jeudi, novembre 6, 2025
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Voiture autonome : Lexus dévoile un concept-car électrique équipé d’un drone

 

Pendant le salon automobile Tokyo 2019, Lexus, marque de luxe du constructeur japonais, a présenté la Lexus LF-30, un nouveau concept-car électrique équipé d’un drone. Ce véhicule entièrement autonome et connecté a un style très novateur et futuriste.

Alors que Toyota fait figure de pionnier sur le marché de l’automobile hybride, depuis quelques années, c’est au tour de Lexus, sa division premium de présenter officiellement sa LF-30, un nouveau concept de véhicule 100% électrique, équipé de technologies de pointe.

L’intérieur ressemble à un cockpit

En termes de design, la Lexus LF-30 intégrera une carrosserie anguleuse en métal recyclé et matériaux durables. Les fenêtres, notamment le pare-brise panoramique, pourront ajuster leur opacité en fonction des besoins du conducteur. L’intérieur ressemble davantage à un « cockpit » qu’à une « planche de bord ». En effet, toutes les informations sont centralisées autour du conducteur avec des commandes tactiles et activables via des actions gestuelles. Un écran se place en face du conducteur, qui sera isolé des bruits extérieurs grâce à des haut-parleurs dans les appuie-têtes équipés d’une fonction « anti-bruit ». Les passagers arrières profitent également de ce cocon avec un toit en en verre qui peut se transformer en écran tactile. Son affichage est personnalisable. Les sièges baquets à l’arrière sont capables de s’adapter aux occupants.

Un drone pour transporter les bagages

Le Lexus LF-30 marque une vraie rupture de style avec la voiture d’aujourd’hui. Il ne dispose pas d’un, mais de plusieurs moteurs qui prendront place dans les quatre roues, permettant d’avoir une transmission intégrale complètement indépendante. Entièrement électrique, le concept LF-30 est alimenté par une batterie qui peut se recharger en roulant, grâce à la technologie par induction. Le LF-30 permet ainsi de réduire au maximum les contraintes liées à l’utilisation d’une voiture électrique, qui dispose normalement d’une prise pour le branchement d’un câble.

Il faut noter que le Lexus LF-30 est un véhicule entièrement autonome qui profitera d’une intelligence artificielle capable d’être commandée par la voix. En arrivant à destination, la voiture peut aller se garer toute seule sur sa place de stationnement, tandis qu’un drone-porteur, également autonome, se chargera de transporter les valises des passagers. Côté performance, on sait déjà que Lexus prévoit une batterie de 110 kWh, ce qui est bien supérieure à celle utilisée actuellement par Tesla Model 3. Quant à l’autonomie, elle atteindra les 500 km.

Disponible à l’horizon 2030 ?

Lexus promet de commercialiser ce véhicule à l’horizon 2030. Mais son concept très futuriste laisse penser que cette échéance est trop courte. D’ailleurs aucun constructeur n’a réussi jusqu’ici à produire à grande échelle une voiture à quatre roues.

Assises de l’agriculture et de l’alimentation : le revenu des agriculteurs et le respect de l’environnement au cœur des débats

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Les acteurs du monde agricole et agroalimentaire se sont retrouvés cette semaine à Rennes, au Couvent des Jacobins, pour « les Assises de l’agriculture et de l’alimentation » organisées depuis 2016. Cette année, le revenu des agriculteurs, le respect de l’environnement et le bien-être animal ont été les grandes questions abordées par les panelistes.

Les Assises de l’agriculture et de l’alimentation 2019 se sont déroulées sur deux jours, les 15 et 16 octobre 2019. Les débats ont concerné plusieurs thématiques dont la montée en gamme des productions pour répondre aux exigences croissantes des consommateurs (sécurité alimentaire, respect de l’environnement, bien-être animal) et le revenu des agriculteurs qui doivent tout de même vivre de leur labeur.

