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Les soldes d’hiver 2021 bientôt en France

La date des soldes pour cette année a été fixée pour le 21 janvier 2021. Cette datte concernera tous le territoire français sauf la Réunion, où les soldes débuteront en février. 

Le ministre délégué aux PME Alain Griset, a annoncé le 4 décembre que les soldes de cette année commenceront le mercredi 20 janvier 2021 et au mois de février à la Réunion. Elles devraient durer 4 semaines mais la loi Pacte indique qu’il y a eu une modification en termes de durée et que les soldes peuvent poursuivre jusqu’à 6 semaines. Les produits qui seront soldés devraient être déjà proposés en vente au moins un mois avant le commencement des soldes. Ils devraient être ainsi marqués dans les magasins grâce à l’étiquetage ou autres moyens.

En cas ou le produit proposé en vente présente un défaut, le vendeur est dans l’obligation de rembourser l’acheteur ou échanger le produit car les services après la vente s’appliquent également sur les produits soldés. Les produits soldés devraient être comparés au prix initial qui doit être réel. Le vendeur n’est pas autorisé à augmenter le prix des produits avant les soldes. Ainsi, il ne peut pas changer d’avis et ne pas appliquer les réductions indiquées dans le magasin.

En ce qui concerne la réglementation, les prix des produits soldés dans le magasin sont les même sur internet, seul le délai de d’échange ou de remboursement change. Le retour du produit peut être effectué dans un délai de 14 jours seulement à compter de la date de la livraison.

 

 

 

 

Produits d’occasion : Cdiscount lance une plateforme C to C

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Cdiscount, filiale du groupe Casino, renforce son ancrage dans la vente de produits d’occasion avec le lancement d’une plateforme C to C. Son catalogue couvre toutes les catégories, du high-tech aux jeux vidéo en passant par les jouets, la décoration et le bricolage.

10 millions de clients à atteindre

Cdiscount a lancé, la semaine dernière, une plateforme baptisée « Cdiscount Occasion » pour la vente de produits de seconde main en C to C, c’est-à-dire de particulier à particulier. « Nous voulons permettre à l’ensemble de nos clients de pouvoir acheter des produits d’occasion et les vendre en ligne. On vendait des produits neufs, on vend des produits reconditionnés depuis trois ans, et maintenant c’est une dernière étape avec l’occasion », a déclaré le patron de l’enseigne, Emmanuel Grenier, sur BFM Business.

« Nous travaillons en collaboration avec la start-up Place2Swap pour permettre à nos 10 millions de clients de vendre les objets dont ils ne se servent plus, d’un côté, et, de l’autre, de les acheter », ajoute le dirigeant. Créée en 2016, Place2Swap est une startup française qui accompagne les distributeurs souhaitant se lancer dans l’occasion. Elle compte au nombre de ses clients, la marque Camaïeu ou encore les Galeries Lafayette.

Une commission de 5% sur le prix des articles

Sur Cdiscount Occasion, les consommateurs pourront vendre les objets dont ils ne se servent plus et/ou acheter des produits de seconde main. Le catalogue couvre toutes les catégories de produits, à savoir le high-tech, les jeux vidéo, les jouets, la mode, le bricolage, la décoration, entre autres. Au niveau de la livraison, le client (vendeur ou acheteur) pourra déposer ou retirer son colis dans l’un des 9 000 points relais de Mondial Relay, un service de livraison aux particuliers.

Cdiscount Occasion met les frais à la charge du vendeur, un peu comme le fait le site Vinted. Ces frais s’élèvent à 0,70 euro par article pour une commission de 5% sur le prix. Mais, l’enseigne du groupe de Jean-Charles Naouri ne perçoit cette commission que si le produit est effectivement vendu. A noter : les transactions se font exclusivement en ligne via un système de porte-monnaie virtuel. Et la sécurité est garantie pour les deux parties, acheteur et vendeur.

Se positionner sur un marché de 7 milliards d’euros

Cdiscount proposait déjà sur son site un hub dédié à la seconde vie des produits afin de pousser ses clients à consommer plus durable. En juin, le pure player avait aussi noué une alliance avec Patatam pour la mode d’occasion. Par ailleurs, il a dégainé en novembre une offre sur le segment du reconditionné, en partenariat avec la Start-up CompaRecycle. Avec une telle offensive, Cdiscount peut concurrencer Vinted, Ebay ou encore Le Bon Coin sur un marché estimé à 7 milliards d’euros selon Xerfi, le leader des études sectorielles.

