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Violences conjugales : LVMH va financer 1.000 nuitées d’hôtel pour des femmes victimes

Le numéro un mondial du luxe LVMH a annoncé mercredi qu'il allait financer, via un don à une association, 1.000 nuitées d'hôtel pour mettre à l'abri des femmes victimes de violences conjugales.

 

Le numéro un mondial du luxe LVMH a annoncé mercredi qu’il allait financer, via un don à une association, 1.000 nuitées d’hôtel pour mettre à l’abri des femmes victimes de violences conjugales. Il répond ainsi à l’appel à la mobilisation lancée par le Ministère de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances.

« De cette cause, nul ne peut s’exclure »

A l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, LVMH a décidé de faire un don à la Fondation des Femmes en finançant 1.000 nuitées d’hôtel afin que des femmes et leurs enfants bénéficient d’un hébergement d’urgence. Le groupe a ainsi répondu à l’appel à la mobilisation lancé par Madame Élisabeth Moreno, ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances. La ministre a souhaité mobiliser pleinement les grands acteurs de l’économie française afin qu’ils participent, en interne, mais aussi, de manière plus large sur leurs réseaux sociaux au lancement d’une campagne d’alerte, rendue particulièrement urgente dans le contexte du Covid-19.

« De cette cause, nul ne peut s’exclure et l’implication de LVMH dans cette dernière se doit d’être totale puisque la grande majorité de ses 163 000 collaborateurs sont des femmes (73 %) et la plupart de ses produits s’adressent à elles », indique le géant du luxe. « L’égalité femmes hommes est l’un des axes de la politique ressources humaines du groupe LVMH portée par un programme international – ELLESVMH – fondé il y a près de 15 ans », souligne pour sa part la DRH Chantal Gaemperle. « Sur des sujets d’urgence, comme la protection des femmes et de leurs enfants, priorité absolue à mes yeux, nous nous devions d’apporter notre soutien », renchérit Antoine Arnault, directeur de l’Image et de l’Environnement.

Un engagement de longue date

LVMH rappelle aussi son engagement constant en faveur des femmes et plus généralement des personnes vulnérables, notamment aux côtés de Women & Safe Children, association pluridisciplinaire spécialisée en victimologie et psycho traumatologie. Sa filiale Hennessy soutient de son côté le club Soroptimist afin d’accueillir des femmes (souvent avec enfants) qui fuient leur foyer à cause de violence. Par ailleurs, l’année 2019 a marqué le lancement de l’initiative « Une Journée Pour Soi » par LVMH en collaboration avec le Secours populaire pour soutenir des femmes en situation de précarité, dont un très grand nombre est victime de violences physiques ou psychologiques.

Chaque année, quelque 220.000 femmes subissent des violences conjugales et 93.000 sont victimes de viol ou tentative de viol. Pis, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex en 2019, soit 25 de plus que l’année précédente.

 

Coronavirus : il n’y aura pas de village de Noël cette année à Nice

Nice vu d'en haut.

 

Dans une conférence de presse diffusée sur les réseaux sociaux lundi, le maire de Nice Christian Estrosi a annoncé l’annulation du village de Noël cette année à cause du coronavirus. Il a également demandé le report d’un mois des soldes d’hiver.

L’épidémie de Covid-19, dont la deuxième vague semble avoir atteint un pic dans le département des Alpes-Maritimes, a contraint le maire de Nice à revoir sa copie pour les fêtes de fin d’année. Dans une conférence de presse diffusée sur les réseaux sociaux, Christian Estrosi a annoncé l’annulation du village de Noël. Lancé il y a près de 25 ans, l’espace aménagé sur la place Masséna rassemble ces dernières années une soixantaine d’exposants, dont des commerçants de la ville, des artisans et des artistes locaux. Il a vu sa fréquentation augmenter, passant d’environ 350.000 entrées en 2017 à 541.660 l’an passé. Depuis deux ans, le village accueillait en plus un espace de restauration.

L’ouverture des commerces dès le 27 novembre

Si elle annule l’incontournable Village de Noël cette année, la mairie de Nice maintient en revanche les décorations. « Elles seront présentes partout, en ville et dans chaque quartier pour que Nice brille de mille lumières », a promis Christian Estrosi. Il précise, sans pouvoir encore établir des données chiffrées, qu’il « y aura plus d’illuminations que d’habitude » et que l’ensemble des quartiers seront pourvus. Le patron de la Métropole Nice Côte d’Azur a aussi demandé l’ouverture des commerces dès le 27 novembre et « le report d’un mois des soldes d’hiver afin de ne pas aggraver davantage les pertes liées à cette période ».

