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Education nationale : le palmarès des lycées dévoilé

Il n’est pas toujours évident pour les futurs lycéens de choisir l’établissement scolaire dans lequel ils passeront leurs trois prochaines années. Pour choisir, parents et enfants peuvent s’appuyer sur le palmarès dévoilé par l’éducation nationale.

Qu’est ce qu’un bon lycée ? Pour l’Education nationale, un bon lycée est un établissement qui fait mieux que prévu, en termes de prévisions et de résultats. Privé ou public, chaque établissement a une liste d’objectifs à laquelle il doit se tenir.

Le ministère de l’Education nationale rappelle que les résultats qu’il présente permettent de « rendre compte des résultats du service public d’éducation nationale et de donner aux responsables de ces établissements et aux enseignants des outils qui les aident à améliorer l’efficacité de leurs actions« .

De nombreux professionnels rappellent qu’il n’est pas dans l’intérêt des élèves de toujours s’orienter vers les lycées où le taux de réussite est excellent. En effet, il faut dans un premier temps, tenir compte du profil de l’élève et de son niveau scolaire : il ne tirera rien de bénéfique à intégrer un lycée prestigieux comme Henri IV ou Louis-le-Grand s’il n’est pas en mesure d’y suivre au mieux sa scolarité.

Certains lycées, qu’ils soient privés, publics, ou spécialisés, affichent un taux certes moins élevé de réussite au baccalauréat, mais cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut s’en éloigner.

Les lycées classés dans le palmarès bénéficient de ce qu’on appelle des « points de valeur ajouté ». Ils correspondent à une comparaison entre les résultats réels et les résultats attendus par le ministère. Par exemple, un lycée ayant un taux de résultat attendu de 85% au baccalauréat, se situera à priori plus entre 95% et 100% : il bénéficiera alors d’une valeur ajouté de 10 à 15 points. La plupart du temps, le taux de réussite attendu est revu à la baisse au regard de la réalité.

Pour ce palmarès 2018, voici quelques lycées sélectionnés :

Lycées privés :

  • Saint Joseph de Cluny (972) – taux de réussite au baccalauréat : 100%
  • Sainte Ursule-Louise Bettignies (75) – taux de réussite au baccalauréat : 100%
  • Jean Baptiste de la Salle (93) – taux de réussite au baccalauréat : 100%

Lycées professionnels :

  • Alphonse Benoit (84) – taux de réussite au baccalauréat : 94%
  • Yvon Bourges (35) – taux de réussite au baccalauréat : 99 %
  • Blaise Pascal (63) – taux de réussite au baccalauréat : 100 %

Lycées publics :

  • Jardin d’Essai (971) – taux de réussite au baccalauréat : 99%
  • Lavoisier (75) – taux de réussite au baccalauréat : 100%
  • Henri IV (75) – taux de réussite au baccalauréat : 100 %

Ceci est une liste non exhaustive, qui reprend les critères de sélection mentionnés ci-dessus. Pour plus de précisions, vous pouvez vous rendre sur le site du ministère de l’Education Nationale.

 

 

 

 

 

 

SNCF : 36 jours de grève

Depuis l’annonce du gouvernement concernant la fin du statut de cheminot, les syndicats ont décidé de mettre en place une grève « inédite. »

Le 26 février dernier, le gouvernement a annoncé un remaniement de la SNCF. En effet, le premier ministre Edouard Philippe entend réformer profondément le groupe de transport ferroviaire.

« Aux nouvelles générations, aux apprentis, à tous ceux qui veulent s’engager dans la SNCF, nous disons qu’ils bénéficieront des conditions de travail de tous les Français, celles du Code du travail. A l’avenir, à une date qui sera soumise à la concertation, il n’y aura plus de recrutement au statut », avait-il déclaré.

Bien que le gouvernement ait décidé de ne pas s’étendre concernant la gratuité des billets pour les familles de cheminots, ces derniers ne comptent pas en rester là et ont décidé d’agir par une « mobilisation innovante » : 36 jours de grève ont ainsi été décrétés par les syndicats et les cheminots.

