Accueil Blog Page 40

Mali : Aliou Diallo accepte la main tendue d’IBK

Aliou Diallo, le troisième homme de l’élection présidentielle malienne, a accepté la main tendue dimanche par le président Ibrahim Boubacar Keïta à l’opposition lors de son adresse à la Nation. « Il est temps de mettre cette élection derrière nous et d’envisager avec réalisme, détermination et sérieux notre avenir commun », a-t-il indiqué dans un communiqué diffusé sur sa page Facebook.

« Ce matin, j’ai suivi avec grand intérêt l’adresse à la Nation du Président de la République Ibrahim Boubacar Keita. J’ai noté sa volonté affichée de faire en sorte que l’ensemble des fils et des filles du Mali se retrouvent pour préserver l’essentiel », a déclaré Aliou Diallo avant de détailler les chantiers qui lui semblaient prioritaires pour l’avenir Mali.

Des chantiers au nombre de quatre selon le chef de file d’ADP-Maliba : « Mise en oeuvre de l’accord de paix, réformes politiques et institutionnelles, réforme du système électoral, développement économique et socio-sanitaire ». « La réponse à ces chantiers est forcément collective », a-t-il précisé avec une volonté affiché d’apaisement et de rassemblement.

« Toute l’élite politique sur laquelle les yeux des maliens sont rivés  doit montrer l’exemple et mettre de côté les différences pour s’entendre sur l’essentiel: refonder le Mali. « Renforcer la digue » est donc plus que jamais nécessaire », a-t-il également affirmé tout en donnant les motivations de sa démarche.

« Nous ne sommes pas opposés à un homme ou à un clan, mais plutôt à un système qui, depuis plus de 30 ans, valorise la médiocrité au lieu de l’excellence. Un système qui encourage la culture de la facilité au lieu de celle de l’effort. C’est ce système que nous nous engageons à combattre farouchement en cherchant à construire plutôt qu’à détruire. Nous resterons donc mobilisés et nous ne tomberons ni dans la compromission  ni dans la violence », a-t-il conclu comme un avertissement aux caciques du régime.

Aliou Diallo, un homme d’affaires de 58 ans, a été le candidat-surprise du dernier scrutin présidentiel, se positionnant en troisième position derrière IBK et Soumaïla Cissé et réunissant plus de 8% des voix. Un bon résultat électoral qui s’expliquait par une position de rupture par rapport aux systèmes politiques traditionnels et une volonté de pragmatisme économique et social afin d’améliorer concrètement les conditions de vie des Maliens.

Maison et jardin actuels lance un nouveau tirage

Alors que la sortie d’un nouveau numéro de Cheminée actuelle est imminente, la rédaction de l’un des autres magazines du groupe HD Média, Maison et jardin actuels, a décidé de relancer son tirage. Un succès qui s’explique de différentes manières…

Le tirage initial de Maison et jardin actuels a connu un important succès tant lié à son contenu qu’au contexte. En effet, on sait que la presse papier magazine connait se meilleures ventes lors de ses numéros estivaux.

C’est ce qui s’est passé avec Maison et jardin actuels, dont le dernier numéro « spécial été » a connu un franc succès.

D’ailleurs, les différents dossiers proposés par les rédacteurs de cette revue haut de gamme, aussi bien destinée aux professionnels qu’aux particuliers, avaient un aspect ludique et estival.

C’est le cas pour le dossier consacré aux installations aquatiques, « Poésie d’eau et de verdure : ambiance au jardin ». Un dossier complet et détaillé, qui donne de nombreuses astuces pour optimiser l’utilisation des éléments d’eau dans son jardin. Toujours dans les mêmes thèmes rafraîchissants et liés à l’été ou aux vacances, l’article « Extérieur d’exception : arrosage automatique, piscine, domotique », fait le point sur les dernières tendances et évolutions technologiques qui permettent de transformer un simple jardin en espace de rêve.

Au niveau de la découverte, comme toujours, les équipes de Maison et jardin actuels sont allées à la rencontre du terroir français, nous proposant une évasion, pour « se ressourcer ». Et bien sûr, quoi de mieux ?!

Enfin, la revue nous offre une pause gourmande à la découverte du Relais de polignac, le mythique producteur de safran.