En outre, Christian Estrosi appelle l’exécutif à soutenir davantage les petits commerçants. « Il y a malheureusement des situations très préoccupantes chez les indépendants et certains commerçants qui n’ont aucun revenu personnel mais doivent s’acquitter de leurs charges et de leurs loyers. Je mesure leur angoisse et j’appelle le gouvernement à les accompagner par des mesures particulières (…). Il faut tenir bon, sans relâchement, avec pour seul objectif de sauver nos commerces et les fêtes de fin d’année », a lancé l’élu LR.

La situation sanitaire s’améliore dans la Métropole Nice Côte d’Azur

Au début du mois prochain, Christian Estrosi devrait annoncer de nouvelles mesures d’accompagnement pour le commerce et les fêtes de fin d’année. En attendant, il invite ses administrés à ne pas se relâcher et à « continuer de respecter les règles de distanciation sociale et les mesures de confinemen » car cela peut permettre « d’aborder les fêtes de manière plus joyeuse », a-t-il dit. Selon l’édile, la situation sanitaire amorce un léger mieux localement. Il notait lundi soir « de légères baisses des hospitalisations depuis quarante-huit heures ». La Métropole Nice Côte d’Azur affiche désormais un taux d’incidence de 266,4 (nombre de cas de Covid-19 pour 100.000 habitants) contre une moyenne de 270 au niveau national pour l’ensemble des métropoles, indique la collectivité.

Confinement : Peugeot lance Peugeot direct, une expérience virtuelle d’achat

Un homme commandant une voiture Peugeot en ligne à partir de sa tablette (Photo : Peugeot).

 

Pour faire face au confinement, qui devrait durer au moins jusqu’à décembre, la filière automobile mise sur un parcours client 100% digitalisé. Peugeot a ainsi lancé Peugeot direct, une expérience virtuelle d’achat avec un showroom immersif en 3D et des experts pour présenter les modèles.

A cause du deuxième confinement en France, les shows-rooms sont actuellement fermés. Une situation qui n’arrange pas la filière automobile et qui suscite la colère des acteurs. Pour calmer la profession, le gouvernement a autorisé la poursuite d’activité des concessions automobiles, mais uniquement pour des activités d’entretien de véhicules et pour le click and collect – la remise de véhicules neufs ou d’occasion commandés en ligne. Cette décision va notamment servir à livrer les commandes passées depuis l’été. Ce qui permettra seulement de tenir jusqu’à fin novembre, alors que les concessionnaires enregistrent 70% de ventes en moins depuis le début novembre.

« La digitalisation répond à une demande de la clientèle »

Pour décrocher de nouvelles ventes, les constructeurs misent dorénavant sur un parcours client 100% digitalisé. Peugeot a ainsi lancé Peugeot direct, une expérience virtuelle d’achat en live et à distance, depuis la découverte des véhicules jusqu’à la prise de commande. « Dans le contexte actuel, l’accent mis en place par Peugeot sur la digitalisation répond à une demande de la clientèle qui souhaite accéder chez Peugeot à de nouveaux outils lui permettant, en toute sécurité, de choisir, comparer, commander et programmer la livraison du véhicule de son choix, dans le point de vente retenu », indique le groupe dans un communiqué.

Un service disponible 7 jours sur 7 et 24H sur 24

Peugeot propose aux clients et prospects de pouvoir acheter et financer leur véhicule neuf ou faire reprendre l’ancien, depuis leur smartphone, leur tablette et leur ordinateur portable. Des experts sont disponibles 7 jours sur 7 et 24H sur 24 pour présenter de modèles et des conseillers commerciaux pour concrétiser, à distance, des projets d’achat. En ce qui concerne, les démonstrations produits, toute la gamme Peugeot n’est pas représentée. Le constructeur a misé sur ses vedettes : 208, 2008, 308, 3008, 5008, 508 PSE et 508 SW.

