dimanche, novembre 2, 2025
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Locations touristiques : des vacances sereines

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Le beau temps fait son retour sur l’ensemble du territoire français, à quelques semaines à peine des premiers ponts de mai, et surtout, des vacances d’été. Une semaine, dix jours ou bien un mois pendant lesquels on souhaite généralement profiter, sans se ruiner. Les plateformes de locations touristiques sont en plein essor, et offre tout le confort attendu.

Depuis plusieurs années, les plateformes de locations touristiques sont en plein « boom ». Leader incontesté, Airbnb, propose des milliers de locations, toutes aussi diverses les unes que les autres. Aux quatre coins du monde, la plateforme offre à des millions de particuliers, la possibilité de mettre leur(s) bien(s) en location, qu’il s’agisse d’un appartement, d’une maison, ou bien d’un bateau.

Airbnb, bien qu’incontestablement leader sur le marché de location touristique, n’est pourtant pas la seule plateforme à proposer ce types de services. Par exemple, Wimdu, société allemande fondée en 2011, propose également des locations touristiques. Le fonctionnement de cette plateforme est relativement identique à celui de Airbnb. Le client peut choisir sa destination, les dates, et surtout le type de bien qu’il souhaite louer.

A la différence des groupes hôteliers, ces plateformes de locations touristiques permettent aux clients de vivre une expérience inédite, et à moindres frais. En effet, depuis l’explosion des locations entre particuliers, les hôtels peinent à rivaliser. Les prix proposés par les plateformes de locations sont très attractives, puisque la nuit revient généralement deux fois moins cher qu’une nuit d’hôtel. De plus, les locataires peuvent totalement s’immerger dans une culture différente de la leur, puisqu’ils auront l’impression d’être chez eux.

Malgré tous ces éléments positifs, Airbnb est actuellement dans une mauvais passe. En effet, la ville de Paris a décidé de l’assigner en justice, car la plate-forme ne respecterait pas la loi. Toutes les annonces proposées sur le site doivent, en principe, être référencées. Airbnb, qui se présentera devant la justice en juin prochain, pourrait être mal reçue.

 

 

 

Maltraitance animale : les nouvelles images choc de L214

La semaine dernière, l’association L214, surtout connue pour son implication à l’égard de la cause animale, a dévoilé des images choc, tournées dans un élevage de porcs dans le Tarn.

L’association L214, de son nom complet L214 éthique et animaux, est une association à but non lucratif française fondée en 2008, qui défend fermement la cause végane et les droits des animaux. Elle est très souvent à l’origine de scandales, que ce soit dans des abattoirs, ou comme ici, dans les élevages d’animaux.

Cette fois, les images dévoilées par l’association mettent en cause un élevage de porcs dans le Tarn, plus précisément dans le village de Peyrole, situé près de Lisle-sur-Tarn. Sur cette terrible vidéo, on y voit la vétusté de l’établissement dans lequel sont entassés des centaines de porcs.

« On y voit la saleté sur les murs, des rats morts, des porcs blessés aux oreilles ou sur les flancs, des mouches qui pullulent et une épaisse couche d’excréments sur laquelle vivent ces animaux. Ces cochons vivent déjà toute leur vie sur un sol bétonné et, circonstance aggravante, vivent dans cette situation là jusqu’à leur départ pour l’abattoir », dénonce Isis La Bruyère, porte-parole et membre du département enquêtes de L 214.

Le visionnage de ces images est insoutenable, d’autant plus pour les militants de la cause animale.

Une responsable de cette organisation de défense des animaux s’est notamment rendue à Albi en fin de semaine dernière, afin d’alerter les services vétérinaires dépendant de la préfecture. « C’est une situation que l’on retrouve fréquemment en France. Après, il y a des élevages plus ou moins bien tenu au niveau sanitaire », pointe Sébastien Arsac, militant de l’association L214. « Mais aujourd’hui, on porte plainte auprès du tribunal d’Albi pour mauvais traitements et sévices envers les animaux ».

