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Nice (Coronavirus) : les policiers ont commencé à verbaliser les passants sur le port du masque

Station balnéaire à Nice (France).

 

La ville de Nice a rejoint lundi d’autres métropoles françaises qui ont imposé le port du masque dans les rues, comme Lille et Paris. Les contrevenants s’exposent à une amende de 35 euros, entre 10 h à 1 h du matin.

Depuis le lundi 3 août, le port du masque est obligatoire dans les rues de Nice, à l’instar d’autres métropoles françaises comme Paris et Lille. Un arrêté municipal précise que tout habitant doit s’y conformer de 10 heures à 1 heure du matin dans un périmètre « qui va de Gambetta à l’ouest, la gare Thiers au nord, Barla à l’est et le port à Magnan au sud ». Seuls les enfants de moins de 11 ans pourront sortir sans masque.

Des haut-parleurs rappellent les mesures barrières

Une dizaine d’agents de la police municipale circulent depuis ce mercredi matin sur les sites les plus fréquentés pour faire de la prévention et sanctionner en cas de non-respect de la mesure. Les contrevenants encourent une amende de 35 euros. Comme la prévention prime sur la répression, la Ville de Nice a installé dans le prolongement de la Promenade des Anglais des haut-parleurs qui rappellent toutes les demi-heures « la nécessité de respecter les gestes barrières » aux passants désinvoltes et aux vacanciers insouciants. Ces haut-parleurs, une quinzaine, étaient déjà utilisés pendant le confinement. Une dizaine de plus devrait être déployée pour faire respecter le port du masque. La police appelle également les habitants et touristes à ne pas s’attrouper, à laisser la plage propre, à ne pas troubler le voisinage avec de la musique ou à ne pas consommer d’alcool passé une certaine heure.

Quand la verbalisation prendra-t-elle fin ?

Interrogé sur la durée de l’obligation du port de masque, l’édile de Nice, Christian Estrosi avait répondu : « Jusqu’à ce qu’on me dise qu’il (le virus) ne circule plus (…) J’ai eu un cap pendant toute cette période, que je n’ai pas quitté et que je ne quitterai pas jusqu’à ce qu’on ait atteint 50 % d’immunité, si le vaccin n’est pas sorti d’ici là ».

Les gestes barrières font partie intégrante des vacances à Nice

Actuellement, on observe une hausse des cas de coronavirus en France et dans le monde, notamment en Espagne et aux Etats Unis. D’où le besoin de respecter scrupuleusement les gestes barrières : port du masque, distanciation sociale ou encore lavages de mains réguliers. Ils font partie intégrante des vacances, selon Christian Estrosi, dont les services ont déjà rappelé à l’ordre 23 bars et restaurants. Leurs terrasses risquent aussi d’être supprimées s’ils ne respectent pas les règles sanitaires.

Hausse des achats en ligne : les entreprises face au défi du suivi de la livraison

Suivi livraisons, Hub One, entreprises

Suite à la crise sanitaire, les comportements des populations ont évolué par rapport à leurs habitudes de consommation. Initialement, les achats physiques constituaient encore une norme pour beaucoup de consommateurs. Cependant, suite au Coronavirus, les consommateurs ont fait évoluer leurs habitudes et ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers les achats en ligne. Respect des gestes barrières, prix attractifs et suivi de livraison, au total, 76% des internautes auraient effectué au moins un achat en ligne au cours de la période du confinement

La tendance de l’achat en ligne se poursuit, même après le confinement

Pendant le confinement, les achats par Internet représentaient donc la seule alternative pour ceux qui souhaitaient acheter autre chose que des biens de première nécessité. Cependant, si l’on peut penser que le déconfinement allait renforcer le commerce physique au détriment de l’e-commerce, il n’en est rien…

En effet, malgré la réouverture des magasins, le nombre d’achats effectués en ligne reste stable. À l’image du télétravail, le confinement semble également avoir fait évoluer les mentalités sur les achats en ligne. Un véritable défi pour les entreprises, qui doivent assurer un suivi de livraison de qualité pour offrir à leurs clients le meilleur service possible. Le tout dans un environnement où le nombre de commandes en ligne connaît une forte hausse.