Peugeot direct se présente comme une  extension du « Salon Peugeot », lancé en octobre dernier, qui vise à dévoiler les modèles virtuellement puis répondre aux demandes des clients par le biais de téléconseillers en visio-conférence.

Arslan Musbeh : « les greffes de cheveux en Turquie avec une qualité optimale »

La Turquie est devenue, ces dernières années, une destination très prisée des patients européens désireux de réaliser des greffes de cheveux. Le docteur Arslan Musbeh, le fondateur de la clinique stambouliote Hairmedico, nous a accordé une interview pour nous présenter son parcours et les raisons qui font que la Turquie est devenue la capitale européenne des interventions capillaires.

Docteur Arslan Musbeh, pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je suis un chirurgien capillaire, formé à l’université Claude Bernard de Lyon, où j’enseigne à l’heure actuelle à temps partiel (Diplôme Inter Universitaire européen Traitements et Chirurgie de la Calvitie). Après mes études en France, j’ai décidé de rentrer en Turquie pour fonder Hairmedico, une clinique spécialisée dans les greffes de cheveux, qui propose les technologies les plus en pointe en matière de traitements capillaires, et une équipe de professionnels expérimentés. La clinique est ouverte depuis 2010, le personnel est francophone et anglophone, et nous sommes devenus une des meilleures cliniques greffe de cheveux de référence dans le monde, mais plus spécialement pour les publics français et francophones, qui souhaitent des interventions de chirurgie capillaires de qualité avec des budgets raisonnables.

Justement, qu’est-ce qui explique, selon vous, que de plus en plus d’européens viennent à Istanbul pour des greffes de cheveux ?

De nombreux établissements stambouliotes offrent des traitements de qualité comparable et parfois meilleurs à ce qui se fait en Europe, pour des prix qui sont souvent plus que divisés par deux. A partir de là, cela crée un intérêt fort de la part des patients européens. Mais, comme je le fais souvent, il faut tout de même demeurer vigilant : certaines cliniques (souvent des cliniques virtuels qui ne sont en réalité que des sites internet) d’Istanbul ne sont clairement pas au niveau d’excellence promis et la course au bas-prix est parfois dangereuse. Je dirai aux personnes intéressées par des greffes de cheveux de regarder attentivement à deux paramètres principaux. Tout d’abord le prix : les cliniques qui cassent les prix ne peuvent pas proposer des interventions de qualité, que ce soit en termes de nombre de greffons implantés ou de qualité de l’encadrement. Ensuite, il faut être vigilant à ce que le chirurgien soit bien la personne qui effectue l’intervention et non un de ses assistants comme nous le voyons hélas trop souvent.

Quelle technique et quelle approche plébiscitez-vous chez Hairmedico ?

Tout d’abord, pour assurer la qualité du suivi de chacun de mes patients, je ne reçois qu’un patient par jour, maximum 2 patients si ce sont deux petites calvities pour des interventions qui prennent en moyenne six heures. Je réalise moi-même les actes chirurgicaux des incisions et prélèvements des greffons et je suis mes patients de A à Z. Pour moi, c’est très important pour assurer une qualité optimale de traitement et éviter des interventions qui ne sont pas satisfaisantes. Ensuite, en tant que chirurgien et en tant que formateur, je suis très sensible aux dernières innovations du secteur et nous utilisons chez Hairmedico les technologies les plus innovantes de l’industrie capillaire. Il s‘agit notamment de la Méthode FUE (Follicular Unit Extraction) avec incisions au scalpel Saphir, qui consiste en un prélèvement et une implantation des  greffons un par un sans cicatrices. Idéale pour restaurer la calvitie chez l’homme ou la femme, cette méthode est très peu invasive et permet d’obtenir un résultat d’aspect naturel. Elle présente d’ailleurs le risque le plus faible possible de nuire et d’endommager le cuir chevelu dans la zone transplantée. Nous pratiquons également la FUE avec technique d’implantation DHI (technique d’implantation avec stylo implanteur).

Comment se passe une intervention standard ?

