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Industrie du tabac : les nouvelles pratiques ahurissantes pour séduire les jeunes

Dans plusieurs pays, les publicités incitant à la consommation du tabac sont très contrôlées sinon interdites. C’est le cas en France avec la loi Evin, votée en 1991, interdisant la propagande du tabac. Afin de toucher un public toujours plus jeune, les marques de tabac n’hésitent pas utiliser les réseaux sociaux pour séduire une nouvelle clientèle. 

L’empire des médias sociaux

Depuis plusieurs années, le règne des réseaux sociaux est bien assis. En effet, Instagram, Twitter ou encore Facebook représentent les nouveaux moyens de communication et de partage de plusieurs générations. Les plus jeunes, nés dans les années 2000, en sont le parfait exemple et les premiers consommateurs. Avec cet engouement, les influenceurs fleurissent de jour en jour. Adulés par des milliers de followers (ndlr : personnes abonnées à leur compte), ils mettent en avant de nombreux produits tel que des vêtements. Les marques raffolent de ces influenceurs, véritables outils marketing. Mais où sont les limites ?

Les médias sociaux à la botte de l’industrie du tabac ?

Face au succès indiscutable des réseaux sociaux, les marques se bousculent pour séduire un jeune public par le biais des influenceurs. L’industrie du tabac l’a également compris et n’hésite pas à s’implanter sur les réseaux sociaux. Une pratique très critiquée puisque plusieurs associations dénoncent la non présence, sur la totalité des posts, les effets néfastes de la cigarette.

Pourquoi les marques de cigarettes visent-t-elles les réseaux sociaux ?

Comme nous l’avons expliqué quelques lignes au-dessus, toute une génération se retrouve quotidiennement à consulter les réseaux sociaux, qu’ils prennent souvent pour exemple. L’industrie du tabac souhaite alors viser de jeunes personnes, qui peuvent potentiellement, représenter une nouvelle génération de fumeurs.

 

RyanAir : emmener un bagage en cabine, un service qui se paye !

La semaine dernière, la compagnie aérienne Ryanair, connue pour ses tarifs très abordables, a annoncé que la prise en charge de bagage (en cabine) allait devenir payante. A partir du 1er novembre prochain, les passagers vont devoir débourser entre six et dix euros de plus. 

A vos portefeuilles !

La compagnie low-cost a annoncé qu’emmener un bagage en cabine deviendrait payant. En effet, au 1er novembre prochain, les adeptes de Ryanair devront débourser entre six et dix euros pour emporter avec eux un bagage allant jusqu’à 10 kilos. Par ailleurs, le groupe irlandais a expliqué qu’il acceptera toujours les petits bagages, pouvant se ranger sous le siège.

Les retards pour justifiés cette mesure

En argument phare pour justifier cette tarification, Ryanair avance la question des retards intempestifs, impactant le trafic de la compagnie. Le transporteur irlandais, première compagnie aérienne européenne en termes de passagers transportés, a dit avoir décidé cette mesure pour lutter contre le retard de ses avions induit par des personnes embarquant trop de bagages à main à bord. En effet, lorsqu’un passager se voyait refuser un bagage à main, celui-ci devait automatiquement être envoyé en soute, engendrant ainsi une multitudes de retards.

Le transporteur irlandais, première compagnie aérienne européenne en termes de passagers transportés, a dit avoir décidé cette mesure pour lutter contre le retard de ses avions induit par des personnes embarquant trop de bagages à main à bord.

Mali : les enseignements de l’élection présidentielle

Le deuxième tour de l’élection présidentielle malienne s’est tenu dimanche. Les résultats sont attendus dans les prochains jours mais, sauf surprise, le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta devrait être réélu au terme d’un scrutin marqué par des fraudes massives et une abstention record.

La réélection annoncée d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) pour un second mandat est inquiétante à bien des égards pour le Mali. Le bilan du président sortant est maigre entre son incapacité à juguler la menace terroriste dans le nord et le centre du pays et les multiples scandales politico-financiers auxquels lui et ses proches ont été mêlés au cours des cinq dernières années.

Son impopularité n’aurait pas dû l’autoriser à se faire réélire… mais la politique africaine a parfois ses raisons que la raison ignore. Surtout quand on dispose des moyens de l’Etat pour faire campagne et pour contrôler l’ensemble du processus électoral. Car le scrutin de 2018 aura été marqué comme jamais dans l’histoire malienne par des accusations de fraudes de la part de l’opposition.

Bourrages d’urnes, urnes retirées des bureaux de vote, faux électeurs,… La litanie des accusations des membres de l’opposition et des observateurs internationaux est longue comme le bras. De quoi fragiliser un peu plus un président mal réélu dont la victoire et la légitimé resteront entachées de lourds soupçons de fraudes.