Grève : sur terre et dans les airs

Le 2 avril dernier a marqué le début de longues journées de galères pour des millions de voyageurs. La SNCF prévoit une mobilisation inédite de 36 jours, qui courra jusqu’au moins de juin. A cette grève vient s’ajouter celle d’Air France. La semaine dernière, la compagnie aérienne a annoncé les dates de ses journées noires

Les voyageurs s’étant rabattus sur l’avion pour éviter la grève SNCF vont devoir trouver une autre solution. Prise dans une pénible mobilisation depuis dix jours, la population doit faire face et trouver de nouvelles alternatives, afin de ne pas impacter outre mesure leur vie quotidienne. L’avion, par exemple, a été sollicité et les achats de billets se sont multipliés depuis le début du mouvement.

Les syndicats exigent une hausse de salaire de 6 % pour tous les salariés, au moment où les résultats de l’entreprise s’améliorent. Ces 6 % seraient utilisés afin de compenser les pertes des revenus des années précédentes, et tirer profit de l’amélioration des comptes de la compagnie.

Pour Jean-Marc Janaillac, PDG du groupe Air France KLM et directeur de la compagnie nationale française, cette hausse de salaire est impossible. Il annonce que le groupe est allé au maximum de ce qu’il pouvait faire. Cette augmentation viendrait compromettre les chances pour Air France de continuer à être la grande entreprise internationale qu’elle est.

En conséquence, l’intersyndicale représentant tous les corps de métier de la compagnie aérienne Air France, a indiqué une série de trois arrêts de travail de 48 heures, les 10, 11, 17, 18, 23 et 24 avril prochains. Ces journées de mobilisation viennent s’ajouter aux précédentes, enregistrées depuis début 2018.

Samedi 7 avril, la grève avait conduit la compagnie aérienne à annuler 30 % des vols. Le plus fort taux depuis le début du mouvement.

 

 

Maison actuelle : diffusion dédiée à l’art

Dans son dernier numéro, Maison actuelle (diffusion en kiosque, sur Internet…)propose un large choix d’astuces et d’idées de décoration d’intérieur et d’extérieur haut de gamme. Il fait le point sur les dernières tendances en matière d’habitat.

« Aujourd’hui, la maison s’imagine économe, efficace, belle et respectueuse de l’environnement ». Pour respecter ces belles ambitions, Maison actuelle met tout en œuvre dans son dernier numéro. Le magazine propose à ses lecteurs les meilleurs conseils, afin de profiter au mieux de la douceur d’un intérieur bien dans notre époque.

Dans ce numéro, Maison actuelle consacre de nombreux dossiers dédiés au mobilier déco et à l’Eco-Design. Ses auteurs nous orientent vers de larges thématiques, toujours avec pour principal objectif, la satisfaction du lecteur. Dans sa catégorie « sélection », Maison actuelle met en lumière de nombreux événements, lieux et conseils, dont les lecteurs peuvent s’inspirer pour agencer leur habitat.

Maison Actuelle n’est pas le seul organe de presse à puiser son inspiration dans la tendance émergente qu’est la décoration. En effet, de nombreux magazines se sont mis au défi de proposer des contenus attractifs et novateurs.

Le très connu magazine « Elle » a, par exemple, développé « Elle Décoration ». Dans la même veine, la revue « Marie-Claire » a également lancé un site 100 % dédié à la décoration : « Marie-Claire Maison ». Sur ces deux sites vitrines, les lecteurs peuvent découvrir toutes les nouvelles tendances. Coloris en vogue, déco cuisine, astuces et bons plans : rien n’est laissé au hasard.

Maison actuelle n’a rien à envier à ses concurrents. Grâce à ses contenus pointus et variés, chaque lecteur peut trouver son bonheur, et faire de la revue sa source d’inspiration.

SNCF : début des journées noires

Depuis que le premier ministre Edouard Philippe a annoncé vouloir mettre un terme au statut de cheminot, les salariés de la SNCF se préparaient à une grève massive et « inédite ». Ces mouvements sociaux ont été lancés cette semaine.  