DEVENIR GESTALT-THERAPEUTE AVEC L’ÉCOLE HUMANISTE DE GESTALT : LA FORMATION PAR EXCELLENCE

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Si votre objectif est d’aider les personnes qui peinent à sortir des situations difficiles, le métier de Gestalt-thérapeute peut être la profession qui convient.

Une formation ouverte aux professionnels et aux particuliers

Alors que le métier de thérapeute peut être une vocation pour certains, cela n’est pas toujours le cas.
En effet, bien souvent, l’envie de devenir thérapeute survient après avoir suivi soi-même une thérapie. C’est grâce au cheminement parcouru et après être parvenu à se soigner soi-même que l’idée d’aider les autres à en faire autant peut subvenir.

C’est ainsi que bon nombre de professionnels décident de changer de métier afin de trouver leur voie et de donner du sens à leur travail.

Et pour se former de la plus belle des manières, l’École Humaniste de Gestalt demeure le centre de formation par excellence.
Avec une méthode de formation basée sur la Gestalt-thérapie, l’école accueille, chaque année, des centaines de professionnels et de particuliers qui souhaitent s’établir en tant que Gestalt-thérapeute. Une opportunité pour eux, d’apporter leur pierre à l’édifice pour aider les autres à donner un sens à leur vie, et par ricochet, au monde qui nous entoure.

La méthode Gestalt étant basée sur la prise de conscience de ce qui se passe autour de nous, elle permet de mieux appréhender notre environnement, de voir l’instant présent afin de ne pas rester piégé dans le passé ou bien encore, dans nos rêves futurs.
Parce que la méthode Gestalt est bien plus qu’une thérapie, mais une réelle façon de voir le monde, elle permet à tous ceux qui la suivent à l’École Humaniste de Gestalt dans le but de s’établir à titre de Gestalt-thérapeute, de décoder le monde dans lequel nous vivons.

La formation professionnelle du centre de formation est ouverte à tous les profils, peu importe leur âge. La doyenne de l’École Humaniste de Gestalt, âgée de 80 ans, n’a pas hésité une seule seconde à suivre la méthode Gestalt pour changer de vie et exerce aujourd’hui le métier de Gestalt-thérapeute au sein de son propre cabinet, comme bon nombre d’élèves ayant suivi la formation d’Arnaud Sebal.

Des Gestalt-thérapeutes en accord avec eux-mêmes

Loin d’être une simple formation théorique comme dispensée dans d’autres instituts de formations ou bien encore en faculté, l’École Humaniste de Gestalt permet de s’entrainer à tous les concepts et procédés enseignés pendant la formation, sur notre propre vie. Ce n’est qu’ensuite qu’il sera possible d’aider les autres à donner un sens à leur vie.

À l’École Humaniste de Gestalt, en plus de délivrer des certifications à tous ceux qui suivent la formation et qui souhaitent s’établir en tant que Gestalt-thérapeute, c’est un travail sur soi qui est enseigné à toutes les personnes en reconversion professionnelle. Un véritable tremplin professionnel, mais aussi personnel.

L’École Humaniste de Gestalt, fondée par Arnaud Sebal, thérapeute de formation, forme ainsi des thérapeutes, bien dans leur peau, en totale adéquation avec eux-mêmes et prêts à exercer un métier porteur et épanouissant.
Une formation dispensée dans un contexte familial et de proximité par une équipe pédagogique bienveillante, qui permet à tous les élèves, en plus de leur certification, d’en ressortir, eux aussi, plus épanouis que jamais.

 

https://www.gestalt.fr

Commerce en ligne : se faire aider pour réussir sa transition numérique

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Comment se lancer dans la vente en ligne ? Voilà la question que de nombreux commerçants français continuent de se poser. Des solutions tout-en-un existent, heureusement. Parmi elles, celles développées par Hubside ou Shopify.

Les habitudes prises par les Français à la faveur de la crise sanitaire sont-elles en train de s’installer ? C’est ce que suggère une étude FoxIntelligence pour LSA selon laquelle les commandes en ligne ont augmenté de 21 % sur le week-end de réouverture des magasins par rapport à la fin de semaine précédant la levée des mesures. Autrement dit, et contrairement à ce que certains annonçaient, la reprise des activités des commerces « non essentiels » n’a pas freiné la croissance de la vente en ligne.