Suivi de livraison : Hub One met en place des solutions pour répondre à la hausse des commandes

Face à ce nouveau défi pour les entreprises, la hausse du nombre des commandes est un problème majeur. Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de concilier le commerce physique et l’e-commerce sans engager une mutation majeure dans l’organisation du travail des salariés.

Pour simplifier le travail des employés pour la préparation de commande et le suivi de livraison, Hub One, une société française spécialisée dans les télécoms, propose différents services qui doivent permettre aux entreprises de simplifier leur transition vers le commerce numérique. Ainsi, des services tels que Hub One Delivery ou encore Hub One Geolocation doivent permettre d’optimiser le suivi de livraison et satisfaire au mieux une clientèle de plus en plus nombreuse et de plus en plus exigeante.

Nike : Paris accueille une House of Innovation de la marque

Le siège de House of Innovation à Paris.

 

Après New York (Etats Unis) et Shanghai (Chine), Paris a accueilli jeudi dernier une House of Innovation de Nike. Situé au 79 avenue des Champs-Élysées, ce magasin combine consommation digitale et physique. Le concept illustre le virage numérique opéré depuis quelques années par le groupe américain.

Nike a ouvert, le jeudi 30 juillet 2020, une House of Innovation dans l’historique 79 avenue des Champs-Élysées à Paris. C’est le premier magasin de ce type de la marque au swoosh en Europe et le troisième dans le monde après ceux de New York (Etats Unis) et Shanghai (Chine). Avec quatre étages et plus de 2400m2, cette « maison du futur » combine consommation digitale et physique.

Un magasin hyper digitalisé et connecté

La nouvelle boutique parisienne comprendra de nombreuses sections. Parmi lesquelles figure « Mission Control », juste à l’entrée, qui a pour objectif de connecter tous les passionnés de sport à une échelle locale et mondiale. A ce niveau, le client prendra soin de télécharger l’application Nike afin d’accéder aux produits qui lui  « correspondent ». L’immersion se poursuit avec le « Bra Fit by Nike », un service destiné à la gente féminine. Il inclut de la personnalisation, des recommandations « Shoe Fit by Nike » et la possibilité d’enregistrer les informations sizing dans son profil pour les futurs achats.

Il y a ensuite, l’étape « Kids Pod » qui propose des jeux interactifs, la plus grande sélection pour enfants de France, ainsi qu’un espace ludique pour les essayages. Ces derniers terminés, le client n’a qu’à prendre son smartphone, scanner ses articles et payer depuis l’application. Il n’a donc plus besoin de passer à la caisse. Pour profiter au maximum du numérique, Nike Même offre également différents services digitaux comme Buy Online, Reserve in Store, Nike Scan to Learn, Nike Scan to Try et Nike Shop the Look.

« Le concept de vente au détail le plus grand, le plus connecté et le plus immersif au monde »

Fait intéressant, la boutique très high tech de Nike s’inscrit dans la tendance « Move To Zero » car construite avec plus de 85 000 kilos de matériaux durables. Par ailleurs, elle fonctionnera uniquement avec des énergies renouvelables. « Lorsque les consommateurs entreront dans Nike Paris, ils découvriront notre concept de vente au détail le plus grand, le plus connecté numériquement et le plus immersif au monde », promet Heidi O’Neill, présidente de Consumer and Marketplace. « Cette ‘House of Innovation’ représente notre volonté de créer des lieux inspirants qui, en même temps, offrent les produits les plus innovants. Les consommateurs feront l’expérience de notre concept le plus immersif d’une manière entièrement personnalisée. », a-t-il ajouté.

Rénovation énergétique : Emmanuelle Wargon promet de doubler le budget de MaPrimeRénov l’an prochain

Un ouvrier du bâtiment en train de renover une maison.

 

À l’issue du Conseil de défense écologique du lundi 17 juillet, la ministre en charge du Logement, Emmanuelle Wargon, a promis de doubler le budget de MaPrimeRénov l’année prochaine pour passer à 2 milliards en 2021 et 2022.

