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La digitalisation au services des voyageurs

La digitalisation entrerait-elle enfin à la RATP ? D’après les dires de Valérie Pécresse, présidente du réseau Ile-de-France Mobilités, il semblerait. En effet, le programme Smart Navigo, lancé en 2016, va être expérimenté d’ici à la fin de l’année 2018. Le téléphone mobile va bientôt remplacer le passe Navigo ou le ticket de métro. 

La RATP à l’écoute de ses clients

Dans le cadre du programme Smart Navigo, programme de développement de nouveaux services numériques pour faciliter le quotidien des voyageurs, Île-de-France Mobilités poursuit sa démarche de modernisation de son offre billettique et de remplacement progressif du ticket magnétique par la mise en place de nouveaux supports sans contact comme le téléphone mobile. L’un des nouveaux services de billettique permettra aux voyageurs d’utiliser leur téléphone mobile à la fois pour l’achat et la validation de leur titre de transport.

Un service moderne, plus pratique et adapté à tous

« Les voyageurs franciliens pourront avoir un nouveau geste pour acheter et valider facilement leur titre de transport avec leur smartphone. Île-de-France Mobilités lancera les premières expérimentations de cette technologie en conditions réelles cet automne. La modernisation du système de billettique de nos transports doit permettre d’offrir un service moderne, plus pratique et qui s’adapte aux besoins de tous les voyageurs qu’ils soient réguliers ou occasionnels », a déclaré Valérie Pécresse.

De son côté, Hiba Farès, directrice en charge du pôle Expérience clients explique « qu’en proposant la dématérialisation du titre de transport nous répondons à une demande forte de nos clients pour un parcours plus fluide, digitalisé et personnalisé. Notre souhait est d’offrir une gamme de services variés, connectés et d’être ainsi au plus proche des attentes des voyageurs en termes de services personnalisés. La RATP s’adapte chaque jour aux nouveaux usages et aux nouvelles mobilités ».

 

Glyphosate : un nouvel échec ?

Dans la nuit de mardi à mercredi, le gouvernement a rejeté les amendements visant à interdire l’utilisation du glyphosate, herbicide potentiellement cancérigène selon le centre international de recherches sur le cancer. 

Le glyphosate : quelles caractéristiques ?

Initialement, le Roundup est à l’origine de la polémique autour de l’herbicide. En effet, ce produit est utilisé pour combattre des plantes nuisibles. Son principe actif est le glyphosate, auquel on ajoute d’autres substances chimiques pour le rendre plus efficace. Depuis sa création en 1975, les controverses à son sujet sont nombreuses. Le problème devient alors une question de santé publique et présente un trop grand risque pour les hommes. Mais le gouvernement, qui vient de repousser l’interdiction, estime « qu’il faudrait entre huit et dix ans pour trouver des solutions alternatives« .

De vives réactions politiques

« C’est bien, continuez encore pendant dix ans à nous empoisonner et nous tuer à petit feu, on ne dira rien ! Le centre international de recherches sur le cancer a rendu un avis très clair en expliquant que le glyphosate était un produit cancérigène. Vous avez des problèmes dans le monde entier, qui sont liés au Roundup (nldr : herbicide composé essentiellement de glyphosate). Le glyphosate est son principe actif, mais on met plein de cochonneries en plus pour que ce soit plus efficace et que ça marche mieux. On veut continuer, c’est très bien. Il n’y a pas assez de cancers, de maladies neurodégénératives, mais on continue comme ça, c’est formidable », a déclaré Corinne Lepage, avocate et ancienne ministre de l’Environnement.

De son coté, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot se demande s’il va rester au gouvernement. En effet, aucun de ses amendements et requêtes auprès de l’Etat n’ont jamais abouti. De ce fait, Nicolas Hulot escompte voir un changement d’ici à cet été. Sans ça, son avenir au sein du gouvernement est tout à fait incertain.

Vers une obligation des doggy bag ?

Ce lundi, le gouvernement a voté un amendement dans lequel l’utilisation des doggy bag sera rendue obligatoire d’ici à 2022. Les doggy bag, ce sont ces petites boites dans lesquelles on peut stocker un plat entamé, généralement dans les restaurants. 