« la valeur, c’est du prix et des volumes »

Dominique Chargé, président de Coop de France, Arnaud Degoulet, président de la coopérative Agrial, et Emmanuel Vasseneix, PDG du groupe LSDH (le lait C’est qui le patron ?) se sont hérissés contre la loi issue des États généraux de l’alimentation (Egalim). Ils estiment qu’elle affecte les agriculteurs et les transformateurs car elle rogne leur compétitivité et plombe leurs capacités d’exportation. Pour Emmanuel Vasseneix, les États généraux annoncés par le président Macron n’ont pas porté leurs fruits : « Il faut remettre en cohérence la production avec les marchés. », a-t-il exhorté. Arnaud Degoulet pense également que « Les États généraux se sont focalisés sur la qualité, les circuits courts. Mais la valeur, c’est du prix et des volumes. La France a besoin d’exporter son lait, sa viande, ses céréales. Le monde a encore faim. ».

S’ils réduisent l’utilisation des pesticides, ils réduiront leurs charges

Evidemment, Stéphane Le Foll, l’ex-ministre de l’Agriculture, ne partage pas ces points de vue. « Tant que l’on n’a pas changé dans sa tête l’idée que la question environnementale n’est pas une contrainte réglementaire, mais qu’elle peut devenir un atout économique, on trouvera toujours des pays qui produiront à moins cher avec moins de réglementation. », a-t-il contre-attaqué d’emblée. Puis d’indiquer que l’agriculteur peut conforter son revenu en réduisant le débit des intrants chimiques. « Les céréaliers dépensent chaque année plus de 100 € par hectare en produits phytosanitaires. S’ils réduisent l’utilisation des pesticides, ils réduiront leurs charges. Moins de phytos, c’est plus de marges. Plus d’écologie, c’est plus de compétitivité. », a lancé Stéphane Le Foll.

Adapter les modes de production

Ils ont beau avoir protesté, les acteurs de l’alimentation n’ont pas d’autres choix que d’emprunter le virage écologique. Car de plus en plus, les consommateurs exigent des produits bio, sans – OGM, antibiotiques, gluten -, et des produits locaux. Les producteurs doivent donc s’adapter et faire évoluer leurs pratiques. « Les agriculteurs ont toujours fait évoluer leurs pratiques pour répondre aux attentes, d’abord quantitatives, puis qualitatives, a juré Bernard Rouxel, vice-président du groupe coopératif Cooperl. « Nous ne faisons pas de résistances face au changement mais les consommateurs doivent accepter que ça prend du temps », a-t-il ensuite plaidé.

Ouverture le dimanche : échec encourageant pour le groupe Casino ?

Il est des défaites judiciaires qui portent des promesses. C’est ce que semble penser le groupe Casino au lendemain de la décision du tribunal de grande instance d’Angers d’interdire au Géant-Casino local d’avoir recours à des animateurs externes pour aiguiller ses clients vers les caisses automatiques le dimanche après-midi.

C’est l’éternel retour de la question du travail du dimanche. Face aux évolutions des habitudes de consommation des Français, et face surtout à l’émergence du commerce électronique, les acteurs du secteur de la grande distribution cherchent depuis plusieurs années à étendre leurs heures d’ouverture le soir et le week-end.

L’arrivée des caisses automatiques, qui permettent aux clients de gérer seuls leur passage en caisse et donc de se passer de caissières, a changé la donne, permettant des ouvertures nocturnes (certains magasins sont désormais ouverts 24/24) et ouvrant la porte à des ouvertures le dimanche après-midi.

C’est dans ce contexte que le Géant Casino d’Angers a utilisé les services d’une société de prestataires de services, Evènement, pour mettre à disposition de ses clients des animateurs chargés de les informer et de les orienter vers les caisses automatiques le dimanche après-midi. C’est cette société qui est visée par la décision du TGI d’Angers.

Le tribunal lui a en effet signalé jeudi l’interdiction « d’employer des salariés le dimanche à partir 13 heures dans le Géant Casino d’Angers ». Une interdiction qui est assortie d’une peine d’astreinte de 5000 euros par infraction constatée. Mais derrière cette défaite judiciaire, c’est un sentiment de soulagement qui semble prédominer du côté du groupe Casino et du monde de la distribution.