Comment expliquer ce phénomène légèrement contre-intuitif ? Perturbés par le confinement et par les manifestations diverses, les commerçants ont été nombreux à se tourner vers la vente en ligne pour maintenir leur activité. Une transition plus complexe qu’il n’y paraît.

Se lancer dans le e-commerce demande en effet un minimum de préparation. La création d’un site web impose au commerçant la construction d’une image de marque ainsi que la gestion d’une logistique complexe et de son e-réputation. Sans oublier la politique de confidentialité, les mentions légales, la politique des cookies et les CGV e-commerce.

La négligence sur ces détails pourrait s’avérer coûteuse : jusqu’à 10 000 euros d’amende pour le plagiat des CGV. L’absence de mentions légales est quant à elle passible d’un an d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende pour les personnes physiques.

Hubside Pro, assistance technique et volet publicitaire assurés

Dans ce contexte, l’idée de se faire accompagner pour créer son site web ne semble pas insensée. Seulement, s’il est possible de faire appel aux compétences d’un développeur web, d’un web designer et d’un webmarketeur pour réussir sa transition numérique, il est également possible de se tourner vers une solution tout-en-un, comme l’offre Hubside Pro (qui prévoit une assistance technique pour accompagner les utilisateurs et un volet publicitaire pour apporter de la visibilité à son site) ou encore Shopify.

Avec Hubside, « la création de sites web de qualité professionnelle est désormais à la portée de tous », une promesse qui s’adresse tout particulièrement aux commerçants et artisans. Ces derniers disposent en effet de modèles de site créés pour leur business et d’une boutique en ligne personnalisée. Ils peuvent aussi personnaliser leur site (nom de domaine et création de quatre comptes e-mails), télécharger des millions de photos pour illustrer leur activité, générer des visites sur leur site ou dans leur magasin avec 80 € de crédit pour lancer leur première campagne Google Ads ou encore vendre en toute simplicité en créant leur boutique en ligne grâce à Hubside eShop.

La canadienne Shopify propose de son côté la création, en seulement quelques jours, d’un site performant, bien référencé dans les moteurs de recherche et complètement ergonomique.

Amazon, une aide désintéressée ?

Un abonnement mensuel ou annuel pour ses vendeurs, un app store et d’autres activités plus diversifiées (Shopify Pay, Shopify Arrive, Shopify Hardware…) devraient aider les marchands à passer en ligne avec la plus grande fluidité. La plateforme permet également de faciliter le paiement, automatiser les actions, créer des liens entre les points de vente, connecter son PIM… Bref, tout ce dont un commerçant peut avoir besoin pour déployer sa stratégie omnicanale.

Même Amazon propose son aide aux professionnels souhaitant relever le défi. Accusé de cannibaliser le commerce en ligne au détriment des petits commerces, le géant américain a annoncé la mise en ligne d’un site gratuit destiné à aider les commerçants français dans leur transition numérique.

Cette nouvelle plateforme contient des formations gratuites sur la création d’un site internet, mais aussi sur la logistique à mettre en place avant de lancer son propre e-shop ou d’enregistrer sa boutique en ligne sur une autre place de marché.

La société fondée par Jeff Bezos cherche-t-elle à redorer son blason après les nombreuses polémiques suscitées lors du deuxième confinement ? Frédéric Duval, directeur d’Amazon France, s’en défend. Selon le dirigeant, l’objectif de la plateforme est simplement d’aider les nombreux professionnels qui n’osent pas franchir le pas car « ils n’ont pas les moyens, les compétences pour se lancer dans l’aventure ».

Moins de deux mois après l’avoir accusé de concurrence déloyale, les petits commerçants accepteront-ils l’aide de la plateforme américaine ? A suivre…

Comment mieux choisir son appareil auditif

Bien que les aides auditives ne peuvent pas rétablir complètement l’audition normale, elles peuvent l’améliorer en permettant de régler l’intensité des fréquences du son et d’ajuster le niveau global selon le besoin. Pour cela, il faut d’abord effectuer un bilan auditif, afin de définir le degrés de surdité qui permettra par la suite de solliciter un professionnel pour la demande d’un appareil auditif. Il existe aujourd’hui de nombreux types d’appareils auditifs dans le marché et il s’avère difficile de savoir ce qu’il faut prendre en considération lors du choix de ces derniers. Voici donc quelques conseils pour vous aider dans votre démarche.