Le doggy bag, déjà bien installé dans les pays anglo-saxons

Depuis plusieurs années, il est très courant voire systématique de voir des britanniques et/ou américains repartir avec leurs plats en sortant d’un restaurant. En effet, afin de lutter contre le gaspillage alimentaire, plusieurs pays ont décidé de rendre obligatoire le doggy bag. Ainsi, le client, qui n’a pas fini, peut rapporter ses denrées chez lui.

La France (officiellement) prête à sauter le pas ?

Alors que beaucoup d’élus se sont montrés favorables, certains députés LR (Les Républicains) ont tempéré cet enthousiasme, voulant éviter « l’effet de mode ». Ils expliquent que cela pourrait engendrer « des contraintes et un coût » aux restaurateurs, comme l’a expliqué le député du Cantal Vincent Descoeur (LR). Des questions concernant les matériaux utilisés et leur conséquence sur l’environnement ont également été posées.

“Je pense que c’est une fausse bonne idée, mais après tout on peut l’essayer”, a ainsi déclaré le député UDI-Agir-Indépendants Thierry Benoit. Vous l’aurez compris, finir vos burgers ne sera plus obligatoire, vous pourrez maintenant les terminer tranquillement à la maison.

 La gaspillage a un coût monumental

Certains restaurateurs dénoncent cependant le coût d’une telle mesure et les questions qui peuvent se poser en termes d’hygiène. Selon les élus à l’origine de cette proposition, le gaspillage alimentaire dans les restaurants représenterait près de 16 milliards d’euros par an. Leur objectif : diviser ce chiffre par deux d’ici à 2025.

 

Michael Reza Pacha : nouvelle personnalité du caritatif monégasque

L’homme d’affaires franco-iranien Michael Reza Pacha s’est imposé progressivement ces dernières années dans le paysage caritatif monégasque. Ce spécialiste des énergies renouvelables, secrétaire général du Monaco Ambassadors Club, préside l’ONG Help Our Kids.

Michael Reza Pacha est un homme d’affaires spécialisé dans les secteur énergétique et minier. Il dirige notamment le groupe ENRROXS, installé à Dubaï, propriétaire de la société de production d’énergie solaire, 4S.

Michael Reza Pacha n’est pas le genre d’homme à fuir ses responsabilités. Depuis qu’il s’est installé à Monaco à temps partiel (il partage sa vie entre le Rocher et Dubaï), il s’implique personnellement dans la vie associative monégasque.

Si bien qu’il a été nommé, en quelques années seulement, Secrétaire général du prestigieux Monaco Ambassadors Club, ainsi que président de l’ONG Help Our Kids, deux institutions incontournables de Monaco.

Le Monaco Ambassadors Club est l’organisme chargé de la promotion du rayonnement international de Monaco. Ce célèbre cercle d’influence des personnalités affiliées à la principauté a été fondé il y a près de 50 ans, sous l’impulsion de la princesse Grace de Monaco.

Help our Kids est un organisme humanitaire monégasque qui apporte son soutien aux enfants victimes de la guerre, que ce soit avec des dons alimentaires et de médicaments convoyés en zones de conflits, ou par le financement d’institutions éducatives destinées aux enfants qui ont perdu leurs parents dans les guerres. L’ONG est parrainée par le Prince Albert de Monaco.

Au-delà de ses responsabilités caritatives, Michael Reza Pacha souhaite également tourner son activité professionnelle vers un modèle de développement durable.

C’est la raison qui l’a poussé à créer l’entreprise 4S, afin de développer l’énergie solaire et de lutter contre la pollution atmosphérique du secteur minier, tout en apportant des solutions d’électrification à différentes zones isolées de l’Afrique. Cet engagement en faveur de l’environnement et plus précisément contre le réchauffement climatique, s’est également traduit par les investissements effectués par ENRROXS dans le lithium, métal nécessaire à la construction de batteries utilisées dans les véhicules électriques.

La mobilisation continue

Ce mardi marque la troisième journée de mobilisation contre les réformes du président Emmanuel Macron, à la tête de la République depuis tout juste un an. Les neuf syndicats de fonctionnaires ont lancé un appel commun contre « la mise à mal des missions publiques », « la dégradation des conditions de travail » et pour le pouvoir d’achat.