Le TGI n’a en effet pas remis en cause le principe même de l’ouverture des hypermarchés le dimanche après-midi, ni l’usage des caisses automatiques qui la rend possible. L’interdiction d’avoir recours à des animateurs ne semble d’ailleurs pas poser problème, à en croire un porte-parole du groupe Casino. « Avec ou sans animatrices, le dispositif fonctionne. Ces employés n’étaient de toute façon prévus que le temps de lancer le dispositif ».

Tagether : l’Instagram des réductions et des recommandations shopping

Dernière nouveauté du monde des réseaux sociaux, l’application Tagether connait un vif succès dans le Nord de la France, où elle a été lancée en début d’année. Son principe ? Proposer aux clients des commerces de proximité partenaires de prendre des photos de leurs derniers achats en échange de réductions sur les achats futurs. Ou comment monétiser efficacement et facilement son activité sur les réseaux sociaux !

Et si nous devenions tous des influenceurs Instagram ? C’est l’idée de base de Tagether, l’application de partage de photos destinée à accompagner les efforts de communication digitale des commerçants de proximité. Partant du principe que de nombreux clients publiaient sur les réseaux sociaux des photos (souvent d’excellente qualité) de leurs derniers achats sans aucune contrepartie, Tagether propose de rémunérer ces clichés par des réductions.

C’est une opération gagnant-gagnant, puisque si les clients reçoivent des réductions dans leurs magasins favoris, les commerçants eux bénéficient à la fois d’un fort levier de fidélisation tout en se constituant un catalogue numérique qui valorise leur boutique ou leur savoir-faire. Détail complémentaire, ce sont les commerçants qui sélectionnent les photos qui sont publiées sur leur catalogue, gardant en permanence le contrôle sur leur image en ligne.

Tagether, « c’est un peu l’Instagram de la réduction, mais plus orienté shopping avec le principe des réductions et la dimension fidélisation », explique Ali Berra, qui a co-fondé l’application avec son frère Mehdi. Ce dernier précise d’ailleurs qu’à « la différence d’Instagram et des influenceurs payés pour des publications, il ne s’agit pas de publicité avec Tagether, mais de recommandation après achat ».

Les commerçants partenaires paient un abonnement mensuel de 25 euros pour pouvoir créer un compte et disposer d’un catalogue digital avec des photos de leurs produits-phares. Les utilisateurs de Tagether, grâce à un outil de géolocalisation, voient la boutique et son catalogue quand ils passent à proximité et peuvent à leur tour l’enrichir en prenant de nouveaux clichés.

Dans une économie de la recommandation et de l’échange, le modèle Tagether s’annonce prometteur. Initialement lancé dans le Nord de la France, il prend aujourd’hui de l’ampleur dans le Sud et en région parisienne notamment avant un déploiement sur tout le territoire national prévu dans les prochains mois.

L’application est accessible via ce lien : http://store.tagether.fr/download

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Didier Granilic présente le nouveau Cheminée actuelle

Dans l’éditorial du dernier numéro de Cheminée actuelle, le rédacteur en chef de la revue, Didier Granilic, revient sur les différentes aides qui peuvent être apportées aux propriétaires dans le cadre de la rénovation thermique. Il en profite pour vanter les mérites de cette pratique, qui permet de bénéficier d’un meilleur chauffage, plus respectueux de l’environnement, et surtout de réaliser d’importantes économies.

« Avec ce nouveau numéro, Cheminée actuelle vous explique de manière claire et complète l’ensemble des aides auxquelles vous pouvez prétendre pour profiter d’un intérieur plus confortable et moins énergivore, donc plus économique. Profitez-en, le contexte est favorable est c’est très bien pour changer de chauffage. »

Tels sont les mots employés par Didier Granilic pour présenter le dossier spécial rénovation énergétique que propose le dernier numéro de Cheminée actuelle, actuellement en kiosque.