Le 26 février dernier, le gouvernement a annoncé un remaniement de la SNCF. En effet, le premier ministre Edouard Philippe entend réformer profondément le groupe de transport ferroviaire.

Pour des milliers d’usagers, le week-end de Pâques s’est mal terminé. Le mouvement de grève annoncé par les salariés de la SNCF a débuté ce lundi, dans la soirée même. Guillaume Pepy, directeur de la société nationale des chemins de fer français, avait mis en garde les usagers, les invitant à prendre leur précaution pour voyager dans les meilleures conditions possibles.

Même si tout avait été mis en place pour préserver les retours de ce long week-end, certains usagers ont du patienter plusieurs heures avant de prendre leur train, notamment à Paris ou à Bordeaux. D’entrée de jeu, des trains ont été retardés, voir annulés.

Pour ce premier jour avéré de grève, la SNCF ne prévoyait qu’un train sur huit sur les liaisons TGV : un sur quatre vers l’est de la France, un sur huit sur les axes nord et Atlantique et un sur dix vers Lyon, Marseille et Nice. Les liaisons Intercités ont elles aussi été fortement perturbées.

« C’est pas bon du tout, et c’est très embêtant. C’est parti pour trois mois, j’espère que ça va s’arrêter un petit peu avant, parce qu’ils mettent un petit peu tout le monde dans le pétrin », a confié une jeune usagère, aux micros de FranceInfo.

En conséquence, les routes sont déjà totalement saturées depuis le début de la gréve. En Île-de-France, la direction des routes faisait état de 417 km de bouchons à 7 heures ce mardi.

La fin de cette première période de grève est attendue jeudi à 8 heures.

Monoprix et Amazon s’associent

Du nouveau pour la chaîne de supermarchés Monoprix. Cette filiale du groupe Casino a annoncé qu’elle allait vendre certains de ses produits via le géant du commerce en ligne, Amazon. C’est une première pour un distributeur français.

« Amazon et Monoprix annoncent aujourd’hui un partenariat commercial visant à proposer les produits alimentaires de Monoprix aux clients du service Amazon Prime Now à Paris et sa proche banlieue cette année », ont annoncé les deux groupes dans un communiqué commun.

Amazon Prime Now, très prisé pour sa vitesse, permet aux internautes de recevoir leur commande dans les deux heures suivant l’achat. A noter que ce service n’est pas disponible partout.

L’enseigne Monoprix y proposera entre 5 000 et 10 000 produits de différentes marques qu’elle exploite, comme Monoprix Gourmet, Monoprix Bio ou encore la Beauté Monoprix. Même si ce partenariat unie les deux groupes, Monoprix restera seul décideur des prix auxquels seront proposés les produits aux internautes.

« A travers ce partenariat unique entre Amazon et Monoprix, le groupe Casino renforce sa stratégie de distribution ‘omnicanale’ (ndlr : tous les canaux possibles, In real Life (IRL) et internet) et se rapproche encore davantage de ses clients et de leurs besoins », a assuré Jean-Charles Naouri, PDG du groupe français, dans le communiqué.

Même si le partenariat est pour l’instant limité à Paris et sa proche banlieue, il n’en constitue pas moins une véritable innovation dans le milieu du commerce (alimentaire) en ligne. D’autres grands groupes comme Auchan ou Leclerc redoublent d’énergie pour grappiller quelques places au classement mondial des distributeurs en ligne.

Leclerc a, hasard ou non, annoncé le lancement de son service de livraison sur la capitale française le même jour que l’annonce du partenariat Amazon-Monoprix. Jusque là, l’enseigne n’y était pas présente mis à part aux alentours de Paris.

Education nationale : le palmarès des lycées dévoilé

Il n’est pas toujours évident pour les futurs lycéens de choisir l’établissement scolaire dans lequel ils passeront leurs trois prochaines années. Pour choisir, parents et enfants peuvent s’appuyer sur le palmarès dévoilé par l’éducation nationale.