La durée d’une intervention standard se situe entre 6 et 8 heures pour une intervention d’environ 4000 greffons. Il s’agit d’interventions sous anesthésie locale, qui sont sans douleur et dont les résultats sont définitifs. Nous utilisons notamment la technique FUE (Follicular Unit Extraction) qui permet de prélever des greffons de 1 à 3 cheveux à l’aide d’un micro-punch fin (de 0,7 à 0,9 mm de diamètre en fonction de la qualité du cheveu) directement depuis la zone donneuse à l’arrière de la tête. Ils sont ensuite réimplantés un par un le plus serrés possible sur la zone receveuse. Nous privilégions toujours la qualité sur le court et le long-terme. C’est la raison pour laquelle le nombre de greffons implantés varie selon chaque patient. Le nombre de follicules à prélever est déterminé par divers paramètres comme l’âge du patient, l’évolution potentielle de sa calvitie, la capacité limitée ou non de la zone donneuse… Il faut être très rigoureux sur ce point : le but  n’est pas de prélever  à tout prix un nombre spectaculaire de greffons même si certains sites Internet en font leur fond de commerce! Mais en plus des implants capillaires classiques, Hairmedico fournit aussi une gamme de solutions qui aident à résoudre les problèmes de chute de cheveux ou les problèmes de cuir chevelu, y compris les chirurgies capillaires pour hommes et femmes, la thérapie au laser, la micropigmentation, les services de trichologie et de diagnostic. En outre, la clinique pratique l’implantation des greffons au niveau du visage (barbe, moustache, favoris, joues ou toute combinaison de celles-ci).

Pourquoi choisir Hairmedico et le docteur Arlsan Musbeh pour une greffe de cheveux ?

Tout d’abord pour les résultats que nous obtenons et dont certains exemples sont disponibles sur notre site Internet. Ensuite pour les raisons de qualité et de sérieux que j’ai déjà évoqué. Enfin pour deux dernières raisons, qui ont aussi leur importance. Tout d’abord les prix des interventions qui, chez Hairmedico, sont en moyenne plus de deux fois inférieurs aux tarifs pratiqués en France. En effet, il faut compter entre 2 500 et 3 500 euros pour une prise en charge complète par la clinique Hairmedico, contre plus de 8 000 euros pour des opérations similaires sur le vieux continent. A ce différentiel de prix, Hairmedico propose en outre, grâce au partenariat avec son agence de tourisme de santé Medland, une prise en charge complète pour les patients tout au long de leur séjour à Istanbul. Nous les récupérons dès l’aéroport et prenons en charge les nuitées d’hôtel dans un hôtel quatre étoiles. Qualité, prix abordables, forfaits tout-compris : voici les principales raisons du succès de Hairmedico.

 

Reconfinement : les vacanciers pourront rentrer avant dimanche

Des voyageurs dans un aéroport.

Le chef de l’Etat Emmanuel Macron a annoncé, le mercredi 28 octobre 2020, un nouveau confinement sur le territoire national. Il a évoqué une « tolérance » jusqu’à dimanche pour que les personnes parties en vacances puissent rentrer à leur domicile.

Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé mercredi un reconfinement national à partir de vendredi 30 octobre et au moins jusqu’au 1er décembre. Une décision qui intervient à quelques jours du week-end de la Toussaint lors duquel de nombreux Français doivent rentrer de vacances. Le chef de l’Etat a d’ores et déjà fait savoir que les personnes revenant de leur lieu de vacances bénéficieraient d’une « tolérance » jusqu’à dimanche « pour que les familles puissent s’organiser ».

Des tests rapides obligatoires pour le transport aérien

Pour permettre ce retour des vacanciers, la SNCF a indiqué que les trains circuleront comme prévu. « Afin d’assurer les retours des vacances de Toussaint dans les meilleures conditions pour les Français dans cette période particulière, SNCF Voyageurs confirme que les TGV INOUI, OUIGO, Intercités, trains internationaux et trains régionaux circuleront tous comme prévu ce jeudi 29 octobre, vendredi 30, samedi 31 et dimanche 1er novembre », a précisé le groupe dans un communiqué. Côté aérien, le gouvernement a mentionné que des « tests rapides obligatoires» du Covid-19 seront déployés pour toutes les arrivées sur le territoire. Les frontières intérieures à l’Europe demeureront ouvertes et, « sauf exception », les frontières extérieures fermées.

Ils doivent se plier aux règles dès le retour

En revanche, dès leur retour, les vacanciers devront, comme tous les Français, se plier aux règles du reconfinement. Ainsi, les seules sorties autorisées seront les mêmes qu’au printemps, lors du premier confinement : pour travailler, se rendre à un rendez-vous médical, pour porter assistance à un proche, pour faire vos courses essentielles ou prendre l’air à proximité de notre domicile. Bien sûr, il faudra se munir d’une attestation.