Autre enseignement clé de ce scrutin : l’incapacité de Soumaïla Cissé, considéré avant le scrutin comme le favori de l’élection, à mobiliser au-delà de son camp et à incarner l’espoir du changement et de l’alternance aux yeux de l’opinion publique malienne. Son faible score au premier tour l’a quasi-condamné à n’être qu’un observateur sans réelle chance de remporter la victoire finale.

Soumaïla Cissé, comme IBK d’ailleurs, est sans doute en bout de course politique. Septuagénaires, les deux hommes ont sans doute livré leur dernière joute électorale. Le scrutin de 2018 marque sans doute la fin d’une ère, celle d’une génération qui a accédé au pouvoir au début des années 1990, sans jamais chercher à passer la main aux générations suivantes.

Le dernier enseignement de ce scrutin est un frémissement et un souffle d’optimisme pour la suite porté par la candidature de l’entrepreneur Aliou Diallo. Inconnu du grand-public il y a encore six mois, le fondateur de Wassoul’Or est parvenu à s’imposer comme le troisième homme du scrutin et a animé la campagne électorale par ses propositions fortes et sa volonté de faire de la politique autrement.

Aliou Diallo a pris rendez-vous avec l’avenir au cours des semaines écoulées. La tonalité de sa candidature pourrait donner des idées à toute une jeunesse qui s’est aujourd’hui détournée de la politique et des luttes stériles d’appareil. Avec un IBK démonétisé et une opposition à réinventer, le champ des possibles semble vaste.

Listeria : plusieurs enseignes françaises touchées

Il y a quelques semaines, la listériose (notamment sa bactérie la listeria), a fait surface pour la plus grande gêne de la chaine de fast-food McDonald’s. Ces derniers jours, plusieurs grandes enseignes comme Monoprix, Intermarché ou encore Auchan ont vu plusieurs de leurs lots contaminés. 

Infection à la listeria : un mal invisible ?

« La bactérie responsable de l’infection est fréquemment retrouvée dans l’environnement (sols, végétaux, eaux usées) et dans le tube digestif de nombreux animaux, qui se contaminent en se nourrissant. Elle résiste au froid et peut donc proliférer dans le réfrigérateur et survivre dans le congélateur, mais est tuée par la chaleur. Les aliments crus sont ainsi les plus fréquemment contaminés : fruits et légumes mal lavés, produits laitiers non pasteurisés et fromages au lait cru, viandes peu cuites, produits de charcuterie, poissons fumés et crus, coquillages crus, ou encore graines germées. Il est impossible de reconnaître un aliment contaminé par Listeria, il a la même apparence, le même goût et la même odeur qu’un produit sain. L’ingestion de la bactérie n’entraîne pas forcément la listériose, il faut en consommer une dose élevée pour risquer d’être malade. Certains individus sont des porteurs sains, c’est-à-dire qu’ils portent la bactérie en eux sans développer la maladie« , explique le ministère de la Santé.

Des enseignes françaises touchées par la bactérie

Les consommateurs sont invités à vérifier le contenu de leurs frigos. Plusieurs marques ont récemment rappelé des produits soupçonnés d’avoir été contaminés par la bactérie listeria monocytogènes. Cette dernière vague de rappels concerne les enseignes Leclerc, Auchan, Intermarché, Carrefour, Casino, Leader Price ou encore Monoprix. Leur liste a été établie par le site de la revue 60 Millions de consommateurs, qui recense toutes les alertes sanitaires relatives à des produits du quotidien.

Une dizaine de produits pourraient être affectés par la bactérie Listeria, responsable de l’infection de la listériose, maladie dangereuse pour les personnes âgées et les femmes enceintes. En cas de possession de l’un des aliments listés, il est donc recommandé de ne surtout pas le consommer. Tous peuvent être rapportés sur leur lieu d’achat pour un remboursement.

Wi-Fi d’entreprise : comment choisir ?

Le monde de l’entreprise a changé et continue d’évoluer. C’est de moins en moins sur un poste de travail, derrière un ordinateur fixe, que les équipes travaillent et interagissent. A l’ère  de la mobilité et de la collaborativité, les entreprises doivent se doter de réseaux Wi-Fi sécurisés, à très haut débit, et offrant une couverture aussi large que possible aux utilisateurs.

Salles de réunions. Espaces collaboratifs. Zones de détente et cafétérias. Le besoin de connectivité au sein de l’entreprise est désormais total. L’ensemble des collaborateurs d’une société doivent à tout moment avoir un accès rapide et sécurisé à Internet pour faire face aux nouvelles réalités du monde du travail et permettre à l’information de circuler sans entrave au sein de l’entreprise.