Cette grève qui s’annonce n’est pas pour ravir les millions d’usagers prenant le train quotidiennement. Invité sur le plateau du journal télévisé du 20h, le patron de la SNCF, Guillaume Pepy, a déclaré : « c’est une mauvaise nouvelle, une mauvaise chose pour les 4,5 millions de Français qui prennent le train tous les jours. »

Le calendrier de la grève a été rendu public. En épargnant (pour l’instant) le week-end de Pâques, il s’agira d’une « grève reconductible de deux jours sur cinq à compter du 3 avril », a expliqué Laurent Brun, secrétaire de la CGT-cheminots. Cette mobilisation devrait s’étendre jusqu’au mois de juin, couvrant ainsi les vacances d’avril et les nombreux ponts du mois de mai.

« Les cheminots décideront en assemblée générale, le 3 avril, des formes de la grève et de sa reconductibilité. C’est notre conception de la démocratie ouvrière. S’ils veulent encore se mettre en grève le 5 avril, ils ont le droit de le décider, et nous leur donnerons les moyens syndicaux de poursuivre le mouvement« , a déclaré Eric Meyer, secrétaire fédéral de Sud-rail.
Avec cette déclaration, il est simple de comprendre que le calendrier de la grève peut encore être modifié et se voir alourdi.

 

 

 

Tabac : le feu aux poudres

Au 1er mars, le prix du tabac a augmenté d’un euro, une hausse significative s’inscrivant dans la volonté de passer au paquet de cigarettes à 10 euros, d’ici 2020.

L’Etat français, pour qui le tabac est un réel enjeu de santé publique, l’augmentation du prix d’un paquet de cigarettes n’est pas une idée nouvelle. Cette augmentation devrait continuer jusqu’en 2020, comme l’a confirmé Agnès Buzyn, ministre de la santé :

« La lutte contre le tabagisme, qui constitue la première cause évitable de mortalité, sera intensifiée à la fois au augmentant rapidement et fortement, dès 2018, le prix du tabac et en finançant des actions de prévention, de sevrage, et de recherche appliquée. »

« Mon objectif est que la génération qui naît aujourd’hui soit la première génération sans tabac », a-t-elle précisé.

D’autres initiatives, notamment celle de l’arrivée du paquet neutre en 2016, ont pour objectifs de dissuader les plus jeunes fumeurs. Malheureusement, bien que ces initiatives ont eu un impact sur les ventes, qui ont reculé de 1,49% en volume, les résultats restent insuffisants.

Ce que confirme le Docteur Lowenstein, président de l’association SOS addictions : 

« Le paquet neutre, on le sait, peut avoir de l’effet sur les fumeurs débutants, ceux qui ne sont pas encore trop addicts. Mais pour les autres, ce n’est pas la neutralité du paquet qui va les faire arrêter de fumer ».

Pour les consommateurs, toutes ces actions laissent perplexe, car beaucoup ne sont pas convaincus de l’efficacité de toutes ces mesures. Cependant, avec cette dernière hausse, les fumeurs et non-fumeurs considèrent que cela pourrait constituer un frein.

 

 

Réseaux sociaux : les jeunes de plus en plus seuls

Une étude publiée à la fin de l’année dernière indique une progression inquiétante de la solitude chez les jeunes. Une solitude qui coïncide avec l’utilisation progressive des réseaux sociaux. Et s’il y avait un lien ?

Et si, à force de passer voter temps le nez planté dans votre Smartphone, vous en oubliiez les vrais amis, la vraie vie ?

Qui ne s’est jamais fait cette réflexion, en constatant une brochette d’amis attablés dans un bar, où chacun fixe son téléphone en ne parlant quasiment pas à ses amis ?