Autre succès du groupe de presse cet été, la diffusion de Maison actuelle, revue phare du groupe HD Média, s’est considérablement développée pour son dernier numéro.

Depuis plus de 10 ans, les experts du groupe HD Média mettent leur savoir-faire, leur curiosité et surtout leur passion au service de la rédaction de ces magazines de pointe que sont Déco Mag, Maison actuelle, Maison et jardin actuels et Cheminée actuelle.

Forte baisse de la consommation de viande en France

Selon le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CREDOC), la prise de conscience environnementale massive de la population ainsi que incertitudes liées au pouvoir d’achat ont entrainé une baisse de la consommation de 12% ces dix dernières années.

Dernière étude sortie d’une série de publication publiée tous les 3 ans portant sur les « Comportements et consommations alimentaires des Français », l’enquête menée sur prés de 2000 adultes et plus de 1000 enfants a établi cette baisse de la consommation. La méthode est simple, « Nous demandons de renseigner tout ce qui a été mangé pendant sept jours, lors des repas et hors repas, que ce soit au domicile ou à l’extérieur » explique Gabriel Tavoularis directeur d’étude et de recherche au CREDOC.

A partir des chiffres de 2016 que l’enquête présente, on apprend que la consommation de viande (les viandes bovine et ovine, la volaille, le gibier, la charcuterie, …)  pour un adulte est passée de 153 g journalier en 2007 à 135 grammes en 2016. De toutes les catégories ce sont les produits charcutiers qui ont subi la baisse la plus importante. Gabriel Tavoularis résume ainsi les résultats : Le constat est sans équivoque : les Français, tous âges et catégories sociales confondus, mangent moins souvent de viande ».

 Ce sont les cadres qui enregistrent de toutes catégories sociales la baisse de consommation la plus importante (-19%). On est bien loin de l’image de richesse, de prospérité qui qualifiait la viande auparavant. Enfin, la baisse est moins marquée chez les 18-24 ans que chez leurs ainées du fait de la consommation de nombreux plats déjà préparés (pizza, hamburger, …).

 

 

Monoprix : les courses nocturnes, bientôt terminées !

Voici une annonce de la plus haute importance pour les nombreux clients que compte l’enseigne Monoprix. Connu pour ses drôles de slogan mais également pour ses heures d’ouvertures très pratiques, l’enseigne a été sanctionnée par la justice, qui estime qu’elle ne respecte pas les règles du travail de nuit

Un démêlé avec la justice ?

Dorénavant, vous trouverez portes closes si vous vous présentez dans un Monoprix au-delà de 21 heures. Pour des raisons de non-respect du code du travail, l’enseigne Monoprix a été contrainte de fermer ses portes plus tôt dans la soirée. En effet, selon la cours d’appel de Paris, Monoprix ne respecterait pas certaines contraintes du travail de nuit. « Paris a enjoint la société Monoprix Exploitation de cesser d’employer des salariés dans es établissements parisiens, entre 21 heures et 6 heures, sous astreinte de 30 000 euros par salarié, qui serait présent dans les magasins au-delà de l’horaire fixé« , explique le journal des Echos.

Pour certains des magasins concernés, la cour estime ainsi que l’accord signé au sein de l’entreprise en décembre 2016 « ne prévoit pas de mesures suffisantes (garde d’enfants, moyens de transport, NDLR) destinées à faciliter l’articulation entre l’activité professionnelle nocturne et les responsabilités familiales ».

Que dit la loi ?

Selon les textes de loi, le recours au travail de nuit est exceptionnel. Il doit prendre en compte les impératifs de protection de la sécurité et de la santé des travailleurs et doit être justifié par la nécessité d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale.

« C’est pourquoi il doit être mis en place sous certaines conditions. Sauf cas particuliers, la période de travail de nuit commence au plus tôt à 21 heures et s’achève au plus tard à 7 heures. Pour être considéré comme travailleur de nuit, le salarié doit travailler avec une certaine régularité pendant ces périodes. Il bénéficie alors de différents droits et garanties : limitation de la durée du travail, repos obligatoire, compensations, accès prioritaire au travail de jour, suivi médical adapté, prise en compte des obligations familiales.
Des dispositions spécifiques s’appliquent dans le cadre du travail en soirée », explique le gouvernement sur son site internet.