La principale aide à la rénovation des logements, MaPrimeRénov, verra son budget doubler l’an prochain, a annoncé lundi le gouvernement, qui veut mettre ce sujet au cœur du grand plan de relance. « On va commencer par augmenter massivement les aides aux propriétaires pour la rénovation », a déclaré la ministre du Logement Emmanuelle Wargon sur la chaîne CNews. « L’enveloppe de la prime, MaPrimeRénov, on la multiplie par deux l’année prochaine et par plus de deux l’année d’après », a-t-elle précisé.

D’un milliard évoqué la semaine passée à deux milliards finalement

La semaine dernière, Emmanuelle Wargon avait annoncé que tous les ménages redeviendraient éligibles à cette aide, alors que les plus riches en avaient été exclus. Elle avait aussi promis un budget supérieur l’an prochain aux 800 millions d’euros de cette année. Mais elle n’avait évoqué qu’une enveloppe supérieure à un milliard. Finalement, « on va passer à deux milliards donc on va vraiment augmenter beaucoup », a insisté mardi Emmanuelle Wargon. Cette enveloppe s’intégrera au plan de relance doté de 100 milliards d’euros, dont 30 millions dédiés à la transition écologique.

En effet, la rénovation énergétique des bâtiments, destinée à réduire leur consommation d’électricité ou de gaz, doit être l’un des grands axes d’un plan de relance économique consécutif à la crise économique et sanitaire du coronavirus. La présentation de ce plan se fera fin août. MaPrimeRénov’ est, actuellement, la principale aide dédiée aux propriétaires pour rénover leur logement afin de réduire sa consommation d’énergie.

Un prochain décret pour préciser le seuil de consommation d’énergie

Emmanuelle Wargon a, par ailleurs, mis en avant d’autres mesures déjà annoncées la veille par le gouvernement dans le prolongement des recommandations de la Convention citoyenne pour le Climat. Un prochain décret va ainsi préciser le seuil de consommation d’énergie au-delà duquel l’on ne pourra plus considérer un logement comme « décent ». Concrètement, à partir de 2023, un locataire pourra forcer son propriétaire à engager des travaux si le logement consomme plus de 500 kwh par an et par m2. Cette obligation s’appliquera à environ 120.000 logements.

Le web, terrain d’inspiration des passionnés de cuisine

D’après une étude menée par la société française Hubside avec OpinionWay, la cuisine a été le domaine le plus inspirant pendant le confinement. Plus de la moitié des Français (53 %) ont trouvé de l’inspiration sur le web.

Que faire pendant ces (longues) semaines de confinement ? La plupart des Français ont été confrontés à cette épineuse question depuis le 17 mars. Heureusement, ils ont trouvé des stratégies originales et amusantes pour tirer parti d’une situation a priori adverse, comme le montre un sondage réalisé par Hubside, le service de création de sites web, en partenariat avec la société d’études OpinionWay.

Sans surprise, dans un pays mondialement connu pour sa gastronomie et son art de vivre, l’art culinaire a été plébiscité. Pour 37 % des sondés, notamment chez les femmes (46 %), la cuisine a été « le domaine le plus inspirant pendant le confinement », révèle le sondage Hubside/OpinionWay.

Mais ce n’est pas tout. Si la tradition gastronomique française ne fait guère de doute dans le monde, notre vieux pays n’en est pas moins tourné vers l’avenir. Pendant le confinement, l’inspiration culinaire a largement été nourrie sur le web, puisque 53 % des sondés identifient les sites internet et les blogs comme une source privilégiée d’inspiration. Ils sont en outre 35 % à avoir cherché l’inspiration sur les réseaux sociaux.

Nouvelles technologies, vieilles passions

Alors la France, pays de traditions ? Oui, mais également pays d’innovation. La preuve : la communauté « food » est de plus en plus présente parmi les utilisateurs d’Hubside. Débutants ou confirmés, les passionnés de cuisine profitent de la plateforme pour créer une vitrine pour leur boutique, présenter leur travail de chef cuisiner ou encore partager leurs recettes et voyages culinaires.

