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Valence, Capitale verte de l’Europe en 2024

Photo de Sam Williams sur Unsplash

Valence a été officiellement désignée, en janvier, Capitale verte de l’Europe en 2024. La ville espagnole doit ce titre à de nombreuses mesures prises en faveur de l’environnement. En particulier dans les domaines du tourisme, de la neutralité carbone et de la transition écologique.

Début janvier, Valence a reçu officiellement le titre de Capitale verte de l’Europe en 2024. La ville espagnole succède ainsi à Tallinn, en Estonie. Virginijus Sinkevičius, commissaire européen chargé de l’environnement, des océans et de la pêche, a déclaré que « Valence a mérité le titre pour sa stratégie ambitieuse en matière de durabilité et son mouvement civique audacieux qui soutient un véritable changement ».

Valence a de grands parcs et jardins

Le commissaire européen note en particulier ses réalisations en faveur de la neutralité climatique, du tourisme durable et de la transition écologique, équitable et inclusive. En matière de tourisme durable, la ville possède une grande superficie de jardins. Par exemple les jardins de Turia, qui s’étendent sur neuf kilomètres et constituent l’un des plus grands parcs urbains d’Espagne. On trouve également des parcs, dont celui de l’Albufera. Cette zone lagunaire protégée est décrite comme le « poumon vert » de la ville.

Et une « centrale solaire socialisée » financée par les citoyens

Concernant la neutralité carbone, Valence a notamment installé sur les toits du marché de Cabanyal une climatisation alimentée par des panneaux solaires. Il y a aussi la « centrale solaire socialisée » de Las Naves, financée à 80 % par les habitants. Cette infrastructure sert à produire de l’’énergie renouvelable pour les foyers de la ville. Parmi les autres initiatives écologiques, citons l’éclairage intelligent du front de mer qui permet d’économiser de l’énergie et de recharger les véhicules électriques.

Valence animera plus de 400 activités vertes en 2024

Valence a également déployé des actions pour améliorer la qualité de l’air, restaurer les écosystèmes naturels et produire des aliments sains de manière responsable. En tant que Capitale verte de l’Europe 2024, Valence organisera plus de 400 activités sur son territoire cette année afin de devenir une ville plus humaine, plus durable et mieux préparée à lutter contre le changement climatique. Elle proposera principalement un guide des Routes vertes, déclinées en 4 itinéraires. Objectif : faire découvrir son côté naturel et ses réalisations en matière de développement durable.

Des espaces verts à découvrir à pied ou à vélo

Tout au long de l’année, les visiteurs pourront découvrir le parc naturel de l’Albufera, qui abrite la plus grande lagune d’eau douce d’Espagne, ainsi que plusieurs espèces d’oiseaux. Ils pourront également voir les vergers et potagers qui entourent la ville (« la Huerta ») ; sans oublier le Jardin du Turia. Cet endroit magnifique reste trois degrés plus frais que les autres zones de Valence. Il sert aussi d’éponge naturelle qui retient et filtre l’eau jusqu’au sous-sol. Ce qui permet de prévenir les inondations et l’érosion.

Vilnius, Capitale verte de l’Europe en 2025

Pour soutenir les activités de la municipalité de Valence, l’Union européenne lui versera 350 000 €. Pour rappel, le prix de la Capitale verte de l’Europe a été instauré en 2010. Stockholm a remporté la première édition. Après il y a eu Hambourg (2011), Vitoria-Gasteiz (2012), Nantes (2013), Copenhague (2014), Bristol (2015), Ljubljana (2016), Essen (2017), Nimègue (2018), Oslo (2019), Lisbonne (2020), Lahti (2021), Grenoble (2022) et Tallinn (2023). En 2025, le titre reviendra à Vilnius (2025). Pour 2026, l’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 30 avril 2024.