En effet, pour affronter le retour du froid qui se profile, la revue spécialisée dans les chauffages domestiques, a concocté un numéro qui accorde une large place à la rénovation thermique, en mettant notamment en valeur les nouveaux moyens de chauffage et qui propose de nombreuses informations et astuces afin de pouvoir économiser un maximum d’argent pour leur installation et de leur achat.

Pour autant, Cheminée actuelle reste un magazine attaché à la qualité des produits et du design intérieur. Un article intitulé « Design et personnalisation : un atout pour votre poêle », revient sur l’harmonisation esthétique si importante au bien-être et au confort dans son foyer, lors du choix d’un nouveau poêle.

Enfin, ce numéro présente un événement de premier plan pour les amateurs du secteur, le salon « Progetto Fuoco », qui se tiendra en marge de la foire de Vérone L’occasion de revenir sur le bon gout à l’italienne, pour Cheminée actuelle, qui est d’ailleurs également partenaire de ce salon « Progetto Fuoco ».

Cheminée actuelle est un titre du groupe HD Média, également à l’origine de tirage Maison et jardin actuels, et des avis de Maison actuelle, ou encore de Déco Mag. Le dernier opus automnal de Cheminée actuelle est disponible en vente dans les principaux kiosques et sur les salons professionnels du secteur.

Ardennes : Hermès va implanter une deuxième maroquinerie à Tournes

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Après Bogny-sur-Meuse en 2004, Hermès va implanter une deuxième maroquinerie à Tournes à l’horizon 2022. Cette nouvelle fabrique devrait employer 250 à 300 personnes. Sa construction nécessitera un investissement de près de 10 millions d’euros.

L’atelier construit sur une superficie de 5 000 m²

Hermès veut davantage ancrer son savoir-faire dans la région Grand-Est. Ainsi, après avoir ouvert un atelier à Bogny-sur-Meuse en 2004, le géant du luxe annonce l’implantation d’une deuxième maroquinerie dans la région, à l’horizon 2022. Cet atelier, qui nécessitera un investissement probablement proche de dix millions d’euros, sera construit sur le Parc d’activités Ardennes Emeraude, gérée par la chambre de commerce et d’industrie des Ardennes, sur le territoire des communes de Tournes et Cliron. Hermès y occupera une superficie globale de cinq hectares, sur lesquels sera bâtie une nouvelle fabrique de 5 000 m². Ce site devrait commencer sa production en 2022 et employer à terme 250 personnes en CDI.

Les futurs artisans formés pendant 18 mois

Fidèle à sa politique de maillage régional déjà mise en œuvre en Franche-Comté, en Seine-Eure et aussi en Nouvelle-Aquitaine, Hermès va transmettre son ADN en consacrant dix-huit mois de formation aux nouveaux artisans. La transmission de ce savoir-faire se déroulera sur la zone d’activité « Activence » (Charleville-Mézières) dans un bâtiment de 2 366 m² où plusieurs cellules de production seront mises à disposition du fleuron du luxe. Ce lieu éphémère loué, par la société d’équipement et d’aménagement Proteame, sera disponible à partir du 1er novembre avant une entrée en production en mars 2020.

Avec ces deux maroquineries dont celle de Bogny-sur-Meuse inaugurée en 2004, le pôle ardennais d’Hermès comptera à terme plus de 500 artisans. Il devient dès lors le sixième pôle maroquinier du Groupe de luxe après ceux de Paris-Val-de-Seine, de Normandie, de Franche-Comté, du Sud-Ouest et de la région Savoie-Dauphiné.

Vingt-et-unième site d’Hermès en France

Depuis 2010, Hermès a ouvert neuf maroquineries et recruté plus de 2 100 artisans portant à plus de 3 400 le nombre de selliers-maroquiniers. Avec les ouvertures prochaines des maroquineries de Guyenne (Gironde) 2020, de Montereau (Seine-et-Marne) en 2021 et de Louviers (Eure) en 2021, la future maroquinerie des Ardennes deviendra le vingt-et-unième site de production d’Hermès Maroquinerie Sellerie en France.