Mais les nouveaux talents ne sont pas les seuls concernés par ces tendances. Les chefs cuisiniers Jean-François Piège et Hélène Darroze, le pâtissier Christophe Michalak et le chef des cuisines de l’Elysée, Guillaume Gomez, sont à quelques-uns des chefs célèbres qui ont profité du confinement pour prodiguer conseils et recettes depuis leur propre cuisine via les réseaux sociaux !

Bref, pendant ces dernières semaines, les Français ont su renouer avec leurs passions et leurs racines. Confortant les résultats de l’étude Hubside/OpinionWay, le baromètre réalisé par la régie publicitaire Teads (Altice) place la cuisine en deuxième position des contenus en ligne les plus consommés pendant la crise du Covid-19.

Seule la santé fait mieux

Avec 46 millions de visites (soit une progression de 42 % pendant le confinement), les pages autour de la thématique de la cuisine ont été plus visitées que jamais. Seule la thématique « santé, maladie, bien-être et hôpital » a retenu davantage l’attention des internautes (68 millions de visites).

Et, puisqu’en France tradition rime avec innovation, les internautes se sont également tournés vers Netflix. Grâce aux émissions souvent originales et parfois décalées de la plateforme, le riz au poulet de Singapour et l’okonomiyaki du Japon n’ont plus aucun secret pour nos apprentis cuisiniers.

Lesquels apprentis ne manqueront pas de faire des émules en dehors de l’Hexagone. En effet, la passion de la cuisine a même gagné les Américains, pourtant peu habitués à manger à la maison. Selon un sondage réalisé par la société d’études Hunter, plus de la moitié d’entre eux (54 %) assurent cuisiner davantage qu’avant la crise du coronavirus.

De quoi rassurer les autorités du pays. Alors que l’Amérique compte 42,2 % d’adultes obèses, la nourriture consommée en dehors de la maison est souvent plus calorique et plus grasse que celle faite au foyer, affirme le ministère américain de l’Agriculture.

James Bond : Aston Martin redémarre la production de la DB5 de l’agent secret

La mythique DB5 d'Aston Martin dans un atélier de montage (Photo : Aston Martin).

 

Après 55 ans d’interruption, Aston Martin a décidé de relancer la production de la DB5, le modèle mythique de la marque britannique rendu célèbre par James Bond, dans le film « Goldfinger ». La production de ce modèle se fera en série limitée pour un prix d’environ trois millions d’euros.

Pour les fans de James Bond, c’est l’occasion de rouler au volant d’une véritable voiture d’espion. Aston Martin a annoncé le redémarrage de la production de la DB5, après 55 ans d’interruption. Cette reprise de la fabrication s’effectuera dans l’usine Aston Martin Heritage Division de Newport Pagnell au Royaume-Uni. Entre 1963 et 1965, la DB5 était l’une des voitures les plus emblématiques de la marque britannique, grâce au film de la saga James Bond Goldfinger, sorti en 1964.

Une puissance d’environ 290 chevaux

Ce véhicule sera une parfaite reproduction de celui apparu dans la fiction, avec toutefois quelques ajouts pour répondre aux exigences des consommateurs de l’époque actuelle. Par ailleurs, Aston Martin prévoit d’inclure à l’intérieur de nombreux gadgets dignes d’un véritable espion. Le constructeur britannique équipera sa DB5 d’un six cylindres en ligne atmosphérique de 4,0 litres, avec une culasse à six étincelles, trois carburateurs et un refroidisseur d’huile. Le tout pour une puissance d’environ 290 chevaux.

La voiture bénéficiera également d’un diffuseur d’écran de fumée fonctionnel et situé à l’arrière, de plaques d’immatriculation tournantes et d’un bouclier arrière blindé. D’autres gadgets seront, eux, factices comme le projecteur de flaque d’huile, les mitrailleuses avant, le destructeur de pneus ou le bouton dans le levier de vitesse permettant d’actionner un siège éjectable.