Voilà l’interrogation que l’on est en droit de se poser à la lecture de l’angoissante enquête publiée en septembre dernier par le centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc ).

une étude qui conclue notamment que :

«Au total, 18% des jeunes, soit plus de deux millions, sont vulnérables socialement et ne rencontrent physiquement et ne passent du temps avec d’autres personnes que très rarement».

Ces résultats pourraient bien démontrer que nos jeunes adeptes de la communication, en sont en fait handicapés à cause de la technologie…

Nataïs : mangez du pop-corn durable

Le groupe Nataïs est spécialisé dans la production de pop-corn produit en France de manière durable et équitable. Son patron a même accompagné Emmanuel Macron, lors de son voyage en Chine.

Lorsqu’il s’est rendu en Chine en grandes pompes, avec une traditionnelle délégation de chefs d’entreprises venus signer des contrats, Emmanuel Macron a tenu à y incorporer un bel exemple de la réussite d’un modèle productiviste plus soucieux de l’homme et de l’environnement, en la personne de Michael Emans.

En effet, les pop-corn produits par l’entreprise de cet entrepreneur, Nataïs, sont tous issus de l’agro-écologie.

Un modèle environnemental et social plus juste et moins agressif qui n’empêche pas la société de suivre sa croissance.

Le chef d’entreprise à déclara, lors de cet événement, :

« Je suis ravi de prendre part à la visite en Chine de la présidence de la République Française et de représenter le savoir-faire de Nataïs. Notre objectif est de rencontrer et de tisser des liens pérennes avec les acteurs du gouvernement chinois et plus particulièrement avec les institutions agricoles. Nous faisons face aujourd’hui à des obstacles douaniers pour exporter le maïs. Nous souhaitons évoquer cette situation avec les autorités chinoises et trouver ensemble des solutions pour y remédier, afin que la filière pop-corn soit reconnue. »

« Dans un second temps, nous avons pour objectif de présenter le projet de Nataïs et notre engagement en faveur de l’agro-écologie. Nous avons en effet développé toute une panoplie d’initiatives (Green Tillage, désinsectisation naturelle, plantation de haies, etc.) afin de contribuer au respect de l’environnement et favoriser la préservation de la biodiversité. »

Le RER C indisponible au moins deux semaines supplémentaires

Les usagers franciliens du RER C vont devoir encore patienter et vraisemblablement galérer pendant au moins deux semaines, selon La SNCF.

Les fortes pluies qui ont touché la France ces dernières semaines auront fait beaucoup de dégâts.

Mais la décrue n’est pas fini et pourrait durer encore un moment et l’eau descend moins vite que prévu.

C’est pourquoi le fonctionnement du RER C a été officiellement suspendu jusqu’au 10 février 2018.

En  effet, le RER C, qui passe notamment par sept gares du centre de Paris (Saint-Michel Notre-Dame, Musée d’Orsay, Invalides, Champ de Mars, Avenue du Président Kennedy et Boulainvilliers) est déjà fermé depuis le 24 janvier.

Vendredi 2 février la SNCF a donc déclaré que « la reprise du trafic sur les gares intra-muros du RER C ne peut être effective lundi 5 février comme annoncé préalablement. […] « sur la base des prévisions de Vigicrue, la reprise est envisagée pour le samedi 10 février, au plus tôt ».

 

 

Des émeutes pour du Nutella

Une promotion sur les pots de Nutella a été à l’origine de plusieurs scènes d’émeutes en France.

Que seriez-vous prêts à faire pour acheter du Nutella 70% moins cher que d’habitude ? Cette question étrange, plusieurs centaines de consommateurs y ont répondu de manière violente.

En effet, la semaine dernière, les supermarchés Intermarché avaient décidé de lancer une opération promotionnelle sur la plus célèbre des pâtes à tartiner. Quatre des magasins de l’enseigne proposaient ainsi, pour une durée très limitée, d’acheter des gros pots de 950 grammes au doux tarifs de 1,41 euro.

Les consommateurs des régions concernées ont semble-t-il tous voulu sauter sur l’occasion, parfois au sens littérale et se sont des scènes d’émeutes qui ont été déplorées par les grandes surfaces.