Quelles fonctionnalités pour quel coût ?

Le coût d’un appareil auditif dépend du modèle souhaité, ainsi que du budget définit. Il existe trois types d’appareils auditifs :

-les appareils auditifs contours d’oreilles de type classique, qui servent en cas de pertes auditives sévères ;

-les appareils auditifs micro-contours, dont l’écouteur est placé directement dans le conduit auditif plutôt qu’à l’extérieur ;

-les appareils auditifs intra-auriculaire qui s’insèrent directement dans le conduit auditif, mais qui sont ultra-discrets.

Le coût moyen d’un appareil auditif s’élève à 1500 euros et cela varie selon les critères (le type, la marque, la performance, les services offerts…).

Selon le barème et les conditions indiquées dans l’arrêté du 14 novembre 2018, l’appareil auditif ainsi que ses accessoires peuvent être remboursés par l’Assurance Maladie. Cela nécessite tout d’abord une prescription médicale de la part d’un médecin ORL. Concernant le remboursement, les tarifs diffèrent selon la base que la Sécurité fixe à nouveau chaque année (210 euros depuis le 1er janvier 2020). D’autre part, les complémentaires santé peuvent également intervenir dans le remboursement de l’appareil auditif. Le taux de remboursement dépend de la mutuelle choisie et du contrat établit.

La réforme 100% Santé (reste à charge zéro) :

Toutes les personnes assurées pourront éventuellement bénéficier d’une prise en charge à 100%, qui sera mise en place à partir du 1er janvier 2021, selon un décret publié au Journal officiel le 12 janvier 2019. Ce dernier indique les modalités du remboursement total qui seront mises en œuvre progressivement. Cette réforme a pour objectif d’assurer les besoins essentiels des individus et faciliter l’accès aux soins d’audiologie pour les personnes nécessiteuses. L’ensemble des dispositifs permettra aux individus de réclamer une correction auditive un et suivi régulier par des professionnels.

Afin d’en savoir plus sur les critères auxquels vous êtes soumis, et sur les démarches administratives qui vous seront nécessaires pour l’obtention du remboursement intégral, cliquez ici.

Emploi : la recherche de travail freinée par l’épidémie

La recherche d’emploi a toujours fait l’objet d’inquiétudes, en raison de l’entretien d’embauche, des conditions et des exigences du recruteur et d’autres facteurs liés au comportement du candidat lui-même. Dans le contexte sanitaire actuel, la recherche de travail s’avère de plus en plus compliquée.

Depuis l’apparition du Covid-19, la vie professionnelle a été fortement affectée. Près de 840 000 d’emplois ont été supprimés et le marché du recrutement a été gelé. Le confinement, les restrictions sanitaires et la chute économique ne favorisent pas l’embauche. Près de 8,5 millions de travailleurs se trouvent face au chômage. Il s’agit d’ouvriers, d’artisans, de restaurateurs et d’étudiants qui ont subi une réelle difficulté lors de la recherche de stage et d’alternance. Alors que les offres se font très rares, beaucoup d’étudiants ont perdu leurs jobs étudiants et leurs stages ont été supprimés.

Pour soutenir le marché de recrutement, l’Etat a attribué des aides financières aux entreprises recrutant des jeunes en recherche de contrat de professionnalisation ou d’apprentissage (5000 euros pour les mineurs et 8000 euros pour les majeurs), inscrits entre le 1er juillet et le 28 février 2021. Malgré la mise en place d’une telle aide, la procédure de recherche d’emploi n’a pas apporté de fruits pour certains.

Faut-il perdre l’espoir ?

Sincèrement, non. Il est vrai que le marché d’offres d’emplois a connu une baisse considérable depuis le début du confinement, mais cela n’empêche pas sa reprise. Les recruteurs se préparent pour procéder de nouveau à l’embauche tout en respectant les conditions sanitaires liées au Covid-19.