Hermès n’a pas souhaité commenter l’information. Mais les élus locaux s’enthousiasment déjà pour les emplois annoncés.

 

Bien-être animal : le groupe Casino récompensé pour sa « démarche pionnière »

Le groupe de distribution Casino a reçu le Trophée Responsabilité Sociale des marques pour « sa démarche pionnière en faveur du bien-être animal », à l’occasion des Trophées LSA « La Conso s’engage », qui se tenaient à Paris le 19 septembre. Un prix qui récompense l’engagement du groupe de Jean-Charles Naouri en faveur de meilleurs traitements des animaux d’élevage.

Conscient de l’évolution des mentalités et des attentes des consommateurs sur les questions du traitement des animaux destinés à la consommation, Casino est le premier groupe de distribution français à s’être impliqué dans une politique de concertation (notamment avec des associations, les professionnels du secteur et avec des vétérinaires), puis de définition d’un cadre visant à garantir le bien-être animal.

Le groupe Casino et le bien-être animal

C’est cette politique volontariste que les Trophées LSA « La Conso s’engage » ont souhaité récompenser avec le trophée Responsabilité sociale des marques « pour sa démarche pionnière en faveur du bien-être animal ». Une récompense qui s’ajoute aux 4 autres trophées RSE glanées cette année par le groupe de distribution stéphanois.

Dans le cadre de sa politique pour le bien-être animal, le groupe Casino s’engage à « améliorer et enrichir l’offre de produits plus respectueux du bien-être animal présente en rayon », avec pour objectif de « permettre à ses clients  de consommer des produits de meilleure qualité et garantissant de meilleurs traitements des animaux d’élevage ».

Parmi les démarches positives mises en œuvre, l’ensemble des enseignes du groupe Casino en France ont décidé de ne plus vendre, d’ici 2020, des œufs de poules élevées en cage. Une démarche responsable et progressive puisque dès 2018, plus de 80% des œufs vendus en France dans les enseignes du groupe n’étaient pas issus de poules élevées en cage.

Le groupe de Jean-Charles Naouri s’associe avec des ONG

Enfin et surtout, le groupe Casino a lancé en décembre 2018 un partenariat avec trois ONG spécialisées dans le bien-être animal (Compassion In World Farming France, La Fondation Droit Animal, éthique et sciences et l’association Oeuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs) afin de mettre en place le premier étiquetage sur le bien-être animal.

« Cette démarche, inédite en France, vise à renforcer la transparence sur les conditions d’élevage, de transport et d’abattage des animaux et ainsi donner une information claire et fiable aux consommateurs », avait à l’époque expliqué le groupe de Jean-Charles Naouri dans un communiqué.

Web : l’émoji « OK » désormais considéré comme un symbole haineux

 

Selon la Ligue Anti-diffamation (ADL), l’émoji OK a une connotation raciste. Pour plus de prudence, elle le classe donc parmi ses 200 symboles haineux, au même titre que le salut nazi et les autres signes de ralliement du Ku Klux Klan.

Le geste représente les initiales d’un mouvement suprématiste

Si pour la plus part des internautes l’émoji « Ok » signifie tout simplement qu’on est d’accord avec notre interlocuteur ou que tout va mieux, il pourrait parfois revêtir une tout autre signification. Selon La Ligue Anti-diffamation (ADL), une organisation qui lutte contre l’antisémitisme, ce symbole serait notamment utilisé pour montrer son appartenance au mouvement White Power. En effet, le geste que fait la main pour mimer le mot OK peut représenter les lettres W et P, abréviation du mouvement suprématiste. L’organisation non gouvernementale considère donc que l’émoji « Ok » est un symbole raciste au même titre que le salut nazi, la croix gammée ou encore Pepe the Frog, des signes de ralliement du Ku Klux Klan, un mouvement suprématiste blanc.