Prêt-à-porter : Ba&sh, l’élégance à la parisienne

Dans l’univers de la mode, une entreprise française se démarque par son style intemporel, son élégance décontractée et son engagement envers l’artisanat de qualité : Ba&sh. Fondée en 2003 par Barbara Boccara et Sharon Krief, cette marque de prêt-à-porter parisienne a su conquérir le cœur des fashionistas du monde entier avec ses collections raffinées et féminines.

Ba&sh symbolise l’esprit bohème chic de Paris, mêlant habilement la sophistication à une touche de nonchalance. Chaque pièce raconte une histoire et capture l’essence même de la vie parisienne : élégante, romantique, dynamique et pleine de charme.

La force de la marque de prêt-à-porter réside dans sa capacité à créer des vêtements qui incarnent la modernité tout en restant intemporels. Les coupes sont fluides, les tissus luxueux et les détails travaillés avec précision. Que ce soit une robe vaporeuse pour une soirée spéciale, un ensemble décontracté pour une journée en ville ou une blouse élégante pour le travail, les collections de Ba&sh offrent une gamme variée de vêtements pour toutes les occasions.

Ba&sh ne se contente pas de créer des vêtements. Sous l’égide du fonds d’investissement HLD de Jean-Bernard Lafonta, elle s’engage également à respecter des normes éthiques élevées. Ba&sh collabore avec des fournisseurs et des artisans qui partagent ses valeurs de durabilité et de responsabilité sociale. De plus, elle s’efforce de réduire son impact environnemental en utilisant des matériaux durables et en adoptant des pratiques de production respectueuses de l’environnement.

L’approche inclusive de Ba&sh en matière de mode se reflète à travers sa diversité de tailles et sa volonté de représenter chaque type de femmes dans ses campagnes publicitaires. La marque célèbre la beauté sous toutes ses formes et encourage les femmes à exprimer leur propre style avec confiance et audace.

Au-delà de ses collections de vêtements, Ba&sh propose également une gamme d’accessoires et de chaussures qui complètent son esthétique bohème chic. Des sacs en cuir élégants aux bijoux délicats, chaque pièce est conçue pour ajouter une touche de sophistication à n’importe quelle tenue.

 

Les vêtements de seconde main, un marché en plein boom

L’essor du marché de vêtements de seconde main, estimé à 5,5 milliards d’euros en France, est exponentiel depuis plusieurs années. Face à ce phénomène, les acteurs du secteur s’organisent, à l’image de Vinted, qui s’associe à Colissimo, filiale du groupe La Poste, pour proposer un nouveau service attractif de livraison.

C’est un phénomène difficile à ignorer : le seconde main pèse 200 milliards de dollars à travers le globe pour les seuls vêtements et accessoires de mode, et concerne aujourd’hui différentes catégories de produits, des moins chers aux plus luxueux.

Il y a sept ans, en France, le marché de la mode d’occasion enregistrait 2,7 milliards d’euros de revenus. Le marché explose aujourd’hui avec l’avènement du e-commerce depuis la pandémie, la crise du pouvoir d’achat et la prise de consciences des enjeux climatiques. Selon les chiffres de Global Data, le chiffre d’affaires de la seconde main est estimé à 5,5 milliards de dollars dans l’Hexagone en 2023. Une croissance exponentielle de 104% en cinq ans.

Taille, état, couleur… La seconde main est un marché où les choix des consommateurs sont plus réduits comparé au neuf. C’est la raison pour laquelle la dimension comparative du e-commerce est un atout central. D’après une enquête Fevad et KPMG, 59% des achats d’occasion s’effectuaient en ligne en 2022. Selon les dernières données de Foxintelligence, près d’un acheteur sur deux (49%) consommaient de la seconde main via internet l’année dernière. Un taux de pénétration qui a doublé depuis six ans.

Si les achats de seconde main se sont démocratisés, avec 46% des Français ayant pris l’habitude d’acheter des produits d’occasion ou reconditionnés (Sofinscope), c’est particulièrement le cas dans la mode. Un sondage Statista souligne que 61% des répondants ont acheté un produit d’occasion dans les catégories sacs, chaussures, vêtements ou accessoires en 2023. Logiquement, c’est aussi sur cette typologie d’articles que l’offre est la plus fournie avec des sites tels que Vinted, Once Again, Imparfaite, Crush On ou encore Vestiaire Collective.