Bien que l’obtention d’un emploi ne soit pas impossible, il important de fournir plus d’efforts pour obtenir un entretien personnel, puis se démarquer pour surmonter la concurrence. Il est donc important d’être à jour et de regarder régulièrement les offres proposées sur les différentes plateformes (Jooble, Indeed, LinkedIn, Monster…), comme un emploi à Bordeaux, par exemple. Ainsi, la candidature envoyée doit être personnalisée et adaptée à l’offre car les recruteurs n’apprécient pas les CV et les lettres de motivation standards.

Il faut également se positionner dans les secteurs qui ont pu faire face à la crise plus facilement que d’autres. Les restaurants, l’hôtellerie et le tourisme ont, par exemple, subi un fort impact à cause du virus en comparant avec d’autres secteurs tels que la santé et les métiers de l’informatique.

Si la recherche d’emploi n’aboutit pas aussi facilement que l’on souhaite malgré les efforts fournis, il faut chercher dans d’autres régions, envoyer des candidatures spontanées ou miser sur une reconversion professionnelle.

Covid-19 : l’Italie offre le vaccin gratuitement

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L’Italie a récemment déclaré distribuer le vaccin anti-Covid-19 gratuitement. Cette décision inclut les personnes âgées et les médecins dans un premier temps.

L’Etat italien a déclaré procéder bientôt à la distribution du vaccin une fois qu’il sera reçu et cela gratuitement. Il a annoncé qu’il ne sera pas obligatoire. La campagne de vaccination débutera au printemps 2021. Les premières doses des vaccins Pfizer et Moderna seront livrées fin décembre, début janvier au plus tard. L’Italie a signé des contrats d’approvisionnement en vaccins avec AstraZeneca, Johnson & Johnson, Sanofi, Pfizer, CureVac et Moderna, selon le ministre de la Santé Roberto Speranza.

Les médecins et tous le personnel de santé constituent environ 1,4 million de personnes qui seront les premiers à être vaccinés, suivis par les personnes âgées (570.000 personnes). Viendront ensuite les enseignants, les policiers ainsi que les gardiens de prisons, avant le reste de la population. « Nous voyons finalement la lumière au bout du tunnel », a précisé le ministre. Bien que l’Italie a été le premier pays européen très touché par la première vague du coronavirus et même par la deuxième vague. L’Italie a enregistré un total de plus de 56.000 morts depuis le début de la pandémie.

L’Etat a mis en place des mesures plus strictes pour faire face à la propagation du Covid-19, et a prolongé le couvre-feu qui commencera à partir de 22:00. « Nous devons affronter les prochaines fêtes avec le plus grand sérieux si nous ne voulons pas de nouvelles fermetures en janvier et février. Ne répétons pas durant les fêtes de Noël les mêmes légèretés que nous avons vues cet été », a déclaré le ministre.

Cybersécurité et Cyber monday : comment se protéger contre les pirates

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Tradition commerciale née aux Etats Unis, le Cyber Monday est l’occasion pour des millions de consommateurs à travers le monde de faire des achats à bon prix. Mais ce jour rime également avec une recrudescence des cyberattaques. D’où la nécessité de se protéger en évitant certains pièges, en choisissant des connexions sécurisées et en ayant recours à des professionnels de la cybersécurité.

Cyber Monday est un événement marketing utilisé d’abord aux États-Unis pour nommer le lundi qui suit le Black Friday — à savoir le vendredi après Thanksgiving. La plage de dates, qui devait s’étendre du 26 novembre au 2 décembre, a été repoussée après le 4 décembre cette année en raison du contexte sanitaire.

Cette initiative des petits commerçants vise à encourager les consommateurs à faire leurs achats en ligne, en proposant des prix serrés en retour. C’est une façon de concurrencer les grandes chaînes du e-commerce comme Amazon.

Cybersécurité et Cyber Monday : les hackers font aussi les « soldes »

Si le Cyber Monday permet d’éviter les foules au centre commercial, comme c’est le cas lors du Black Friday, il représente trop souvent une aubaine pour les cybercriminels. En effet, les pirates peuvent facilement s’adonner à leurs activités illicites car les consommateurs dépensent beaucoup en ligne sur une courte période.

Il est donc primordial d’adopter les bons gestes en matière de cybersécurité. D’abord, il faut utiliser des mots de passe uniques pour chaque compte. Ainsi, si l’un d’entre eux est compromis, tous ne sont pas vulnérables en même temps.

