour. Elles concernent notamment 600 897 véhicules immatriculés depuis janvier. Soit une chute de 16,92% par rapport à la même période il y a un an.

Demandes difficilement honorables

À l’origine de cette situation, figure moins la demande que l’offre. Le besoin d’acquérir de nouvelles quatre routes reste toujours aussi prégnant chez les Français. Mais les constructeurs automobiles ne parviennent pas à honorer les demandes par manque de disponibilité des véhicules. Ces derniers voient en effet leur construction pâtir à nouveau de la pénurie de semi-conducteurs.

La paralysie de la chaîne d’approvisionnement de ces composants essentiels dans le fonctionnement de tout circuit électronique est renforcée par la résurgence des cas de Covid-19, principalement en Chine où l’État reste fidèle à sa drastique politique sanitaire baptisée « zéro Covid », malgré les critiques. De fait, plusieurs firmes basées à Pékin, Shanghai et dans les autres villes chinoises ont été contraintes, ces dernières semaines, de fermer boutique pour cause de pandémie.

Crainte du pire

Cette combinaison de facteurs fait désormais craindre le pire pour la filière automobile. Et pas seulement en France. Puisque la pénurie mondiale de semi-conducteurs devrait continuer jusqu’en 2024, selon Gina Raimondo, secrétaire américaine au Commerce. « Je ne vois pas la pénurie de puces s’atténuer de façon significative l’année prochaine », a-t-elle déclaré mardi dans des propos repris par Le Figaro.

Les acteurs redoutent par conséquent que le marché de l’automobile ne connaisse une période aussi mauvaise, voire pire que celle de 2020, au début de l’apparition du Covid. À l’époque, le secteur avait dégringolé de plus de 25% en France. Une première depuis 1975.

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