La seconde main est principalement achetée sur internet et ce sont les plateformes de ventes entre particuliers qui concentrent la majorité des ventes. Bien que les enseignes essaient de grappiller des parts de marché à travers des sites de revente en marque propre (Petit Bateau, Aigle, Zara, Ba&sh…), 84% des Français qui consomment de la seconde main le font à travers des marketplaces C2C. Le volume de transactions des marketplaces d’occasion a augmenté de 175% entre 2019 et 2023.

La grande gagnante et spécialiste de la mode de seconde main est Vinted, dont les audiences l’année dernière figurent parmi les plus hautes des sites e-commerce. En 2023, Vinted occupe la 3ème place du top Médiamétrie des sites e-commerce les plus consultés avec 5 millions de visiteurs uniques par jour. C’est aujourd’hui la plus grande plateforme française, mais également européenne, dédiée à la revente de vêtements entre particuliers.

Vinted rassemble une large communauté qui recherche constamment de nouvelles solutions facilitant l’envoi et la réception de colis. Pour répondre à leurs besoins, la plateforme propose depuis le 29 janvier un nouveau service attractif de livraison, en partenariat avec Colissimo, la filiale du groupe La Poste dédiée à la livraison de colis aux particuliers et aux professionnels.

Grâce à la nouvelle solution Colissimo, les acheteurs Vinted reçoivent leurs colis dans leur boîte aux lettres ou à domicile (sans signature) en moins de 3 jours. Ils bénéficient aussi d’un second passage du livreur le lendemain en cas d’absence.

Les vendeurs peuvent quant à eux envoyer leurs colis depuis leur boîte aux lettres personnelle ou depuis leur bureau de poste. Le groupe La Poste a également déployé un parcours spécifique de dépôt rapide pour la clientèle Vinted dans 2 000 bureaux de Poste.

« La Poste, pionnière en matière d’économie circulaire et de réemploi, souhaite soutenir le développement du marché de la seconde main de vêtements. Avec ce nouveau service en collaboration avec Vinted, Colissimo innove une nouvelle fois pour les particuliers », affirme le groupe dans un communiqué.

 

 

L’huile de palme, ingrédient omniprésent dans de nombreux produits de consommation courante, est au cœur d’une controverse croissante en raison de ses conséquences dévastatrices sur l’environnement. L’expansion rapide des plantations de palmiers à huile entraîne une destruction alarmante des écosystèmes, mettant en péril la biodiversité et exacerbant les changements climatiques.

Déforestation à grande échelle :

L’une des principales préoccupations liées à l’huile de palme est la déforestation massive qui accompagne son expansion. Les forêts tropicales, riches en biodiversité, sont défrichées pour faire place aux vastes plantations de palmiers à huile. Cette déforestation entraîne la perte irréversible d’habitats pour de nombreuses espèces animales, mettant en danger des espèces emblématiques telles que les orangs-outans, les tigres et les rhinocéros.

Émissions de gaz à effet de serre :

La conversion des forêts en plantations de palmiers à huile libère d’importantes quantités de dioxyde de carbone, contribuant ainsi aux émissions de gaz à effet de serre. En outre, la décomposition des matières organiques dans les forêts défrichées libère du carbone stocké depuis des siècles et aggravant ainsi problème du réchauffement climatique. L’industrie de l’huile de palme est donc directement liée à la crise climatique mondiale.

Impact sur la biodiversité :

La monoculture intensive des plantations de palmiers à huile entraîne une réduction significative de la diversité biologique. Les écosystèmes forestiers complexes sont remplacés par des rangées de palmiers, créant des déserts biologiques dépourvus de variété végétale et animale. Cette perte de biodiversité a des répercussions en cascade sur l’ensemble de la chaîne alimentaire et menace l’équilibre écologique.