Si la mise en place d’un réseau Wi-Fi d’entreprise est une évidence, comment choisir ce réseau ? Vitesse ? Sécurité ? Maintenance et administration ? La plupart des entreprises font le choix de se tourner vers un prestataire spécialisé dans l’installation et l’administration d’un réseau Internet local sans fil (WLAN) d’entreprise.

Outre une couverture Internet Très Haut Débit et ininterrompue déployée partout dans l’entreprise, les professionnels de l’opération et de l’administration d’un réseau Wi-Fi d’entreprise doivent assurer une supervision 24/24 et 7/7 du réseau afin de détecter et d’anticiper les incidents.

Ces professionnels, à l’image de l’opérateur Télécom Hub One, l’un des leaders français du secteur, doivent également s’assurer de l’interopérabilité de tous les types d’infrastructure, comme les bornes ou le câblage, et garantir une interface client ergonomique pour comprendre les performances du réseau et analyser les usages qu’en font les collaborateurs de l’entreprise.

Hub One propose à ses clients des solutions basée sur une technologie UCOPIA (leader du marché), qui sont opérées et administrées à 100% par ses équipes en fonction des besoins des clients. L’architecture du réseau est hébergée pour réduire l’investissement nécessaire en équipements sur site avec un engagement de disponibilité « bout en bout » de 99,8%.

Les arrêts maladie changent de payeurs ?

Lorsqu’un employé d’une entreprise est malade, il est coutume que la caisse primaire de maladie et d’assurance (CPAM) prenne en charge certains coûts. Mais aujourd’hui, le gouvernement réfléchit fortement à faire payer les employeurs pour les courts arrêts maladie de moins de huit jours. Une idée qui les insurge. 

Afin de réaliser des économies et surtout de réduire le nombre d’arrêts maladie, le gouvernement est entrain de réfléchir à une nouvelle piste de financement de ces arrêts, suite à un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales. Il semblerait que les entreprises devront mettre la main à la poche pour payer eux-mêmes les arrêts maladie.

Aujourd’hui, lors d’un arrêt de travail,les trois premiers jours d’arrêt ne sont pas indemnisés. Après cette période appelée carence, suivent les versements des indemnités journalières par la sécurité sociale. Avec cette mesure portant sur les arrêts maladie de moins de huit jours, ce sont les employeurs qui paieraient les indemnités des jours restants. Cet étonnant projet pourrait coûter la modique somme de 900 millions d’euros aux entreprises.

« On n’est pas sur des sommes futiles, on parle de charges massives. Une telle décision aurait forcément des conséquences en terme d’économie et d’emplois », dénonce sur France 2 Jean-Michel Pottier, vice-président de la CPME. »Le principe n’est pas acceptable. On ne peut pas dire qu’on baisse les charges pour les entreprises et, à côté, nous taper dessus à la première occasion« , s’insurge Alain Griset, le président de l’U2P, dans les colonnes du Figaro.

Les salariés pourraient également pâtir de cette éventuelle réforme selon ses détracteurs. “Je ne doute pas que certains employeurs décideront de rogner les augmentations des salariés pour faire face à ces nouvelles dépenses”, expose Jean-François Foucard, secrétaire national à la CFE-CGC (Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres).

Tesla se lance à l’eau et propose des planches de surf

Le constructeur automobile Tesla, réputé pour ses voitures exceptionnelles mais aussi très coûteuses, se lance dans le secteur du sport de glisse, en lançant sa propre planche de surf, pour la modique somme de 1500 dollars.

Tesla : un géant dans le monde de la construction automobile

Le constructeur Tesla a une patte unique et ses voitures sont reconnaissables entre mille. Elon Musk, le fondateur du groupe, a su se créer un nom et une image de marque remarquable. La mission de Tesla est d’accélérer la transition mondiale vers un schéma énergétique durable. Le groupe fait appel aux experts les plus brillants pour permettre de réaliser cette vision et respecter ses valeurs. Même d’occasion, le prix des véhicules Tesla mis en circulation n’est pas inférieur à 60 000 euros. Une voiture soucieuse de l’environnement, certes, mais à quel prix.