Manifestation, acte III

Depuis l’élection du président Macron, il s’agit de la troisième journée de mobilisation des fonctionnaires. Ils défileront pour défendre leur statut et s’opposer à la future réforme du gouvernement, qu’ils perçoivent comme une « attaque ». Entre 130 et 140 manifestations sont programmées partout en France.

Paris, ville mère

Les leaders de la CGT, de Force ouvrière (FO) et de la CFDT défileront ensemble pour la première fois depuis 2010, lors de la contestation contre la réforme des retraites.
Outre Philippe Martinez, Pascal Pavageau et Laurent Berger, seront également présents : Luc Bérille (UNSA), François Hommeril (CFE-CGC) et Philippe Louis (CFTC).

« Ils seront tous sur la ligne de tête », se réjouit Bernadette Groison (FSU). « Grâce à la fonction publique, toutes les organisations syndicales de ce pays seront ensemble », s’est-elle félicitée. « Ça signifie qu’effectivement les enjeux sont très lourds ».

Une France paralysée ?

Alors que la manifestation est au programme de nombreux fonctionnaires ce mardi, voici quelques perturbations possibles :

  • Cantines fermées et horaires restreints dans les écoles : Le fonctionnement des écoles et collèges sera perturbé, de même que l’accueil des tout-petits dans les crèches.
  • Opérations escargot : le syndicat majoritaire chez les policiers Alliance a prévu des opérations dans plusieurs villes de France dont Paris, Bordeaux, Lille, Toulouse, Lyon et Metz.
  • Pôle Emploi au ralenti :  les conseillers sont appelés à faire grève par huit syndicats qui jugent « inconcevable de supprimer des postes alors même que nous n’arrivons pas à accompagner tous les demandeurs d’emploi ».

Par ailleurs, des services publics tels que Météo France devrait également être perturbés. A cela vient s’ajouter la grève des cheminots, qui devrait normalement prendre fin le 28 juin prochain.

 

 

Journée noire à la SNCF

Les jours de grève perlée ne suffisaient visiblement plus aux salariés de la SNCF. Le 1er avril dernier, ces employés ont entamé un bras de fer avec le gouvernement, qui a annoncé vouloir mettre fin au statut des cheminots. Au-delà des jours de grèves déjà mis en place, ce lundi a été particulièrement perturbé par les différentes mobilisations. 

Une réponse politique

La semaine dernière, le premier Ministre Edouard Philippe recevait un à un les syndicats de cheminots dans les bureaux de la place Beauvau. Cette rencontre, bien qu’elle se soit déroulée avec calme, n’a pas apaisé les tensions. En effet, le premier Ministre a affirmé la volonté du gouvernement d’aller jusqu’au bout de la réforme.

Un trafic encore plus perturbé

Afin de contrer cette décision, les cheminots continuent de maintenir la tête sous l’eau à des milliers de voyageurs utilisant le réseau ferroviaire quotidiennement. Ce lundi était synonyme de journée « sans cheminots et sans trains ». Dans un communiqué publié en fin de matinée, la direction a annoncé que le taux de gréviste s’établissait à 27,58 % dans l’entreprise, contre 14,46 % le 9 mai.

Vot’action

Ce 18e jour de grève marque également le début de la consultation lancée par les syndicats CGT, UNSA, SUD et CFDT auprès des 147 000 salariés de la SNCF. Baptisée « vot’action », elle invite chaque agent en activité à dire s’il est « pour ou contre le pacte ferroviaire porté par le gouvernement », qui reste inflexible sur trois points : l’ouverture à la concurrence, la fin de l’embauche au statut, et la transformation de la SNCF en société anonyme (SA) à capitaux publics.

Après la rencontre entre Edouard Philippe et les différents syndicats, le premier Ministre a promis que de nouvelles discussions auront lieu durant le mois de mai.

 

Les grèves sur terre et dans les airs se poursuivent

Alors que les ponts du mois de mai pourraient ravir les travailleurs, ils sont fortement perturbés par différents mouvements sociaux, notamment à la SCNF et chez Air France. Les deux compagnies de transport mettent en péril de nombreux voyages, ce qui n’est pas pour plaire aux milliers d’usagers, qui les empruntent quotidiennement. 