Conséquences sociales :

En plus des impacts environnementaux, l’industrie de l’huile de palme est souvent associée à des violations des droits humains, notamment des conflits fonciers, des conditions de travail abusives et le déplacement de communautés locales. Les populations autochtones voient leurs terres ancestrales confisquées au profit des plantations, ce qui engendre des conséquences sociales dévastatrices.

Solutions et appels à l’action :

Pour atténuer ces problèmes, des initiatives visant à promouvoir une production d’huile de palme durable ont été lancées. Les consommateurs sont encouragés à choisir des produits certifiés durables, tandis que les entreprises sont appelées à adopter des pratiques respectueuses de l’environnement. Des réglementations plus strictes et une surveillance accrue sont également nécessaires pour mettre fin aux pratiques irresponsables de l’industrie de l’huile de palme.

 

L’exploitation de l’huile de palme, bien que source de profits économiques, a des conséquences graves sur notre environnement et nos sociétés. Il est impératif que nous soyons conscients des choix que nous faisons en tant que consommateurs et que nous encouragions des pratiques industrielles plus durables. La préservation de nos forêts tropicales et de la biodiversité qui les habite est essentielle pour l’avenir de notre planète.

 

De Beers casse les prix

Le diamantaire sud-africain a procédé en ce début d’exercice de l’année, à l’une de ses baisses de tarifs les plus significatives de l’histoire. Une manœuvre destinée à relancer les ventes au point mort depuis plusieurs mois.

C’est la folie des prix chez De Beers. Le géant des diamants a effectué une coupe dans les coûts ce mois-ci, à en croire le site d’information Bloomberg. Le média américain qui cite des sources proches du dossier, évoque une baisse comprise entre 10 et 25% selon le type de pierres concernées.

Cela intervient dans le cadre de son premier cycle de vente de l’année. L’entreprise détenue par Anglo American réalise traditionnellement dix ventes par an, un événement au cours duquel les acheteurs nommés « sightholders » sont triés sur le volet.

C’est un moment d’autant plus important qu’il réunit les plus négociants de diamants de De Beers. Le cycle inaugural représente pour ces derniers l’occasion de repartir de l’avant après les ventes ayant coïncidé avec la période de la fin d’année.

L’objectif de la relance

Tout cela renseigne sur le caractère inédit de cette baisse de De Beers. D’autant que le groupe, leader mondial du diamant, n’est pas réputé pour brader ses pierres précieuses. Sa dernière opération de cet ordre, en dehors de celle intervenue dans la foulée de la crise du Covid, remonte à 2019.

Mais la conjoncture n’est pas des plus favorables depuis la fin de l’année dernière. La demande s’est en effet raréfiée à partir du second semestre, entraînant une chute des prix. De quoi contraindre les acteurs du secteur à interrompre les livraisons afin d’arrêter l’hémorragie.

Même les diamants synthétiques réputés moins coûteux n’ont pas attiré grand monde. La conséquence d’un ensemble de facteurs combinés, comprenant principalement les contrecoups toujours présents de la pandémie.

Un pari risqué

La présente baisse des prix opérée par De Beers se révèle donc être une stratégie destinée à stimuler la demande. Elle n’en reste pas moins à double tranchant étant donné la place de locomotive occupée par l’entreprise parmi les acteurs des pierres précieuses.

Le secteur pourrait en pâtir durablement si le marché ne répond pas favorablement à la manœuvre. Quid du caractère rare et luxueux associé aux diamants ? Les mois à venir permettront de savoir si De Beers a choisi la bonne approche pour contrer la crise.

En attendant, les soldes battent leur plein, avant l’heure, chez l’un des plus grands diamantaires du monde.

Energie électrique : quels avantages ?

L’énergie électrique est devenue un pilier incontournable de notre vie quotidienne, alimentant nos foyers, nos industries et nos technologies. Ses avantages sont nombreux et variés, contribuant de manière significative au progrès économique, social et environnemental.