Pour une solution à plus long terme, se procurer un gestionnaire de mots de passe permet de mettre dans un coffre-fort sécurisé les différents mots de passe.

Aussi, faut-il se méfier des applications malveillantes qui dérobent les données sensibles, des offres gratuites, des e-mails de destinataires inconnus, des pop-ups, des publicités ou encore des e-skimmers qui recueillent par scan les données de carte de crédit lors de votre commande. Pour éviter les arnaques, il est impératif de ne faire des achats en ligne que sur des sites sécurisés bénéficiant d’une bonne réputation et d’une notoriété importante.

Cybersécurité : vigilance accrue pour les sites marchands

Les sites marchands doivent également se protéger contre les attaques malveillantes. Celles-ci ont pour objectif de détourner, manipuler, divulguer ou détruire des bases de données confidentielles (clients, collaborateurs, fournisseurs…). Leur but est de compromettre la réputation des entreprises ou de mettre en cause leur responsabilité.

Les e-commerçants doivent donc renforcer la cybersécurité de leurs infrastructures cloud et tester régulièrement leurs failles afin d’anticiper les attaques. Ils doivent surtout former leurs équipes car près de 70% des sinistres cyber sont dus à une erreur humaine.

Une meilleure compréhension des risques et un entraînement adapté permettent de limiter les attaques. Ces employés doivent pouvoir reconnaître les pièges tendus par les pirates comme le phishing.

L’opérateur télécom d’entreprise, Hub One, œuvre pour une cyber défense à toute épreuve

Pour renforcer leur sécurité informatique, les sites marchands peuvent se tourner vers des entreprises spécialisées dans la cybersécurité comme Hub One. Cet opérateur télécom d’entreprise propose des audits détaillés des niveaux de risque de chaque entreprise afin de déterminer les faiblesses et failles potentielles des réseaux professionnels. Il propose ensuite des solutions de cybersécurité pour rehausser le niveau de sécurité des systèmes d’information.

De plus, Hub One propose des formations en cybersécurité à l’ensemble des membres du personnel en fonction de leurs niveaux d’accès aux informations sensibles de l’entreprise afin de les former aux enjeux de cybersécurité.

Pour les entreprises souhaitant mettre à l’épreuve la totalité de leurs systèmes de protection, le groupe effectue un test d’intrusion Red Team, le plus fouillé et le plus intense du marché. Pendant plusieurs semaines, les équipes de l’opérateur télécom en entreprise Hub One multiplient les tentatives d’intrusion de toutes sortes, du phishing à l’intrusion physique, pour tester toutes les dimensions de la cybersécurité des informations sensibles de l’entreprise.

 

A l’occasion du Cyber Monday, il est indispensable de garder en tête les bons réflexes en matière de cybersécurité lors des achats en ligne. Pour les consommateurs, il faut en priorité protéger ses mots de passe et être vigilants sur les plateformes utilisées. Pour les commerçants en ligne, votre site doit être sécurisé et il est recommandé de faire appel à des professionnels pour tester et renforcer votre cybersécurité.

Régimes alimentaires : les personnes ne consommant pas de viande davantage exposées à une fracture osseuse

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Les personnes ne consommant pas de viandes sont plus susceptibles de faire une fracture osseuse que ceux qui en mangent, selon une étude menée par des chercheurs britanniques. Cela serait dû à un moindre apport en calcium et en protéines alimentaires, qui permettent la solidification des os.

De nombreuses personnes décident de plus en plus de ne pas manger de viande pour une meilleure santé et pour la protection des animaux, ainsi que celle de l’environnement. Mais ce régime alimentaire aurait une conséquence encore peu étudiée sur la santé des os. En effet, selon une étude britannique publiée dans la revue BMC Medicine, les végétariens, végétaliens et pesco-végétariens sont plus susceptibles de faire une fracture osseuse que ceux qui mangent de la viande.

Un suivi sur dix-sept ans

Pour les besoins de cette étude, les scientifiques ont mobilisé 55.000 personnes réparties en quatre catégories : les mangeurs de viande (29.830 personnes) ; les pescétariens, c’est-à-dire les personnes ne consommant pas de viande mais du poisson, des œufs et du lait (8.037 personnes) ; les végétariens, qui consomment des œufs et du lait (15.499 personnes) ; et les végétaliens, qui ne consomment aucun produit animal (1.982 personnes).