Les images qui ont filtré sur le net montrent des acheteurs déchaînés, les bras chargés de pots de Nutella.

Un « bad buzz » pour Nutella, dont les dirigeants ont rejeté la faute sur ceux d’Intermarché.

Attention au prix des lunettes !

Un rapport alarme les consommateurs français sur les écarts de tarifs exorbitants qu’il peut y avoir entre différentes paires de lunettes.

L’achat de lunettes est un débat qui fait rage depuis de nombreuses années, en France, où l’on regrette bien souvent que la Sécurité sociale ne les rembourse pas mieux, alors qu’il s’agit évidement d’un besoin de santé de toute première nécessité.

Pour ajouter une goutte d’eau dans cet océan de mécontentement, l’organisation de défense des consommateurs, UFC Que Choisir a rendue publique, jeudi 18 janvier, sa dernière enquête sur les tarifs des lunettes.

Et le résultat est sans appel : les écarts sont bien trop importants et prouvent un abus de la part des vendeurs.

« Malgré l’apparition de la vente en ligne ou de chaînes d’optique réputées à bas coûts, le budget lunettes des Français reste le plus élevé des pays riches, avec un prix moyen de 316 euros pour une monture équipée de verres simples, et de 613 euros avec des verres progressifs ».

L’association, donne l’exemple d’une parie de verres simples pour un enfant, dont le tarif oscille sans la monture, « de 126 à 257 euros ».

 

Une prime de 50.000 euros par Français

C’est une proposition pour le moins saugrenue qu’a effectuée Julien Dray : et si les géants du web offrait une prime de 50.000 euros à chaque Français ?

Julien Dray est dans le creux de la vague et il a besoin de faire parler de lui. Après les scandale autour du financement de SOS Racisme, et d’autres affaires politico-judiciaire, le concernant, Julien Dray a vécu l’ultime humiliation affaire l’Affaire DSK, dont il était très proche.

Désormais membre d’un parti socialiste moribond, Julien Dray essaye de faire parler de lui en dehors de l’appareil, comme nombre d’éléphants.

C’est sans doute pour cette raison qu’il a lancé cette idée quelque peu démagogique, mais oh combien séduisante !

Les Gafa, ces géants du net (Google, Apple, Facebook, Amazon), accusés à raison de payer trop peu d’impôts par rapports aux bénéfices réalisés en France, devraient rembourser ces impôts sous la forme d’une prime de 50.000 euros reversée à chaque Français, le jour de ses 18 ans.

« Je propose qu’on mette en place une taxe sur les GAFA, qui permettra de constituer une dotation universelle pour chacun d’entre nous, de 50.000 euros, à l’âge de 18 ans », a-t-il déclaré sérieusement.

On imagine que les jeunes de 18 ans utiliseraient cet argent à bon escient…

Auto : limitation à 80 km/h !

Le Premier ministre, Edouard Philippe a confirmé le projet du gouvernement de limiter la vitesse réglementaire maximum à 80 kilomètres/heure, sur de nombreuses routes secondaires françaises. 

C’est la décision qui aura le plus contrarié les automobilistes français, qui y voient une nouvelle manière du gouvernement de faire payer le contribuable.

Alors que cette mesure rend furieux de nombreux Français et qu’un sondage YouGov pour 20 Minutes, publié la semaine dernière, indique que les deux tiers des Français estiment que cette mesure a comme unique but celui de remplir les caisses de l’état, le premier ministre est monté au front pour défendre son projet.

Ainsi, il a donné une interview au Journal du Dimanche, dans laquelle il annonce qu’il ne reculera pas sur cette loi, car elle permettra de « sauver des vies ».

Le Premier Ministre d’Emmanuel Macron a même garanti qu’il était prêt à être « impopulaire ».

S’il assure qu’il « comprend les arguments » des opposants à ce projet, il devrait tout de même mettre en place cette nouvelle interdiction cette année.

 

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