Polyvalence et commodité :

L’électricité offre une polyvalence exceptionnelle. Elle peut être utilisée pour alimenter une variété d’appareils et de dispositifs, des simples ampoules aux équipements complexes de haute technologie. La commodité de son utilisation, que ce soit pour l’éclairage, le chauffage, la cuisson ou le fonctionnement d’appareils électroniques, fait de l’énergie électrique un choix de premier plan pour répondre à nos besoins divers.

Efficacité et rendement :

Comparée à d’autres sources d’énergie, l’électricité est souvent plus efficace. Les moteurs électriques, par exemple, peuvent atteindre des niveaux de rendement élevés, ce qui réduit les pertes d’énergie lors de la conversion. Cette efficacité accrue contribue à une utilisation plus rationnelle des ressources, ce qui est essentiel pour répondre aux défis actuels de la consommation énergétique mondiale.

Moindre impact environnemental :

L’énergie électrique, lorsqu’elle est produite à partir de sources renouvelables telles que l’énergie solaire, éolienne, hydraulique ou géothermique, offre un avantage environnemental considérable. Contrairement aux combustibles fossiles, l’électricité renouvelable réduit les émissions de gaz à effet de serre et contribue à la lutte contre le changement climatique. Le passage à une production électrique plus propre est un moyen crucial de minimiser l’impact négatif sur notre planète.

Accessibilité et distribution :

L’électricité est une forme d’énergie hautement distribuable. Les réseaux électriques permettent de transporter l’énergie sur de longues distances, facilitant ainsi son accès même dans les régions éloignées. Cette accessibilité favorise le développement économique en permettant aux entreprises, aux hôpitaux, aux écoles et aux foyers d’avoir accès à une source d’énergie fiable.

Innovation technologique :

L’essor de l’énergie électrique a alimenté une vague d’innovations technologiques. Des avancées majeures dans les domaines de l’électronique, de l’informatique et des communications ont été rendues possibles grâce à l’électricité. Cette source d’énergie a joué un rôle essentiel dans la révolution industrielle et continue de stimuler le progrès technologique.

 

L’énergie électrique reste un pilier fondamental de nos sociétés modernes, offrant une multitude d’avantages. Sa polyvalence, son efficacité, son faible impact environnemental, son accessibilité et son rôle moteur dans l’innovation technologique en font une ressource inestimable. Toutefois, il est impératif de continuer à explorer des méthodes de production plus durables afin de maximiser les avantages de l’énergie électrique tout en minimisant son impact sur notre environnement.

Fnac : quel bilan pour la Grande Collecte Solidaire 2023 ?

Photo de Claudia Wolff sur Unsplash

Fnac a organisé, de septembre à octobre dernier, la 11ème édition de sa Grande Collecte Solidaire en partenariat avec l’ONG Bibliothèques Sans Frontières (BSF). L’enseigne de Fnac-Darty a reçu plus de 250 000 livres, qui serviront à alimenter des bibliothèques et des programmes en faveur d’un meilleur accès à la culture dans le monde.

Fnac a organisé, du 15 septembre au 7 octobre 2023, la 11ème édition de sa Grande Collecte Solidaire en partenariat avec l’ONG Bibliothèques Sans Frontières (BSF). Le premier distributeur de biens culturels de France dit avoir reçu 252 000 livres de la part de clients et d’autres personnes pendant ces trois semaines. Ces ouvrages, en très bon état, ont été déposés dans 165 magasins partenaires dans toute la France et dans les territoires d’Outre-mer.

BD, livres pour enfants, romans, encyclopédie…

Comme pour les précédentes éditions, les donateurs ont apporté divers ouvrages en français comme en d’autres langues. Il y a des livres pour enfants, des bandes dessinées, de la littérature de jeunesse, des romans et des poèmes, ou encore des documents évolutifs (sciences, encyclopédie, guides touristiques …) publiés il y a moins de 5 ans pour des besoins d’actualités. A noter, les participants pouvaient déposer autant de livres qu’ils souhaitaient. Pour de gros volumes, l’enseigne a mis à disposition ses équipes afin de faciliter le transport.