Sports professionnel et amateur pas logés à la même enseigne

Lors de son allocution de mercredi, Emmanuel Macron a aussi indiqué que les écoles, collèges et lycées resteront ouverts pour leur part. Par ailleurs, le télétravail sera généralisé partout où cela est possible et les commerces qui ont été définis comme « non essentiels », notamment les bars et restaurants, seront fermés. Quant au sport, la ministre délégué, Roxana Maracineanu, a confirmé que les compétitions professionnelles pourront continuer à se dérouler pendant la période. Ce qui ne sera pas le cas pour le sport amateur.

L’immobilier face à la crise sanitaire

Le secteur immobilier en France va connaître une chute de 20 à 25% due à la pandémie d’ici la fin de l’année 2021. En effet, l’Observatoire Crédit Logement estime que l’immobilier sera confronté à une crise comparable à celle de 2012, année de suppression du dispositif du prêt à taux zéro.

L’Observatoire Crédit Logement/CSA a estimé récemment que l’immobilier en France assistera à une chute historique d’ici fin 2021. « Ce ne sont plus 100 000 ménages qui seront exclus d’ici à 2021 de l’accès aux crédits immobiliers mais désormais 220 000 ménages, dont les trois quarts sont des primo-accédants« , a déclaré le responsable de l’Observatoire, Michel Mouillart. L’Observatoire note que les personnes les plus affectées seront celles qui vivent en zone rurale ou dans des villes moyennes. Ces dernières n’auront plus la possibilité de devenir propriétaires. Les ménages concernés sont les plus fragiles.

En effet, les conséquences de la crise immobilière dépendront de la durée de la pandémie, ce qui n’est toujours pas défini. Si l’épidémie continue à se propager aussi vite, le secteur de la construction sera touché et les projets immobiliers ne pourront pas avancer. Il ne s’agit pas juste d’une chute dans les prix mais plutôt d’un marché ralenti : les vendeurs comme les acheteurs se voient obligés d’attendre la fin de la crise pour vendre leurs biens ou poursuivre leurs recherches.

Concernant le crédit immobilier, de nombreuses personnes qui étaient censées obtenir un crédit bancaire se demandent actuellement si la pandémie n’a pas affecté les taux. Sandrine Allonie, la porte-parole de la banque « Vousfinancer » a précisé qu’il est difficile de définir l’impact de la hausse des taux d’emprunt d’Etat sur les taux de crédit car le marché subit une perturbation financière indéfinie et les banques hésitent à accorder de nouveaux crédits. Les banques ont manqué de personnel durant la période du confinement, ce qui imposait un délai de traitement de dossiers de prêt plus rallongé.

 

 

 

Numérique : le Sénat prépare une proposition de loi pour réduire son empreinte environnementale

Une jeune femme manipulant son smartphone.

Une proposition de loi a été déposée mercredi au Sénat pour réduire l’empreinte environnementale du numérique, alors que celle-ci risque d’exploser d’ici 2040 en France. Ses auteurs proposent notamment la lutte contre l’obsolescence programmée des matériels, la limitation de certaines pratiques énergivores, streaming automatique ou forfaits data illimités.

Après un rapport d’information sur l’empreinte environnementale du numérique publié en juin dernier, trois sénateurs ont soumis un nouveau projet de loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique. Celui-ci pesait 2 % des émissions de gaz à effet de serre françaises en 2019, contre 4,7 % pour le secteur aérien. A cause du nombre croissant de data centers, l’arrivée de la 5G et le développement de l’IoT, cette empreinte carbone du numérique devrait exploser d’ici 2040. En effet, les émissions de CO2 pourraient grimper à près de 7 % si rien n’est fait entre-temps.

« Le réseau mobile, beaucoup plus émetteur et moins résilient que le réseau fixe »

Pour réduire l’empreinte environnementale du numérique, les sénateurs Patrick Chaize (LR), Guillaume Chevrollier (LR) et Jean-Michel Houllegatte (PS) suggèrent l’interdiction des forfaits mobiles avec données Internet illimitées. « Le réseau mobile est en effet aujourd’hui beaucoup plus émetteur et moins résilient que le réseau fixe », écrivent-ils dans le rapport d’information qui a inspiré la proposition de loi. « Si peu d’opérateurs proposent aujourd’hui ce type d’offres en 4G, elles pourraient être amenées à se généraliser avec le développement de la 5G. Leur interdiction aurait ainsi un caractère préventif. », ajoutent les auteurs.