Industrie du tabac : les nouvelles pratiques ahurissantes pour séduire les jeunes

Dans plusieurs pays, les publicités incitant à la consommation du tabac sont très contrôlées sinon interdites. C’est le cas en France avec la loi Evin, votée en 1991, interdisant la propagande du tabac. Afin de toucher un public toujours plus jeune, les marques de tabac n’hésitent pas utiliser les réseaux sociaux pour séduire une nouvelle clientèle. 

L’empire des médias sociaux

Depuis plusieurs années, le règne des réseaux sociaux est bien assis. En effet, Instagram, Twitter ou encore Facebook représentent les nouveaux moyens de communication et de partage de plusieurs générations. Les plus jeunes, nés dans les années 2000, en sont le parfait exemple et les premiers consommateurs. Avec cet engouement, les influenceurs fleurissent de jour en jour. Adulés par des milliers de followers (ndlr : personnes abonnées à leur compte), ils mettent en avant de nombreux produits tel que des vêtements. Les marques raffolent de ces influenceurs, véritables outils marketing. Mais où sont les limites ?

Les médias sociaux à la botte de l’industrie du tabac ?

Face au succès indiscutable des réseaux sociaux, les marques se bousculent pour séduire un jeune public par le biais des influenceurs. L’industrie du tabac l’a également compris et n’hésite pas à s’implanter sur les réseaux sociaux. Une pratique très critiquée puisque plusieurs associations dénoncent la non présence, sur la totalité des posts, les effets néfastes de la cigarette.

Pourquoi les marques de cigarettes visent-t-elles les réseaux sociaux ?

Comme nous l’avons expliqué quelques lignes au-dessus, toute une génération se retrouve quotidiennement à consulter les réseaux sociaux, qu’ils prennent souvent pour exemple. L’industrie du tabac souhaite alors viser de jeunes personnes, qui peuvent potentiellement, représenter une nouvelle génération de fumeurs.

 

RyanAir : emmener un bagage en cabine, un service qui se paye !

La semaine dernière, la compagnie aérienne Ryanair, connue pour ses tarifs très abordables, a annoncé que la prise en charge de bagage (en cabine) allait devenir payante. A partir du 1er novembre prochain, les passagers vont devoir débourser entre six et dix euros de plus. 

A vos portefeuilles !

La compagnie low-cost a annoncé qu’emmener un bagage en cabine deviendrait payant. En effet, au 1er novembre prochain, les adeptes de Ryanair devront débourser entre six et dix euros pour emporter avec eux un bagage allant jusqu’à 10 kilos. Par ailleurs, le groupe irlandais a expliqué qu’il acceptera toujours les petits bagages, pouvant se ranger sous le siège.

Les retards pour justifiés cette mesure

En argument phare pour justifier cette tarification, Ryanair avance la question des retards intempestifs, impactant le trafic de la compagnie. Le transporteur irlandais, première compagnie aérienne européenne en termes de passagers transportés, a dit avoir décidé cette mesure pour lutter contre le retard de ses avions induit par des personnes embarquant trop de bagages à main à bord. En effet, lorsqu’un passager se voyait refuser un bagage à main, celui-ci devait automatiquement être envoyé en soute, engendrant ainsi une multitudes de retards.

Le transporteur irlandais, première compagnie aérienne européenne en termes de passagers transportés, a dit avoir décidé cette mesure pour lutter contre le retard de ses avions induit par des personnes embarquant trop de bagages à main à bord.

Mali : les enseignements de l’élection présidentielle

Le deuxième tour de l’élection présidentielle malienne s’est tenu dimanche. Les résultats sont attendus dans les prochains jours mais, sauf surprise, le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta devrait être réélu au terme d’un scrutin marqué par des fraudes massives et une abstention record.

La réélection annoncée d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) pour un second mandat est inquiétante à bien des égards pour le Mali. Le bilan du président sortant est maigre entre son incapacité à juguler la menace terroriste dans le nord et le centre du pays et les multiples scandales politico-financiers auxquels lui et ses proches ont été mêlés au cours des cinq dernières années.