Seulement 25 exemplaires mis en vente

Aston Martin précise que la fabrication de chaque DB5 prendra 4 500 heures de travail et que seuls 25 exemplaires seront proposés à la vente. Pour acquérir un modèle de cette série limitée, il faudra compter environ 3 millions d’euros.

La DB5 se présente comme l’une des voitures les plus belles de l’histoire et surtout l’une des plus célèbres grâce à l’agent secret 007. Un des exemplaires ayant servi lors du tournage de la saga James Bond Goldfinger s’est vendu à l’encan pour plus de 8 millions de dollars l’été dernier ! Le constructeur britannique en avait fabriqué moins de 900 entre 1963 et 1965.

Fortes chaleurs : attention danger pour les salariés

Selenca, été, travail, chaleur

À l’approche de la période estivale, les fortes chaleurs sont de retour. Parfaites pour se détendre, elles n’en sont pas moins dangereuses pour les travailleurs. En effet, outre les risques de déshydratation, la chaleur peut provoquer de nombreux soucis et impacter la santé des salariés. À l’extrême, un coup de chaleur peut conduire à un décès et c’est pourquoi il est impératif de se prémunir des risques liés à l’ensoleillement afin d’éviter tous les accidents.

La chaleur : un risque à prendre en compte toute l’année.

Bien que l’arrivée de l’été amène des températures plus chaudes, les risques liés à une exposition prolongée à la chaleur sont pourtant à prendre en compte toute l’année. En effet, de nombreux métiers sont soumis à des environnements de travail extrêmes même en hiver. Ainsi, pour les métiers liés à la métallurgie, à la cuisine ou sur certaines chaines de production, les travailleurs sont constamment exposés à des environnements thermiques avec une forte chaleur. En été, cette liste de métiers à risque s’allonge et les métiers du bâtiment et de l’agriculture viennent s’y ajouter.

Les symptômes d’une surexposition à la chaleur peuvent être nombreux et ne doivent pas être pris à la légère. La fatigue, les sueurs abondantes et les vertiges peuvent constituer des premières alertes et doivent être pris au sérieux. Cela peut alors empirer et entraîner des nausées, des crampes ou des maux de tête. De tels symptômes peuvent être précurseurs de problèmes plus importants, à savoir justement une déshydratation ou un coup de chaleur, qui, pour des cas graves, peuvent s’avérer mortels.

De plus, les fortes chaleurs ont tendance à épuiser plus rapidement les forces de travail. De ce fait, la vigilance des salariés tend à baisser plus vite et cela augmente les risques d’accident. De plus, d’autres facteurs tels que la transpiration peuvent rendre les outils glissants ou créer de la buée dans des lunettes et encore une fois augmenter le danger.

Pour limiter les risques, il n’existe pas de solution miracle contre la chaleur et la prévention reste le meilleur allié. Il faut alors aménager les conditions de travail et proposer à ses salariés des pauses, des rafraîchissements ainsi que des locaux adaptés.

Selenca, une entreprise française spécialisée dans la gestion des risques agricoles propose de nombreux équipements pour protéger les salariés. Elle offre également de nombreux outils de signalétique pour rappeler à tous les exigences réglementaires pour la sécurité au travail. La totalité de l’offre est disponible directement sur son site internet.

Gadget : Sony lance enfin son mini climatiseur portable Reon Pocket

Un mannequin rangeant le climatiseur portable Reon Pocket dans le cou, dans le t-shirt spécial.

 

Un an après avoir annoncé cet accessoire dans le cadre d’une opération de crowfunding, Sony lance la commercialisation de son climatiseur portable Reon Pocket. Vendu uniquement au Japon pour l’instant, il s’accompagne d’un t-shirt spécifique, dans lequel l’utilisateur le glisse.