Au début de l’étude, les participants ont renseigné leur régime alimentaire, ainsi que d’autres données sur leur état de santé, leur mode de vie et leur profil socio-économique. Ils l’ont à nouveau fait en 2010. Sur les 17 ans qu’a duré le suivi, les scientifiques ont recensé 3.941 cas de fracture osseuse incluant 945 fractures de la hanche, 889 fractures du poignet, 566 fractures du bras, 560 fractures de la cheville et 366 fractures de la jambe.

Un risque plus élevé de fractures aux hanches, aux jambes et aux vertèbres

Pour chaque type de fracture, les chercheurs ont comparé le risque en fonction du régime alimentaire des participants, en prenant les mangeurs de viande comme référence. Il ressort que, toutes fractures confondues, les personnes ayant un régime sans viande ont plus de risque (43%) de faire une fracture. Ces individus présentent même un risque plus élevé de fractures aux hanches, aux jambes et aux vertèbres. Par contre, il n’y a aucune différence significative pour les fractures du poignet, de la cheville ou du bras.

L’IMC joue un rôle déterminant

Cette situation peut provenir d’un manque de calcium et de protéines lié à leur alimentation. Mais les scientifiques indiquent que cette observation peut avoir un rapport avec l’IMC car les personnes plus minces ont « moins en chair » pour amortir une chute. Les chercheurs invitent donc les adeptes d’un régime à base de plante à s’assurer d’avoir des niveaux adéquats de calcium et de protéines et de maintenir un indice de masse corporelle sain, autrement dit « ni sous-pondéré ni en surpoids ».

Violences conjugales : LVMH va financer 1.000 nuitées d’hôtel pour des femmes victimes

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Le numéro un mondial du luxe LVMH a annoncé mercredi qu’il allait financer, via un don à une association, 1.000 nuitées d’hôtel pour mettre à l’abri des femmes victimes de violences conjugales. Il répond ainsi à l’appel à la mobilisation lancée par le Ministère de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances.

« De cette cause, nul ne peut s’exclure »

A l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, LVMH a décidé de faire un don à la Fondation des Femmes en finançant 1.000 nuitées d’hôtel afin que des femmes et leurs enfants bénéficient d’un hébergement d’urgence. Le groupe a ainsi répondu à l’appel à la mobilisation lancé par Madame Élisabeth Moreno, ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances. La ministre a souhaité mobiliser pleinement les grands acteurs de l’économie française afin qu’ils participent, en interne, mais aussi, de manière plus large sur leurs réseaux sociaux au lancement d’une campagne d’alerte, rendue particulièrement urgente dans le contexte du Covid-19.

« De cette cause, nul ne peut s’exclure et l’implication de LVMH dans cette dernière se doit d’être totale puisque la grande majorité de ses 163 000 collaborateurs sont des femmes (73 %) et la plupart de ses produits s’adressent à elles », indique le géant du luxe. « L’égalité femmes hommes est l’un des axes de la politique ressources humaines du groupe LVMH portée par un programme international – ELLESVMH – fondé il y a près de 15 ans », souligne pour sa part la DRH Chantal Gaemperle. « Sur des sujets d’urgence, comme la protection des femmes et de leurs enfants, priorité absolue à mes yeux, nous nous devions d’apporter notre soutien », renchérit Antoine Arnault, directeur de l’Image et de l’Environnement.

Un engagement de longue date

LVMH rappelle aussi son engagement constant en faveur des femmes et plus généralement des personnes vulnérables, notamment aux côtés de Women & Safe Children, association pluridisciplinaire spécialisée en victimologie et psycho traumatologie. Sa filiale Hennessy soutient de son côté le club Soroptimist afin d’accueillir des femmes (souvent avec enfants) qui fuient leur foyer à cause de violence. Par ailleurs, l’année 2019 a marqué le lancement de l’initiative « Une Journée Pour Soi » par LVMH en collaboration avec le Secours populaire pour soutenir des femmes en situation de précarité, dont un très grand nombre est victime de violences physiques ou psychologiques.

Chaque année, quelque 220.000 femmes subissent des violences conjugales et 93.000 sont victimes de viol ou tentative de viol. Pis, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex en 2019, soit 25 de plus que l’année précédente.