Qu’est ce qu’un bon lycée ? Pour l’Education nationale, un bon lycée est un établissement qui fait mieux que prévu, en termes de prévisions et de résultats. Privé ou public, chaque établissement a une liste d’objectifs à laquelle il doit se tenir.

Le ministère de l’Education nationale rappelle que les résultats qu’il présente permettent de « rendre compte des résultats du service public d’éducation nationale et de donner aux responsables de ces établissements et aux enseignants des outils qui les aident à améliorer l’efficacité de leurs actions« .

De nombreux professionnels rappellent qu’il n’est pas dans l’intérêt des élèves de toujours s’orienter vers les lycées où le taux de réussite est excellent. En effet, il faut dans un premier temps, tenir compte du profil de l’élève et de son niveau scolaire : il ne tirera rien de bénéfique à intégrer un lycée prestigieux comme Henri IV ou Louis-le-Grand s’il n’est pas en mesure d’y suivre au mieux sa scolarité.

Certains lycées, qu’ils soient privés, publics, ou spécialisés, affichent un taux certes moins élevé de réussite au baccalauréat, mais cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut s’en éloigner.

Les lycées classés dans le palmarès bénéficient de ce qu’on appelle des « points de valeur ajouté ». Ils correspondent à une comparaison entre les résultats réels et les résultats attendus par le ministère. Par exemple, un lycée ayant un taux de résultat attendu de 85% au baccalauréat, se situera à priori plus entre 95% et 100% : il bénéficiera alors d’une valeur ajouté de 10 à 15 points. La plupart du temps, le taux de réussite attendu est revu à la baisse au regard de la réalité.

Pour ce palmarès 2018, voici quelques lycées sélectionnés :

Lycées privés :

  • Saint Joseph de Cluny (972) – taux de réussite au baccalauréat : 100%
  • Sainte Ursule-Louise Bettignies (75) – taux de réussite au baccalauréat : 100%
  • Jean Baptiste de la Salle (93) – taux de réussite au baccalauréat : 100%

Lycées professionnels :

  • Alphonse Benoit (84) – taux de réussite au baccalauréat : 94%
  • Yvon Bourges (35) – taux de réussite au baccalauréat : 99 %
  • Blaise Pascal (63) – taux de réussite au baccalauréat : 100 %

Lycées publics :

  • Jardin d’Essai (971) – taux de réussite au baccalauréat : 99%
  • Lavoisier (75) – taux de réussite au baccalauréat : 100%
  • Henri IV (75) – taux de réussite au baccalauréat : 100 %

Ceci est une liste non exhaustive, qui reprend les critères de sélection mentionnés ci-dessus. Pour plus de précisions, vous pouvez vous rendre sur le site du ministère de l’Education Nationale.

 

 

 

 

 

 

SNCF : 36 jours de grève

Depuis l’annonce du gouvernement concernant la fin du statut de cheminot, les syndicats ont décidé de mettre en place une grève « inédite. »

Le 26 février dernier, le gouvernement a annoncé un remaniement de la SNCF. En effet, le premier ministre Edouard Philippe entend réformer profondément le groupe de transport ferroviaire.

« Aux nouvelles générations, aux apprentis, à tous ceux qui veulent s’engager dans la SNCF, nous disons qu’ils bénéficieront des conditions de travail de tous les Français, celles du Code du travail. A l’avenir, à une date qui sera soumise à la concertation, il n’y aura plus de recrutement au statut », avait-il déclaré.

Bien que le gouvernement ait décidé de ne pas s’étendre concernant la gratuité des billets pour les familles de cheminots, ces derniers ne comptent pas en rester là et ont décidé d’agir par une « mobilisation innovante » : 36 jours de grève ont ainsi été décrétés par les syndicats et les cheminots.