Des œuvres pour les bibliothèques, écoles et associations

Après les dépôts, les magasins Fnac ont acheminé les livres vers le centre de collecte de Bibliothèques Sans Frontières situé dans les Yvelines. L’ONG s’est ensuite chargée de les référencer selon leur genre, puis de les expédier vers des bibliothèques, écoles et associations dédiées qui n’ont pas les moyens de s’équiper via les circuits traditionnels. Quand les œuvres ne correspondent pas aux besoins de ses projets, la BSF les revend sur le marché de l’occasion.

Plus de 2,3 millions de livres récoltés par Fnac en une décennie

En dix ans, la Grande Collecte Solidaire a permis de réunir 2,3 millions de livres. Ce qui fait de cette opération la plus grande collecte de livres de France ! Les participants ne reçoivent aucun bon d’achat pour les dons qu’ils effectuent. Leur geste est totalement gratuit. Ils souhaitent simplement poser un geste solidaire en faveur des plus démunis et contribuer à l’économie circulaire. Pour BSF, il est question de promouvoir la lecture et la culture, de lutter contre l’illettrisme et de renforcer le lien social.

Fnac contribue à l’économie circulaire

« Grâce à cette opération, page après page, nous construisons ensemble un monde plus juste et durable », a déclaré le directeur général de BSF Jérémy Lachal. Avec les œuvres reçues ces dernières années, l’ONG a créé un réseau de micro-bibliothèques et de médiathèques en kit (Ideas Box) dans les zones de conflit, les camps de réfugiés ou les quartiers défavorisés à travers le monde. De son côté, Fnac participe à l’essor de la seconde vie des livres, tout en renforçant l’accès à la culture des populations défavorisées.

Fnac promeut la culture et la solidarité

Grâce à la Grande Collecte Solidaire, Fnac consolide son statut d’acteur de référence de la culture en France. L’enseigne promeut le livre avec l’organisation de concours littéraires comme le Prix du Roman Fnac et le Prix BD Fnac France Inter. Elle soutient soutient aussi le Goncourt des Lycéens, en partenariat avec le Ministère de l’Education Nationale. Au niveau social, Fnac a mis en place diverses initiatives telles que L’ARRONDI solidaire. Cette solution permet aux clients d’arrondir à l’euro supérieur leurs achats effectués en caisse. Cet argent contribue au financement d’actions concrètes au bénéfice des jeunes et des femmes en difficultés.

Véhicules électriques : Tesla pris de vitesse par BYD

Photo de David von Diemar sur Unsplash

Tesla s’est fait doubler par BYD. Au dernier trimestre 2023, l’entreprise américaine n’a vendu que 483 000 véhicules électriques, contre 526 000 pour la marque chinoise. Mais elle garde la main puisque ses ventes totales pour l’année dépassent celles du concurrent. Pas de loin cependant.

BYD (Build Your Dreams, « construisez vos rêves ») appuie sur l’accélérateur face à Tesla. Au quatrième trimestre 2023, la marque chinoise a écoulé 526 000 véhicules électriques, alors que la firme d’Elon Musk n’en déclarait que 484 507. Elle double ainsi son plus grand rival pour la première fois. De quoi donner à ce dernier de grosses sueurs froides.

Tesla et BYD détiennent chacun environ 17 % du marché mondial

Tesla aurait dû s’attendre à ce dépassement après que les deux groupes ont été au coude-à-coude au troisième trimestre avec 432 000 unités pour BYD et 435 000 pour Tesla. Aussi, ils détenaient chacun environ 17 % du marché mondial des voitures électriques (VE) pendant cette période. Si le fabricant américain n’a pas vu le concurrent venir dans son rétroviseur, il garde cependant une petite longueur d’avance.