Le 8 mai aura été marqué par les nombreux vols annulés par la compagnie aérienne Air France. Depuis plusieurs semaines voire quelques mois, les employés du groupe d’aviation civile réclame une augmentation de 6 %, et 10 % pour les pilotes. Le PDG de la SCNF, Jean-Marc Janaillac, n’est pas dans l’optique d’accéder à leurs requêtes. Pour lui, une hausse des salaires d’un tel pourcentage serait négatif pour le groupe, qui bénéficie d’une image honorable à l’internationale. Cette augmentation rimerait avec une augmentation du prix des billets, ce qui n’est pas possible d’après Jean-Marc Janaillac.

Les 15 jours de grève ont coûté plus de 300 millions à l’entreprise et n’ont débouché sur aucun accord.

Du côté du groupe ferroviaire SNCF, les grévistes ne sont pas en reste. En effet, depuis plus d’un mois maintenant, les cheminots, en désaccord avec le gouvernement, ont entamé une grève perlée. En d’autres termes, cela signifie que trois jours sur cinq, le trafic est perturbé. Ces perturbations sont prévues jusqu’au 28 juin prochain.

Bien que le premier ministre Edouard Philippe a reçu les syndicats dans ses bureaux de Matignon, la situation ne semble pas s’améliorer. En effet, certains syndicats ont déclaré que la grève allait continuer, car ces discussions ne menaient à rien.

Les voyageurs, sur terre et dans les airs, ne sont donc pas au bout de leurs peines.

 

Le TORM : un roman d’exception

Avec la sortie de Ready Player One, nouveau blockbuster de Steven Spielberg, la science-fiction a fait son grand retour. Dans une moindre mesure, les Français et ici Françaises ne sont pas en reste en matière de créativité. L’auteure Régine Bonnard a récemment publié Le TORM, son nouveau roman de science-fiction en deux tomes.

La science-fiction a toujours intrigué. Ces dernières années, elle a réussi à faire peau neuve grâce à de
célèbres réalisateurs comme Luc Besson, ou encore Steven Spielberg. Du côté de l’écriture, nombreux
sont les auteur(e)s à lui insuffler la vie.

C’est le cas de Régine Bonnard, et des deux tomes de son roman Le TORM. Dans ce parfait exemple de
science-fiction, l’auteure met en scène huit jeunes gens, qui devront acquérir les principes fondamentaux
du TORM, afin d’avancer dans leur quête. Farouchement indépendants ou rêveurs solitaires, ils aspirent à
l’unité sans trop savoir comment l’atteindre et encore moins l’immiscer dans le monde. Au détour de
plusieurs pays, comme l’Arabie Saoudite, les Etats-Unis et la France, les jeunes apprentis disséqueront les
motivations de l’humanité, expérimentant eux-mêmes les comportements qui enlisent comme ceux qui
élèvent. A la suite de cette « Initiation au Diamant » (ndlr : tome 1), les huit novices devenus
ambassadeurs du TORM, instilleront le pouvoir de choisir à des terriens gagnant en épaisseur, en lucidité
et en joie de vivre. Dépasser le sentiment d’impuissance et d’isolement, oser, voyager du Cosmos à la
Terre et en revenir à Soi, confortablement blotti dans les pages du TORM…(ndlr : « Et de toute éternité »
tome 2).

Au travers de ses deux romans, Régine Bonnard souhaitait aborder les questions existentielles que la
science-fiction permet de revisiter au-delà de ce que nous pensons être acquis, impossible ou simplement
insignifiant.

« La science-fiction permet une grande liberté narrative et d’explorer sans limitation. On y habille ses
visions de couleurs, on prend le contre-pied des standards, comme dire que l’illusion c’est le réel, ou que
nous sommes ici et ailleurs simultanément… Elle est un fabuleux terrain de jeu, avec mille trajectoires
possibles et des joueurs toujours en quête d’identité et de sens. Sans compter qu’avec l’univers, on a de
quoi remettre l’ego humain à sa place », déclarait-elle dans un interview.

Les deux opus sont disponibles en versions numérique et papier sur la plateforme Amazon.