Sanctionner l’obsolescence logicielle

Les sénateurs proposent aussi la lutte contre le délit de l’obsolescence programmée. Cela se traduirait par une sanction pour les entreprises qui pratiquent l’obsolescence logicielle (quand un OS ou un terminal ne supporte plus un logiciel ou une application).

Aussi, ils estiment que l’allongement de la durée de garantie des terminaux (smartphones, tablettes, ordinateurs) pourrait constituer un frein à leur renouvellement trop fréquent. Un défi important lorsqu’on sait que la fabrication des terminaux représentent 70 % de l’empreinte carbone du numérique.

Interdire les vidéos lancées automatiquement

En outre, les sénateurs demandent l’intégration des principes de développement durable dans la conception de sites internet publics et de grandes entreprises. Objectif : limiter la consommation de données lors du chargement des pages web. Dans le même temps, la législation pourrait interdire les vidéos lancées automatiquement sur les plateformes. Enfin, les sénateurs appellent à une éducation à la « sobriété numérique ».

En plus des pouvoirs publics, de nombreuses grandes entreprises françaises veillent à limiter l’impact numérique de leurs activités. On peut entre autres citer le groupe d’investissement HLD dirigé par Jean-Bernard Lafonta qui intègre le développement durable au cœur de sa politique RSE. Le fonds aide également ses 21 participations à adopter les bons gestes de sobriété numérique.

Coronavirus : annulation du Salon de l’Agriculture à Paris

En raison de la pandémie du Covid-19, le Salon International de l’Agriculture prévu à Paris du 27 février au 7 mars 2021 a été annulé ce lundi 12 octobre. Cependant, la Fédération des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) confirme la mise en place d’autres évènements. Le concours général des produits agricoles aura lieu comme prévu.

Le Salon international de l’agriculture a été annulé cette année à cause de la crise sanitaire. Ce dernier constitue la foire agricole la plus importante en France. Chaque année depuis 1844, le Salon organise une foire d’exposition à Paris, au parc des expositions de la porte de Versailles et cela pendant la dernière semaine du mois de février ou la première semaine du mois de mars. Le salon présente 4 expositions : l’Elevage et ses Filières, les Produits des Régions de France, d’Outre-Mer et du Monde, les Cultures et Filières végétales, Jardin et Potager, les Services et Métiers de l’agriculture.

En dépit de l’annulation du salon cette année à cause des raisons sanitaires, d’autres évènements agricoles se dérouleront. Par ailleurs, le Concours général agricole est toujours maintenu. « Les 6000 personnes du jury se réuniront dans quatre villes françaises. Nous sommes en train de l’organiser« , confirme sur France Info, Christiane Lambert, présidente de la FNSEA. Ce concours vient dans le but d’encourager les producteurs agricoles et récompense les produit de haute qualité. Le concours offres la possibilité aux candidats participants (éleveurs, producteurs…) d’augmenter leur visibilité et promouvoir leurs marques. Les efforts sont récompensés d’une manière juste et honorable. Cela inclus l’attribution des médailles et des attestations d’honneur.

Covid-19 : 32% des propriétaires ont des difficultés à payer leur crédit immobilier

De petits blocs rouges representant des maisons.

 

Alors que la crise sanitaire reprend vigueur, 32% des propriétaires et 16% des locataires se disent en difficulté pour payer leur crédit immobilier ou leur loyer, selon une étude menée pour Meelo en septembre. Ils n’étaient respectivement que 17% et 6% lors du précédent baromètre an avril.