Tesla reste en tête sur l’année

En effet, Tesla conserve sa première place avec 1.8 million de véhicules électriques vendus sur toute l’année 2023 (+ 38% sur un an), contre 1.6 millions (+73% sur un an) pour BYD. En 2022, les deux constructeurs avaient respectivement écoulé 1,37 million et 1,88 million de véhicules dans le monde. BYD, qui domine le marché chinois, vend aussi des voitures hybrides, à la différence de Tesla. En 2023, il a produit 3 millions de voitures dans le monde, dont 1,6 million d’électriques et 1,4 million d’hybrides.

Cinq millions de VE produits par BYD à ce jour

En octobre dernier, BYD a d’ailleurs franchi la barre symbolique des cinq millions de voitures électriques produites. Fondée en 1995 à Shenzen, métropole du sud de la Chine abritant les sièges sociaux de grands groupes technologiques nationaux (Huawei, Tencent, etc.), BYD fabriquait uniquement des batteries rechargeables à sa création. C’est en 2003, que l’entreprise a diversifié ses activités pour construire également des voitures thermiques.

Elon Musk s’était moqué de BYD en 2011

Vers la fin des années 2000, BYD a intégré les voitures hybrides et électriques à sa production. Mais c’est en 2022, que le groupe chinois cesse de produire des mécaniques à moteurs à combustion pour se concentrer sur les modèles plus vertueux (hybrides et électriques). En 2011, alors que BYD n’était qu’un petit constructeur local, Elon Musk avait osé se moquer de ses véhicules. « Vous avez vu leurs voitures ?», avait ironiquement interrogé le magnat américain lors d’une interview à Bloomberg.

BYD bénéficie du fort soutien du gouvernement chinois

Mais Elon Musk n’aurait pas dû piquer au vif BYD. Le petit panda maladroit est devenu un mastodonte en seulement une décennie. Grâce en grande partie à la politique chinoise d’électrification des transports publics et aux financements massifs du gouvernement. Ce dernier a débloqué plus de 200 milliards de yuans (soit près de 26 milliards d’euros) de subventions et allègements fiscaux pour l’achat de véhicules électriques. Ce fort soutien étatique a contribué à doper la demande intérieure, qui renforce à son tour le poids de BYD dans le marché à l’export.

BYD va construire une usine en Hongrie, Tesla réplique

BYD, qui compte parmi ses actionnaires le milliardaire américain Warren Buffett, fournit en batteries les principaux constructeurs mondiaux, dont Tesla, Mercedes, BMW et Audi. Fort de sa puissance, la marque chinoise compte s’implanter à l’international. Fin décembre, elle a annoncé la construction de sa première usine européenne de voitures en Hongrie. Se sentant plus que jamais menacé, Tesla riposte. Le groupe a décidé d’augmenter sa production rapidement. Il prépare aussi le lancement de son fameux pick-up électrique Cybertruck.

Lamborghini, fusion de la puissance et de l’élégance

Les Lamborghini ont toujours suscité l’admiration et l’enthousiasme des passionnés de voitures du monde entier. Fondée en 1963 par Ferruccio Lamborghini, cette marque italienne s’est imposée comme un symbole de luxe, de puissance et d’innovation dans l’industrie automobile.

L’histoire de Lamborghini :

Ferruccio Lamborghini, un fabricant italien de tracteurs prospère, a fondé Lamborghini avec l’intention de concurrencer Ferrari, une autre légendaire marque italienne de voitures de sport. Dès le début, Lamborghini a adopté une approche audacieuse en matière de conception et de performance, et cela se reflète dans chaque modèle produit par la marque.

Les modèles emblématiques :

Lamborghini est réputée pour ses voitures au design avant-gardiste et aux performances exceptionnelles. Parmi les modèles emblématiques figurent la Lamborghini Miura, la première voiture de série à moteur central, la Lamborghini Countach, connue pour ses portes en élytre distinctives, et la Lamborghini Diablo, une voiture qui a établi de nouveaux standards en matière de vitesse.