Un dispositif qui diffuse à la fois de la fraicheur et de la chaleur

Révélé pour la première fois l’été dernier avec une sortie prévue pour coïncider avec les Jeux olympiques de Tokyo de 2020, le climatiseur portable de Sony est enfin disponible à la vente. En effet, l’entreprise japonaise a lancé la commercialisation de son accessoire Reon Pocket, la semaine dernière. L’appareil se place à la base du cou, dans la poche intérieure d’un t-shirt spécial vendu avec l’engin. Directement en contact avec la peau, il produit un effet de refroidissement proche de celui d’un glaçon. Cette douce sensation ne se limite pas au cou de son utilisateur, elle se répand dans tout le corps grâce à l’effet Peltier, un phénomène physique de déplacement de chaleur en présence d’un courant électrique.

Le Reon Pocket est réversible puisqu’il fonctionne comme une petite pompe à chaleur, qui peut refroidir la température de votre corps jusqu’à 12 degrés quand il fait chaud, ou vous réchauffer de 8 degrés les jours de froid. Il se pilote par une application dédiée sur smartphone via une connexion Bluetooth. L’appareil de 85 grammes se recharge comme un mobile, avec une prise USB de type C. D’après le constructeur japonais, le dispositif aurait une autonomie de deux heures, pour une recharge de deux heures à 100%.

Les prix varient entre 117 et 175 dollars selon le modèle

Sony décline son accessoire en deux versions : le Reon Pocket Standard et le Reon Pocket Light. Le Standard se présente comme le meilleur car il contient un mode automatique et promet une mise à jour logicielle, ainsi qu’un réglage du volume d’air. L

es prix varient d’environ 117 à 175 dollars selon le modèle et le nombre de chemises que vous souhaitez avec (une chemise coûte 20 dollars). Ce Reon Pocket serait idéal pour une utilisation au quotidien avec des allers-retours au bureau, à pied, à vélo ou bien évidemment en transports en commun. Mais, pour l’instant, il n’est vendu qu’au Japon. Il faudra donc patienter encore quelques mois pour le retrouver dans les commerces en France.

Comonimage : l’outil qui nous réapprend à écouter le monde

Comongo-Comonimage

Basée à Grenoble, la start-up française Comongo a mis au point un outil d’analysesémantique en ligne capable de réaliser des audits d’image et de communication àpartir des ressentis du public sondé. Une technique de travail inédite, qui ne se base pas sur du Big Data et de l’analyse massive des données, mais sur de la donnée qualitative. Comonimage, ce nouvel outil d’étude des ressentis et attentes, offre aux entreprises une solution abordable, simple d’utilisation, qui permet aux commanditaires de l’analyse d’initier un changement rapide et efficace au cœur de leur entreprise.

Comongo : la Beautiful Data au cœur de Comonimage

Pour mieux comprendre le fonctionnement de Comonimage, il faut remettre à plat toutes les idées reçues sur la collecte de données. Ici, avec l’outil de Comongo, il n’y a pas de Big Data, il n’y a pas de volumes infinis de données à exploiter ni de questionnaires composés de dizaines de questions fermées, qui limitent les formes d’expression du public sondé.

Avec Comonimage, les équipes de Comongo ont décidé de prendre le problème autrement et ont essayé de proposer une méthode de travail alternative. À ce sujet, Stéphane Labartino, le fondateur de Comongo, à l’initiative du projet, a déclaré qu’ils « n’abordaient pas la problématique de l’analyse sémantique la même manière que les approches de Big Data », simplement parce qu’ils « ne résolvaient pas la même chose ». Une approche qui se veut donc en rupture par rapport à celle centrée sur le Big Data. Baptisée « Beautiful Data » par Comongo, cette nouvelle forme de la donnée veut redonner la parole à l’humain et prioriser le ressenti en questionnant qualitativement et en distanciel des panels identifiés d’un ou plusieurs publics cibles, sans passer par l’agrégation de données de masse à travers le web ou de couteux achats de fichiers.

Afin de récolter cette « Beautiful Data », les équipes de Comongo ont développé une intelligence artificielle capable de donner de la profondeur et du sens à du texte. Le logiciel se base uniquement sur des réponses à des questions ouvertes, qui permettent d’assurer la liberté d’expression de chaque sondé. Ainsi, les réponses aux questions sont plus riches et l’étude en est d’autant plus intéressante et constructive.