Une image de marque bien construite

Au-delà de ses véhicules, Tesla s’est créée toute une communauté autour de nombreux produits : sur son site, la firme propose de nombreux accessoires comme des batteries pour smartphone, des vêtements, ou encore des voitures électriques destinées aux enfants. Hier, pendant que les problèmes de la SNCF battaient le plein, les inconditionnels de la marque Tesla ont pu découvrir que cet été, ils allaient pouvoir surfer… sur des planches Tesla ! Mais encore fallait-il être réactif. Comme toujours, les prix sont élevés et les quantités limitées. Les 200 exemplaires produits se sont écoulés en quelques minutes, en dépit de leur tarif de 1500 dollars, soit l’équivalent de 1300 euros.

Réalisé en partenariat avec le fabricant de planches de surf Lost Surfboards, le produit dessiné par Tesla reprend les codes de ses voitures électriques. Selon la firme, la planche est renforcée avec de la fibre de carbone “inspirée” de l’intérieur des voitures Tesla. Le logo est quant à lui placé aux extrémités de la planche. L’entreprise précise « qu’elle peut être transportée dans une Model S, une Model X et dans une Model 3, concernée par des difficultés de production ».

Sur la plage de Pampelonne, le tout Palace comme perspective

Coup de balai sur la plage de Pampelonne. Un gros tiers des établissements installés sur ce banc de sable de 4,5 kilomètres, bien connu de la jet-set internationale et des habitués de Saint-Tropez, n’ont pas vu leurs baux reconduits. En lieu et place de certains, Roland Bruno, Maire de Ramatuelle et son Conseil Municipal ont accordé des concessions aux principaux palaces tropéziens. Une affaire de gros sous, qui pose de sérieuses questions sur l’avenir de la plage.

L’Esquinade, le Club 55 (pour la partie sise sur le domaine public),La Plage des Jumeaux, Bagatelle. Autant d’établissements mythiques de l’histoire de Saint-Tropez qui vont être rasés à la fin de l’été. Certains pour mieux reconstruire, les autres pour laisser place à de nouveaux restaurants de plage, pour beaucoup affiliés aux grands palaces tropéziens, ou à des groupes de professionnels de la restauration de luxe de la capitale.

Un big-bang périlleux pour la mairie de Ramatuelle, et même pour l’attractivité de Saint-Tropez : ces restaurants les pieds dans l’eau, lieux festifs privilégiés des peoples, constituent le produit d’appel et une valeur ajoutée majeure de la destination presqu’île de Saint-Tropez… et la seule chance pour Ramatuelle d’exister un jour sur la carte au même titre que sa voisine et rivale ! C’est raté, aujourd’hui son plus bel atout va servir de page de publicité géante aux hôtels de Saint-Tropez.

C’est le long de la plage de Pampelonne, à quelques encablures du lieu d’amarrage de leurs yachts, que les people et les jet-setteurs du monde entier viennent profiter du soleil provençal dans une atmosphère festive, fruit d’une tradition qui remonte aux années 1960, et au contact d’un public aussi divers qu’initié. Une mixité des publics, savamment entretenue et dosée, qui fait le charme et la spécificité de Ramatuelle et de la prequ’île de Saint-Tropez.

Les experts de cette science, voire de cet art, ce sont les exploitants eux-mêmes ! Tous ont apporté leur génie et leur culture propres. La diversité de style, de génération, de clientèle… Pampelonne est, pour quelques jours encore, un exemple que le monde entier envie à la France et à la Commune de Ramatuelle, et que la France et Ramatuelle viennent de décider de sacrifier.

Pourquoi alors changer une recette qui marche ? Pourquoi prendre le risque d’altérer l’image de marque de la presqu’île de Saint-Tropez  et de Ramatuelle?  Parce que le mal français frappe encore sous l’ère d’un Président qui avait pourtant promis de nous en débarrasser… il faut toujours détruire ce qui marche, il faut encore confondre abolir certains privilèges et anéantir le moindre succès.

Un second élément de réponse tient également dans la rude concurrence que se livrent les divers palaces tropéziens pour attirer la clientèle fortunée du monde entier. Fin juillet en semaine, il est encore possible de trouver des chambres dans la plupart d’entre eux. Dans ce combat à mort pour accroître les taux de remplissage, un accès à la plage de Pampelonne est un atout de poids. Et les concessions sur la plage de formidables vitrines.

Une logique qui se tient, mais qui est à double-tranchant. Qui pourrait même à termes remettre en cause l’attractivité de Pampelonne. D’abord parce que les clients les plus attractifs (et donc les plus dépensiers) pour les hôteliers ne sauraient se contenter d’un simple accès à la plage. Ils veulent faire la fête et être vus dans les établissements les plus populaires de la plage ou au contraire dans ceux les plus discrets et authentiques. Une attractivité qui ne se décrète pas et qui requiert un savoir-faire, de la personnalité, du caractère,… et du temps.