La technologie de pointe :

L’innovation technologique est au cœur de la philosophie de Lamborghini. La marque intègre régulièrement des technologies de pointe dans ses véhicules pour offrir des performances optimales. Les systèmes de transmission intégrale, les moteurs V12 puissants et les matériaux légers font partie intégrante de l’ADN de Lamborghini.

Un design qui fait tourner les têtes :

L’esthétique distincte des voitures Lamborghini est un mélange parfait de sportivité et d’élégance. Les lignes aérodynamiques, les formes angulaires et les détails sophistiqués définissent le style unique de la marque. Chaque Lamborghini est une œuvre d’art sur roues, attirant l’attention partout où elle va.

L’expérience de conduite Lamborghini :

Posséder une Lamborghini va bien au-delà de la simple possession d’une voiture. C’est une expérience de conduite sensationnelle. Le vrombissement distinctif du moteur, l’accélération fulgurante et la tenue de route exceptionnelle créent une symbiose entre la machine et son conducteur. De quoi offrir une expérience de conduite inoubliable.

 

Lamborghini demeure une icône intemporelle de l’industrie automobile, synonyme de luxe, de performance et de design avant-gardiste. À travers les décennies, la marque a su évoluer tout en préservant son héritage, créant des voitures qui continuent d’émerveiller les passionnés du monde entier. Que l’on soit un amateur de voitures de sport ou simplement un admirateur du génie mécanique, une Lamborghini ne manque jamais de susciter l’admiration et l’envie.

Renault, fleuron de l’automobile français

Dans un monde automobile en constante évolution, Renault se positionne à l’avant-garde de l’industrie avec des innovations audacieuses et des initiatives visionnaires. La marque française, emblématique de l’industrie automobile depuis des décennies, continue de repousser les limites de la technologie et du design pour façonner l’avenir de la mobilité.

Une révolution électrique

Au cœur de la stratégie de Renault se trouve la transition vers la mobilité électrique. La marque a investi massivement dans le développement de véhicules électriques et hybrides, mettant en lumière sa vision d’un avenir plus durable. Le modèle phare, la Renault ZOE, continue de dominer le marché européen des voitures électriques, offrant une autonomie accrue, un design raffiné et une expérience de conduite électrisante.

Cependant, Renault ne se contente pas de suivre les tendances, mais aspire à les dicter. En 2023, la marque a dévoilé le concept-car Renault Mégane eVision, une voiture électrique compacte au design futuriste et aux performances époustouflantes. Avec cette annonce, Renault confirme son engagement envers la transition vers une mobilité électrique accessible à tous.

Collaboration et innovation

Le partenariat stratégique entre Renault et Nissan, au sein de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, continue de porter ses fruits. En combinant les forces et les ressources des trois constructeurs, l’Alliance a pu accélérer le développement de technologies avancées, notamment dans le domaine des véhicules autonomes et de la connectivité.

Renault s’est également distingué par ses initiatives collaboratives avec des startups et des acteurs de l’industrie technologique. La création du « Renault Open Innovation Lab » a permis à la marque de collaborer avec des entrepreneurs et des innovateurs pour explorer de nouvelles idées et solutions. Cette approche ouverte témoigne de l’engagement de Renault à rester à la pointe de l’innovation.

Le design Renault : Une signature reconnaissable

Le groupe français a toujours été synonyme de design novateur et distinctif. Les derniers modèles, tels que le Renault Arkana et le Renault Captur, incarnent la nouvelle ère du design automobile. Les lignes épurées, les proportions équilibrées et les détails sophistiqués définissent la signature esthétique de la marque.

Le Renault 5 Prototype, dévoilé en 2023, fait revivre l’esprit emblématique de la Renault 5, tout en le modernisant avec des éléments contemporains. Ce modèle conceptuel réaffirme l’importance du patrimoine de la marque tout en anticipant l’avenir de la mobilité urbaine.

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