2 à 3 fois plus de Français ont du mal à assurer le paiement de leur logement

La crise sanitaire a des conséquences sur la capacité de remboursement des Français. C’est ce qui ressort d’une étude publiée jeudi et réalisée par Diffusis France pour le compte de Meelo, un spécialiste de la data financière. Selon cette enquête effectuée entre le 14 et le 18 septembre, 32% des propriétaires disent être aujourd’hui en difficulté pour rembourser leurs emprunts immobiliers et 16% des locataires évoquent aussi des difficultés pour payer leur loyer en cette période de rentrée. Ils n’étaient respectivement que 17% et 6% lors du précédent baromètre an avril. En clair, il y a aujourd’hui 2 à 3 fois plus de Français qui ont du mal à assurer le paiement de leur logement. Aussi, 17% des emprunteurs déclarent que la situation pourrait devenir délicate financièrement, contre 21% des locataires.

Face à ces difficultés de paiement, certains d’entre eux pensent à regrouper leurs crédits pour faire baisser les charges mensuelles : ils sont un sur quatre à l’envisager, soit un chiffre en augmentation de 15 points depuis le déconfinement. D’autres réfléchissent à un report ou un aménagement des crédits : 17,8% des propriétaires ont évoqué cette possibilité, d’après le sondage. Sur l’ensemble des personnes interrogées, c’est-à-dire locataires et propriétaires, ils sont 15,5% à penser à un report ou un aménagement de leurs crédits à la consommation et 14,2% pour leurs crédits automobiles.

7% des sondés pensent avoir recours à un dossier de surendettement

Par ailleurs, un quart des sondés envisage de solliciter un prêt à la banque pour couvrir leurs dépenses, alors que lors du dernier sondage ils n’étaient que 2% à y penser en cas de baisse de pouvoir d’achat. Près de la moitié (48%) de ceux qui souhaitent contracter un prêt bancaire tablent sur une somme allant jusqu’à 3 000 euros. Pis, 7% des personnes interrogées pensent avoir recours à un dossier de surendettement auprès de la Banque de France aujourd’hui, contre 2,1% il y a quatre mois.

Une situation qui pourrait conforter le Haut Conseil de stabilité financière dans sa volonté de ne pas assouplir les conditions d’accès au crédit immobilier, au grand désarroi des courtiers et banques. L’institution devrait s’interroger sur l’opportunité de faciliter l’accès au crédit si cela doit mettre les emprunteurs les plus fragiles en difficulté.

Le magazine Maison Actuelle vous accompagne dans votre évolution

Maison Actuelle a lancé son 66e numéro le 1er octobre, afin de partager avec sa communauté ses nouveautés, ses conseils et ses astuces. Le magazine vous propose un choix varié en matière de décoration et vous plonge au cœur des tendances les plus récentes pour satisfaire vos désirs et répondre à vos besoins.

Le développement durable au cœur des valeurs de Maison Actuelle

Afin de pouvoir vivre dans une maison saine et écologique, le magazine Maison Actuelle vous incite à suivre sa vision écologique et partage avec vous son état d’esprit pour donner du sens à son activité. Il devrait, comme l’espèrent ses auteurs, vous sensibiliser à l’importance de la préservation des ressources naturelles. Le magazine vous propose donc des gestes simples pour aménager votre maison, des conseils pour la décorer et l’entretenir efficacement.
Le magazine présente des produits et des services qui peuvent être utiles à vos quotidiens tels que :

-la pompe à chaleur Panasonic, constituée d’un équipement écologique et efficace, sert à chauffer votre logement en transformant l’air extérieur en une énergie intérieure. Il s’agit d’un chauffage réversible.
-Guano-Diffusion, une entreprise française proposant un produit phare, qui permet grâce au guano de chauve-souris d’obtenir naturellement une récolte importante, en renforcent la pousse des plantes dans le but de favoriser l’agriculture biologique.
-L’entreprise MonPoTDECO, spécialisée en poterie artisanale, cherche à faire revivre l’agriculture traditionnelle. Elle propose des pots résistants à la pluie et à la neige, durables et efficaces.

Le magazine Maison Actuelle vous fera voyager avec un immobilier agréablement décoré, en choisissant votre propre revêtement de sol et votre peinture murale. Il vous transmettra également toutes les astuces et les bons conseils pour mieux vous occuper de votre jardin en cet automne et pendant cette crise sanitaire. « Mais se concentrer sur son intérieur ne signifie pas pour autant oublier le monde extérieur. La COVID-19 et le confinement nous ont permis de comprendre à quel point le développement durable était une priorité », déclarent les auteurs de Maison Actuelle dans leur Edito.

Pour en savoir plus :

Maison Actuelle

HD Média groupe

 

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