Tout aussi problématique d’un point de vue légal et réglementaire, les concessions de plage relèvent d’une délégation de service public. Les restaurateurs qui s’y installent doivent jouer le jeu de l’accueil au public le plus large possible, et ce sans discrimination. Dans cette optique, on imagine mal les palaces tropéziens faire des pieds et des mains pour accueillir un public familial qui se trouve aujourd’hui largement intégré au système de Pampelonne…

Résultats prévisibles : des plages à moitié-vide, des tarifs prohibitifs qui ferment de facto l’accès à Pampelonne au commun des mortels, et une attractivité déclinante de la plage. Pas les meilleurs atouts pour attirer les people face aux autres capitales mondiales de la fête estivale, qui ont au moins, si ce n’est le bon goût, du moins l’opportunisme de prétendre accueillir tout un chacun.

Quand le fisc s’en prend aux plateformes de services entre particuliers

Ils sont des milliers chaque jour à emprunter les autoroutes par le biais du covoiturage, ou encore à vendre toutes sortes de choses à d’autres particuliers. Les services comme Blablacar ou Leboncoin étaient jusqu’à maintenant épargnés par les taxes : le gouvernement a annoncé que la donne pourrait bientôt changer.

Enrichissement inaperçu : c’est terminé !

Dans un contexte économique déjà en équilibre, le gouvernement a examiné la semaine dernière, un projet de loi sur la lutte contre la fraude fiscale. Le texte prévoit de taxer les revenus perçus par les particuliers grâce aux plateformes d’économie collaboratives comme Blablacar et Leboncoin. Ces revenus n’étaient jusqu’à présent pas inclus dans les impôts.

Plus de la moitié des inscrits prêts à renoncer

« Bercy a identifié en France 276 plateformes de ce genre dont 70% ont leur siège social dans l’hexagone. Selon un sondage de Ifop-France Digitale, cette nouvelle règle dissuaderait 67% des utilisateurs de ces plateformes collaboratives. La majorité déclare ne plus vouloir les utiliser si leurs revenus se retrouvent imposés. Sur Leboncoin par exemple, le revenu moyen est évalué à 400 euros par an. Les détracteurs du texte y voient un moyen de pénaliser les petits revenus et la vente de bien d’occasion », précisent plusieurs médias.

Ce mardi, la commission des finances devrait se prononcer sur ce projet de loi, présenté en mars par Gérald Darmanin, le ministre des Comptes publics. Si le texte est adopté, les sites concernés devront désormais transmettre automatiquement au fisc les revenus encaissés par chaque particulier. Ils devront alors prendre exemple sur les grosses sociétés qui payent d’importants impôts (LVMH, BNP…).

Une équipe de France 2.0 avec ses supporters

Depuis dimanche soir, l’ambiance est plus que festive en France. Après plus d’un mois de compétition, les joueurs de Didier Deschamps ont décroché une seconde étoile et le trophée tant attendu : la coupe du monde. Contrairement à 1998, les rapports entre joueurs et supporters ont grandement évolué, notamment grâce aux réseaux sociaux. 

De nouveaux hommages

Sur Twitter, les hashtag #ChampionsDuMonde ou encore #FietredetreBleus ont été cités des centaines de milliers de fois. Les comptes de l’équipe de France, de la FIFA ou encore de la Fédération Française de Football n’ont pas hésité à les relayer et partager avec des milliers d’internautes. Cette nouvelle génération de champions et ces nouveaux hommages sont bien différents de la victoire de 98, notamment depuis l’avénement des réseaux sociaux.

Une compétition au coeur des Bleus grâce aux réseaux sociaux

Alors que les émissions de télévision se sont multipliées pour suivre l’épopée russe de l’équipe de France, les journalistes ont parfois eu du mal à obtenir une information ou une photo exclusive… En effet, pour la majorité, les joueurs de Didier Deschamps sont très jeunes, à l’image de Kylian Mbappé qui va tout juste sur ses 20 ans. Et qui dit jeunesse dit réseaux sociaux ! Griezmann, Mbappé, Pogba et leurs comparses ont eu du mal à se détacher de leur smartphone ! Les coulisses, les réactions, les premières images du trophée du championnat… Rien n’a échappé aux réseaux sociaux. C’est une nouvelle façon de célébrer la victoire, qui était loin d’exister en 1998.

Supporter – joueur : un nouveau rapport

Une nouvelle manière de célébrer la victoire est en somme une nouvelle manière d’établir un lien avec ses supporters. Les joueurs leur offre des images exclusives et inestimables : des archives personnelles, loin des codes journalistiques établis pour les photos officielles.

Un exercice de communication instantanée réussi !

 

 

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