En effet, Stéphane Labartino explique regretter le mode de fonctionnement de nombreux questionnaires basés sur des approches quantitatives et difficilement utilisables par des non-experts. À cause de l’omniprésence de questions fermées de types QCM ou de systèmes de notation d’échelle allant de 1 à 10 par exemple, les répondants aux études sont enfermés dans des questionnaires qui ne leur permettent pas de s’exprimer en totale liberté. D’un autre côté, les commanditaires de ces études se retrouvent face à des jauges de satisfaction, sans possibilité d’analyse profonde, car les champs de questions ouvertes ne sont pas remplis la plupart du temps, et s’ils le sont, les données restent trop complexes à analyser. Or, avec Comonimage, il est désormais possible pour chaque individu interrogé de répondre, sans barrière, aux questions qui lui sont posées, avant que l’algorithme ne traite les réponses avec rapidité et précision, sans biais d’interprétation.

Ce type d’approche permet aux entreprises commanditaires d’obtenir des résultats probants, qui sont au plus proche du ressenti réel du ou des publics sondés. Enfin, le gain de temps par rapport à une étude qualitative classique est considérable, en moyenne avec Comonimage, les résultats sont disponibles sous deux à quatre semaines, contre six mois en moyenne pour les études basées sur des études classiques …

Industrie 4.0 : Renault s’allie à Google Cloud pour accélérer la digitalisation de sa chaîne logistique

La marque au losange se lance dans l'industrie 4.0

 

Renault annonce ce jeudi 9 juillet, un partenariat d’envergure avec le géant américain Google Cloud. Objectif : accélérer la digitalisation de la chaîne logistique de ses 22 sites dans le monde.

Dans le cadre de son programme Industrie 4.0, Renault développe depuis 2016 sa propre plateforme pour connecter plus de 2500 machines et agréger les données industrielles de 22 sites du groupe dans le monde. En 2019, l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi avait fait appel à l’expertise de Google, avec l’intégration dès 2021 du système d’exploitation Android dans les véhicules connectés des constructeurs. Cette fois, Renault veut accélérer la digitalisation de sa chaîne logistique. C’est pourquoi, le groupe annonce un partenariat avec Google Cloud.

Des économies d’énergies de 10 à 20%

Cette alliance vise à « utiliser la force de Google en matière d’efficacité de stockage et de partage en temps réel des données, ainsi que d’intelligence artificielle » pour propulser le virage numérique des usines du groupe, selon Eric Marchiol, directeur de la transformation numérique de la fabrication et de la supply chain chez Renault. D’après le constructeur français, grâce à la captation et l’analyse des données, le travail des robots dans les ateliers peinture pourrait être amélioré, avec des économies d’énergies attendues susceptibles de grimper de 10 à 20%. « Dans les centres d’usinage, l’analyse des données doit nous permettre de réduire le nombre de rebuts et optimiser là encore la consommation d’énergie », a expliqué Eric Marchiol. Renault espère qu’environ 70% de ses machines seront connectées –et donc capables de remonter automatiquement des données– d’ici la fin 2021.

La propriété des données en question…

Google aidera aussi Renault à former plus de 40.000 salariés à l’exploitation de la donnée industrielle, par la mise en place de plusieurs modules de formation en interne. Mais que gagne en retour le géant de la tech ? Pour Google, le partenariat permettra de se confronter à des cas d’usage pour déployer des services à destination de l’industrie. « La technologie numérique a tout le potentiel pour avoir un impact significatif sur la production », a indiqué Thomas Kurian, PDG de Google Cloud, dans un communiqué. Il affirme vouloir « ouvrir la voie à une nouvelle ère d’excellence logistique ».

Alors que la sécurité des données confiées aux grands opérateurs cloud américains fait débat, Renault veut se montrer confiant. « Toute une partie de l’architecture de la donnée industrielle reste dans nos usines. Lorsqu’elles partent dans l’architecture cloud de Google, elles restent toujours la propriété de Renault et sont stockées en Europe de l’Ouest », assure François Lavernos, directeur des systèmes d’information industrie de Renault.

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