Son impopularité n’aurait pas dû l’autoriser à se faire réélire… mais la politique africaine a parfois ses raisons que la raison ignore. Surtout quand on dispose des moyens de l’Etat pour faire campagne et pour contrôler l’ensemble du processus électoral. Car le scrutin de 2018 aura été marqué comme jamais dans l’histoire malienne par des accusations de fraudes de la part de l’opposition.

Bourrages d’urnes, urnes retirées des bureaux de vote, faux électeurs,… La litanie des accusations des membres de l’opposition et des observateurs internationaux est longue comme le bras. De quoi fragiliser un peu plus un président mal réélu dont la victoire et la légitimé resteront entachées de lourds soupçons de fraudes.

Autre enseignement clé de ce scrutin : l’incapacité de Soumaïla Cissé, considéré avant le scrutin comme le favori de l’élection, à mobiliser au-delà de son camp et à incarner l’espoir du changement et de l’alternance aux yeux de l’opinion publique malienne. Son faible score au premier tour l’a quasi-condamné à n’être qu’un observateur sans réelle chance de remporter la victoire finale.

Soumaïla Cissé, comme IBK d’ailleurs, est sans doute en bout de course politique. Septuagénaires, les deux hommes ont sans doute livré leur dernière joute électorale. Le scrutin de 2018 marque sans doute la fin d’une ère, celle d’une génération qui a accédé au pouvoir au début des années 1990, sans jamais chercher à passer la main aux générations suivantes.

Le dernier enseignement de ce scrutin est un frémissement et un souffle d’optimisme pour la suite porté par la candidature de l’entrepreneur Aliou Diallo. Inconnu du grand-public il y a encore six mois, le fondateur de Wassoul’Or est parvenu à s’imposer comme le troisième homme du scrutin et a animé la campagne électorale par ses propositions fortes et sa volonté de faire de la politique autrement.

Aliou Diallo a pris rendez-vous avec l’avenir au cours des semaines écoulées. La tonalité de sa candidature pourrait donner des idées à toute une jeunesse qui s’est aujourd’hui détournée de la politique et des luttes stériles d’appareil. Avec un IBK démonétisé et une opposition à réinventer, le champ des possibles semble vaste.

Listeria : plusieurs enseignes françaises touchées

Il y a quelques semaines, la listériose (notamment sa bactérie la listeria), a fait surface pour la plus grande gêne de la chaine de fast-food McDonald’s. Ces derniers jours, plusieurs grandes enseignes comme Monoprix, Intermarché ou encore Auchan ont vu plusieurs de leurs lots contaminés. 

Infection à la listeria : un mal invisible ?

« La bactérie responsable de l’infection est fréquemment retrouvée dans l’environnement (sols, végétaux, eaux usées) et dans le tube digestif de nombreux animaux, qui se contaminent en se nourrissant. Elle résiste au froid et peut donc proliférer dans le réfrigérateur et survivre dans le congélateur, mais est tuée par la chaleur. Les aliments crus sont ainsi les plus fréquemment contaminés : fruits et légumes mal lavés, produits laitiers non pasteurisés et fromages au lait cru, viandes peu cuites, produits de charcuterie, poissons fumés et crus, coquillages crus, ou encore graines germées. Il est impossible de reconnaître un aliment contaminé par Listeria, il a la même apparence, le même goût et la même odeur qu’un produit sain. L’ingestion de la bactérie n’entraîne pas forcément la listériose, il faut en consommer une dose élevée pour risquer d’être malade. Certains individus sont des porteurs sains, c’est-à-dire qu’ils portent la bactérie en eux sans développer la maladie« , explique le ministère de la Santé.

Des enseignes françaises touchées par la bactérie

Les consommateurs sont invités à vérifier le contenu de leurs frigos. Plusieurs marques ont récemment rappelé des produits soupçonnés d’avoir été contaminés par la bactérie listeria monocytogènes. Cette dernière vague de rappels concerne les enseignes Leclerc, Auchan, Intermarché, Carrefour, Casino, Leader Price ou encore Monoprix. Leur liste a été établie par le site de la revue 60 Millions de consommateurs, qui recense toutes les alertes sanitaires relatives à des produits du quotidien.