Cette grève qui s’annonce n’est pas pour ravir les millions d’usagers prenant le train quotidiennement. Invité sur le plateau du journal télévisé du 20h, le patron de la SNCF, Guillaume Pepy, a déclaré : « c’est une mauvaise nouvelle, une mauvaise chose pour les 4,5 millions de Français qui prennent le train tous les jours. »

Le calendrier de la grève a été rendu public. En épargnant (pour l’instant) le week-end de Pâques, il s’agira d’une « grève reconductible de deux jours sur cinq à compter du 3 avril », a expliqué Laurent Brun, secrétaire de la CGT-cheminots. Cette mobilisation devrait s’étendre jusqu’au mois de juin, couvrant ainsi les vacances d’avril et les nombreux ponts du mois de mai.

« Les cheminots décideront en assemblée générale, le 3 avril, des formes de la grève et de sa reconductibilité. C’est notre conception de la démocratie ouvrière. S’ils veulent encore se mettre en grève le 5 avril, ils ont le droit de le décider, et nous leur donnerons les moyens syndicaux de poursuivre le mouvement« , a déclaré Eric Meyer, secrétaire fédéral de Sud-rail.
Avec cette déclaration, il est simple de comprendre que le calendrier de la grève peut encore être modifié et se voir alourdi.

 

 

 

Tabac : le feu aux poudres

Au 1er mars, le prix du tabac a augmenté d’un euro, une hausse significative s’inscrivant dans la volonté de passer au paquet de cigarettes à 10 euros, d’ici 2020.

L’Etat français, pour qui le tabac est un réel enjeu de santé publique, l’augmentation du prix d’un paquet de cigarettes n’est pas une idée nouvelle. Cette augmentation devrait continuer jusqu’en 2020, comme l’a confirmé Agnès Buzyn, ministre de la santé :

« La lutte contre le tabagisme, qui constitue la première cause évitable de mortalité, sera intensifiée à la fois au augmentant rapidement et fortement, dès 2018, le prix du tabac et en finançant des actions de prévention, de sevrage, et de recherche appliquée. »

« Mon objectif est que la génération qui naît aujourd’hui soit la première génération sans tabac », a-t-elle précisé.

D’autres initiatives, notamment celle de l’arrivée du paquet neutre en 2016, ont pour objectifs de dissuader les plus jeunes fumeurs. Malheureusement, bien que ces initiatives ont eu un impact sur les ventes, qui ont reculé de 1,49% en volume, les résultats restent insuffisants.

Ce que confirme le Docteur Lowenstein, président de l’association SOS addictions : 

« Le paquet neutre, on le sait, peut avoir de l’effet sur les fumeurs débutants, ceux qui ne sont pas encore trop addicts. Mais pour les autres, ce n’est pas la neutralité du paquet qui va les faire arrêter de fumer ».

Pour les consommateurs, toutes ces actions laissent perplexe, car beaucoup ne sont pas convaincus de l’efficacité de toutes ces mesures. Cependant, avec cette dernière hausse, les fumeurs et non-fumeurs considèrent que cela pourrait constituer un frein.

 

 

Réseaux sociaux : les jeunes de plus en plus seuls

Une étude publiée à la fin de l’année dernière indique une progression inquiétante de la solitude chez les jeunes. Une solitude qui coïncide avec l’utilisation progressive des réseaux sociaux. Et s’il y avait un lien ?

Et si, à force de passer voter temps le nez planté dans votre Smartphone, vous en oubliiez les vrais amis, la vraie vie ?

Qui ne s’est jamais fait cette réflexion, en constatant une brochette d’amis attablés dans un bar, où chacun fixe son téléphone en ne parlant quasiment pas à ses amis ?

Voilà l’interrogation que l’on est en droit de se poser à la lecture de l’angoissante enquête publiée en septembre dernier par le centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc ).

une étude qui conclue notamment que :

«Au total, 18% des jeunes, soit plus de deux millions, sont vulnérables socialement et ne rencontrent physiquement et ne passent du temps avec d’autres personnes que très rarement».

Ces résultats pourraient bien démontrer que nos jeunes adeptes de la communication, en sont en fait handicapés à cause de la technologie…