Casino : payer plus tard, c’est maintenant possible

Depuis le 30 avril, les clients de l’enseigne Casino peuvent désormais remettre le paiement de leurs courses à plus tard, grâce à une ardoise numérique. 

Le groupe Casino ou Casino Guichard Perrachon est un groupe de distribution en France et dans le monde. Il est dirigé par Jean-Charles Naouri. Ces enseignes sont prisés par de nombreux Français, qui peuvent y trouver des aliments de première nécessité pour une poignée de centimes.

Malgré ces prix bas, beaucoup de clients se retrouvent en difficulté à la fin du mois, pour payer leurs factures et leurs courses. Afin de remédier à la situation, le groupe Casino propose maintenant à ses clients la possibilité de payer en différé, voire plus tard.

Ce système repose sur une ardoise numérique, semblable à l’ardoise classique, soit le crédit. Le panier minimum requis par Casino atteint 20 euros pour le différé et 50 euros pour le paiement fractionné. Les clients choisiront la date à laquelle ils voudront être débités (au maximum jusqu’à 31 jours après l’achat). Si ce type de dispositif est déjà utilisés dans d’autres enseignes, c’est la première fois qu’il est utilisé pour de l’alimentaire.

« L’objectif n’est pas de permettre à nos clients d’accumuler de la dette« , explique Cyril Bourgois, directeur des opérations du groupe Casino. « C’est un peu comme l’ardoise d’autrefois quand on allait chez le petit commerçant et qu’on avait la possibilité de payer quelques jours plus tard », a-t-il expliqué devant les caméras de TF1.

Alors que cette ardoise numérique a pour but de soulager les clients, certains ne voient pas d’un bon oeil ce nouveau moyen de paiement. « Je préfère manger moins, voire me priver plutôt que de payer en plusieurs fois, après on ne s’en sort plus », explique ainsi une cliente.

 

60 millions de consommateurs : les aliments à bannir

Dans son dernier numéro hors-série, 60 millions de consommateurs dresse une liste des aliments à bannir, issus de l’agro-alimentaire. Entre aditifs, sucres cachés et pesticides, le magazine de santé tire la sonnette d’alarme. 

Les grandes enseignes de distribution redoublent d’efforts afin de conquérir une clientèle toujours plus grande. Elles ne manquent pas d’imagination, et se plient en quatre afin de satisfaire les clients, quelque soit leur mode d’alimentation.

Malgré ces efforts, certains aliments restent nuisibles pour la santé. 60 millions de consommateurs, magazine édité par l’Institut national de la consommation (INC), dénonce « les dérives d’une alimentation « ultra transformée » à notre insu« .

INC, établissement public placé sous la tutelle du ministre chargé de la consommation, l’Institut national de la consommation (INC) assure des missions de service public.

Dans son numéro hors-série, les rédacteurs ont dressé une liste de ces aliments qui nous empoisonneraient. Les aliments « ultra transformés » sont partout dans les rayons. « Pauvres en matières premières brutes (légumes, fruits, lait, viande…) mais riches en additifs, les aliments transformés regorgent d’ingrédients à bas coût, dénaturés pour leurrer notre goût. Sel, sucre et graisses combinés stimulent les pics de glycémie, entraînant des réactions addictives ».

En voici quelques exemples :

  • Les sodas light : le problème des sodas light est l’ajout d’additifs dangereux pour la santé, selon 60 millions de consommateurs. Le magazine en compte trois dans la liste d’ingrédients de deux célèbres marques.
  • Les produits végans : beaucoup de ces végans contiennent plusieurs ingrédients inutiles à leur composition de base. En faisant cela, ils souhaitent ressembler à un produit classique. Au-delà de ces additifs, on retrouve des aliments qui augmentent le taux de matières grasses, ou de sel.
  • Les bouillons cubes : « 80% du sel ingéré par les Français proviendraient des aliments transformés », selon 60 millions de consommateurs. Les cubes déshydratés contiennent une dose très élevée de sel. En général, un demi-cube de bouillon déshydraté couvrirait 20% de l’apport maximal recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

La liste est non exhaustive et bien plus importante que les trois exemples mentionnés ci-dessus. Les marques distributeurs (MDD) démentent parfois ces méfaits.

 

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