Une dizaine de produits pourraient être affectés par la bactérie Listeria, responsable de l’infection de la listériose, maladie dangereuse pour les personnes âgées et les femmes enceintes. En cas de possession de l’un des aliments listés, il est donc recommandé de ne surtout pas le consommer. Tous peuvent être rapportés sur leur lieu d’achat pour un remboursement.

Wi-Fi d’entreprise : comment choisir ?

Le monde de l’entreprise a changé et continue d’évoluer. C’est de moins en moins sur un poste de travail, derrière un ordinateur fixe, que les équipes travaillent et interagissent. A l’ère  de la mobilité et de la collaborativité, les entreprises doivent se doter de réseaux Wi-Fi sécurisés, à très haut débit, et offrant une couverture aussi large que possible aux utilisateurs.

Salles de réunions. Espaces collaboratifs. Zones de détente et cafétérias. Le besoin de connectivité au sein de l’entreprise est désormais total. L’ensemble des collaborateurs d’une société doivent à tout moment avoir un accès rapide et sécurisé à Internet pour faire face aux nouvelles réalités du monde du travail et permettre à l’information de circuler sans entrave au sein de l’entreprise.

Si la mise en place d’un réseau Wi-Fi d’entreprise est une évidence, comment choisir ce réseau ? Vitesse ? Sécurité ? Maintenance et administration ? La plupart des entreprises font le choix de se tourner vers un prestataire spécialisé dans l’installation et l’administration d’un réseau Internet local sans fil (WLAN) d’entreprise.

Outre une couverture Internet Très Haut Débit et ininterrompue déployée partout dans l’entreprise, les professionnels de l’opération et de l’administration d’un réseau Wi-Fi d’entreprise doivent assurer une supervision 24/24 et 7/7 du réseau afin de détecter et d’anticiper les incidents.

Ces professionnels, à l’image de l’opérateur Télécom Hub One, l’un des leaders français du secteur, doivent également s’assurer de l’interopérabilité de tous les types d’infrastructure, comme les bornes ou le câblage, et garantir une interface client ergonomique pour comprendre les performances du réseau et analyser les usages qu’en font les collaborateurs de l’entreprise.

Hub One propose à ses clients des solutions basée sur une technologie UCOPIA (leader du marché), qui sont opérées et administrées à 100% par ses équipes en fonction des besoins des clients. L’architecture du réseau est hébergée pour réduire l’investissement nécessaire en équipements sur site avec un engagement de disponibilité « bout en bout » de 99,8%.

Les arrêts maladie changent de payeurs ?

Lorsqu’un employé d’une entreprise est malade, il est coutume que la caisse primaire de maladie et d’assurance (CPAM) prenne en charge certains coûts. Mais aujourd’hui, le gouvernement réfléchit fortement à faire payer les employeurs pour les courts arrêts maladie de moins de huit jours. Une idée qui les insurge. 

Afin de réaliser des économies et surtout de réduire le nombre d’arrêts maladie, le gouvernement est entrain de réfléchir à une nouvelle piste de financement de ces arrêts, suite à un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales. Il semblerait que les entreprises devront mettre la main à la poche pour payer eux-mêmes les arrêts maladie.

Aujourd’hui, lors d’un arrêt de travail,les trois premiers jours d’arrêt ne sont pas indemnisés. Après cette période appelée carence, suivent les versements des indemnités journalières par la sécurité sociale. Avec cette mesure portant sur les arrêts maladie de moins de huit jours, ce sont les employeurs qui paieraient les indemnités des jours restants. Cet étonnant projet pourrait coûter la modique somme de 900 millions d’euros aux entreprises.

« On n’est pas sur des sommes futiles, on parle de charges massives. Une telle décision aurait forcément des conséquences en terme d’économie et d’emplois », dénonce sur France 2 Jean-Michel Pottier, vice-président de la CPME. »Le principe n’est pas acceptable. On ne peut pas dire qu’on baisse les charges pour les entreprises et, à côté, nous taper dessus à la première occasion« , s’insurge Alain Griset, le président de l’U2P, dans les colonnes du Figaro.

Les salariés pourraient également pâtir de cette éventuelle réforme selon ses détracteurs. “Je ne doute pas que certains employeurs décideront de rogner les augmentations des salariés pour faire face à ces nouvelles dépenses”, expose Jean-François Foucard, secrétaire national à la CFE-CGC (Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres).

Articles les + lus