Une rumeur partit d’un site internet controversé

Selon certaines sources, cette association du symbole OK au mouvement suprématiste blanc est apparue sur la toile, précisément sur 4chan, un site basé sur la publication libre d’images, d’animations de types mangas et d’émojis. Plusieurs internautes (tous anonymes – c’est la règle sur 4chan) avaient lancé la rumeur selon laquelle l’émoji OK a une portée symbolique haineuse. Une blague qui a été prise au pied de la lettre par certaines personnes ayant une affinité avec les idées du White Power. C’est ainsi que le symbole a été repris à la fois sur la toile et dans la vie réelle, notamment lors des rassemblements de suprématistes.

Depuis, on a pu apercevoir des personnalités proches de l’extrême droite exécuter ce symbole, dans des contextes où on ne leur demandait pas leur avis. L’on peut citer par exemple Marine Le Pen, la cheffe de fil du RN. Elle a créé la polémique en faisant le geste aux côtés du leader conservateur estonien Ruben Kaalep. Mais elle s’est défendue d’avoir eu connaissance de la signification cachée de ce symbole. Donald Trump a également utilisé ce signe lors de sa campagne présidentielle comme synonyme de ralliement. Il y a en outre le terroriste à l’origine du massacre de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, ou encore Jim Hoft, fondateur du site conspirationniste Gateway Pundit qui ont fait le même signe « OK », de la main.

« Nous pensons que la police et le public doivent être pleinement informés »

La Ligue Anti-Diffamation a donc cru bon d’avertir tout le monde quant à la signification réelle (ou plutôt détournée) de ce symbole innocent à l’origine. « Nous pensons que la police et le public doivent être pleinement informés de la signification de ces images, qui peuvent servir de premier signal d’alerte pour la présence d’ennemis dans une communauté ou une école », explique l’ADL. L’association appelle toutefois à ne pas tirer de conclusions trop hâtives sur  l’utilisation de ce symbole, car il est largement utilisé à des fins inoffensives.

Hub One : une offre Wi-Fi spécialement conçue pour les hôtels

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Le groupe Hub One, l’un des leaders français des technologies digitales et de la mobilité pour les professionnels, vient de lancer une offre à destination du secteur hôtelier. L’objectif ? Garantir une connexion fiable et rapide dans toutes les chambres, et accroître les revenus par chambre disponible. Des enjeux capitaux pour les professionnels de l’hôtellerie.

A l’heure de la génération hyper-connectée, les clients des hôtels attendent de bénéficier dans leurs chambres d’hôtels de services équivalents à ceux auxquels ils ont accès à la maison, que ce soit pour accéder à Internet, regarder des films, écouter de la musique, ou télécharger des fichiers. Or, il n’est pas toujours facile pour les hôteliers de proposer une connexion de rapide, fiable et de qualité dans l’ensemble de leurs chambres.

Les équipes de Hub One proposent aux entreprise du secteur hôtelier un audit à la fois de leur réseau Wi-Fi et des spécificités de leur établissement (nombre d’étages, contraintes diverses liées à l’architecture…). Sur la base de cette analyse, ils conçoivent et mettent en place le réseau le plus adapté afin de garantir un accès Internet rapide, fiable et de qualité dans l’intégralité de l’établissement.

Quand on sait que, désormais, la qualité de la connexion internet est le principal critère d’une réservation hôtelière pour 34% des Français, on comprend mieux qu’un réseau performant et fiable est indispensable pour répondre aux besoins de la clientèle. Mais la satisfaction des clients n’est pas la seule finalité des offres Wi-Fi proposées par Hub One.

Les réseaux Wi-Fi mis en place par Hub One permettent également de répondre aux besoins métiers du personnel des hôtels et à accroître les revenus par chambre disponible en communiquant de façon efficace et ergonomique avec les clients, un autre enjeu majeur pour en secteur qui peine à fidéliser la clientèle à l’heure du digital et des sites de réservation en ligne.

Les hôtels qui choisissent de se faire accompagner par Hub One bénéficient de moyens de communication optimisés avec leurs clients afin d’échanger pendant et après le séjour, de leur proposer les services de l’hôtel et de les fidéliser en limitant le besoin d’intermédiaires pour les réservations futures. Pendant toute l’année 2019, Hub One inclut également dans son offre une labélisation Label Wi-Fi Performance, la norme la plus respectée du secteur.

« Aujourd’hui, disposer d’un bon réseau Wi-Fi est essentiel pour les établissements hôteliers. Avec notre nouvelle offre, nous sommes en mesure d’accompagner le marché hôtelier en leur offrant une qualité de connexion optimale », a indiqué Jean-Christophe Budin, le directeur de la Busines Line Wireless chez Hub One.

Au-delà de Hub One, beaucoup d’experts proposent aux entreprises une connectivité optimale, comme l’opérateur télécom et cloud services Stelogy.

Musée du quai Branly : entrée gratuite pendant dix jours en hommage à Jacques Chirac

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Le Musée du quai Branly sera ouvert gratuitement pendant une dizaine de jours en hommage à Jacques Chirac, cet homme de culture qui a contribué à sa création en 1998. Ce sera l’occasion de profiter de l’exposition « 20 ans » qui plonge les visiteurs dans l’histoire de ses acquisitions.

« Cette exposition c’est vraiment sa collection » 

En hommage à Jacques Chirac, sous l’impulsion duquel il est né en 2006, le Musée du quai Branly va rester ouvert gratuitement « pendant une dizaine de jours », a annoncé le président du musée Stéphane Martin ce vendredi sur Europe 1. Cette gratuité durera « le temps que les gens qui veulent lui rendre hommage puissent le faire », a-t-il ajouté. Ce sera l’occasion pour ces visiteurs de profiter de l’exposition « 20 ans », accessible jusqu’au 26 janvier 2020. Cette expérience culturelle présente les acquisitions du musée du quai Branly de 1998 à 2018. « On vient d’inaugurer le bilan de ce qu’on a fait pendant 20 ans grâce à lui, en termes d’enrichissement. Cette exposition c’est vraiment sa collection », a expliqué Stéphane Martin à BFMTV.

Des pièces exceptionnelles à voir

L’exposition « 20 ans » est une invitation à entrer dans les coulisses du musée du quai Branly-Jacques Chirac. Elle s’applique à retracer la vie de 500 pièces iconiques, étapes par étapes, à travers notamment les multimédias. A ce jour, le musée a acquis 77 082 items, dont 15 857 objets et 61 225 œuvres graphiques ou photographiques. Au moins 60% de cette collection provient de dons. Voici quelques-unes des œuvres que le visiteur pourra admirer :

– Une statuette mexicaine de la culture Chupicuaro, l’une des premières œuvres acquises par le musée du Quai Branly en 1998

– Le Bison Blanc de Rukiya Brown, costume des « Mardi Gras Indians » de la Nouvelle-Orléans en Louisiane.

– Des statuettes ibeji provenant du Nigeria à l’effigie de jumeaux, qui sont sacrés dans la culture Yoruba.

– Un masque cérémoniel kegginaquq de l’ethnie Yupik en Alaska, représentant sur une demiface un morse et sur l’autre un caribou.

– Une statue androgyne (« roi-femme ») et ses parures évoquant de façon allégorique un homme de haut rang de l’empire de Ghana et qui assure à la communauté paix, protection, nourriture et fécondité. Cette statue en bois a été conçue au Mali, dans la région de Bandiagara entre 1050 et 1095 après J.C.

Les horaires du musée

Les mardi, mercredi et dimanche, le musée du quai Branly sera ouvert de 11h à 19h et la billetterie à 9h30 (dimanche à 10h30) pour fermer à 18h. Les jeudi, vendredi et samedi l’ouverture est prévue de 11h à 21h et la billetterie à 9h30 pour une fermeture à 20h. Le lundi, c’est la fermeture hebdomadaire.