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Congés de Pâques : Le calendrier des zones A, B et C et les destinations idéales

Calendrier au mur

Bientôt ce sont les congés de Pâques, les toutes dernières de l’année scolaire. Puis ce seront les grandes vacances d’été qui durent deux mois. Selon que vous soyez dans les zones A, B et C, les congés de Pâques débuteront pour vous le 6 avril, le 13 ou le 20. Alors prenez d’abord connaissance du calendrier avant de vous mettre à la recherche d’une destination où partir au printemps.

Les congés de Pâques approchent allègrement. Et nous ressentons de plus en plus l’envie de partir, loin là-bas, là où le soleil et la nature éclatent. Mais avant de penser à votre probable destination, prenez d’abord connaissance du calendrier des vacances de Pâques 2019 pour les zones A, B et C. Cela vous évitera bien de désagréments.

Cette année, les congés de Pâques se dérouleront, dans l’ensemble, du 6 avril au 6 mai 2019 en fonction des académies. Ce sont les écoliers de la zone B qui ouvrent le bal. Il s’agit de ceux d’Aix-Marseille, Amiens, Caen, Lille, Nancy-Metz, Nantes, Nice, Orléans-Tours, Reims, Rennes, Rouen et Strasbourg. Ils partiront en congés le samedi 6 avril 2019 pour en revenir le mardi 23 avril. Ensuite viennent les écoliers de la zone A, c’est-à-dire de Besançon, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Dijon, Grenoble, Limoges, Lyon et Poitiers. Pour eux le top départ des vacances du printemps sonnera le samedi 13 avril 2019. Ils reprendront le chemin des classes le vendredi 29 avril. Enfin, il y a les écoliers de la zone C (Créteil, Montpellier, Paris, Toulouse et Versailles) qui profiteront des congés de Pâques 2019 du samedi 20 avril au lundi 6 mai.

Les destinations qui vous feront du bien au printemps

Nous sortons à peine de l’hiver et franchement, le climat n’est pas encore au top. Toujours un peu frais, il n’est pas le meilleur qu’on puisse souhaiter en ce moment. Nous avons plutôt besoin de plus de soleil, de vie, d’éclats naturels. Alors les destinations favorites pour se revigorer seraient les zones tropicales à commencer par l’Afrique. Là-bas le soleil ne manque presque jamais, les loisirs aussi. Il y a surtout sa faune et sa flore exceptionnelles. Rendez-vous au Kenya, en Namibie ou encore l’Afrique du Sud pour des safaris inoubliables. Vous m’en direz des nouvelles. Ensuite, vous pourriez aussi prendre un billet d’avion pour l’Amérique notamment les Etats Unis (Floride, New York, Hawaï etc.), le Mexique, le Brésil, la Bolivie…Vous y découvrirez plein de merveilles et ferez de nombreuses expériences enrichissantes. Enfin il y a l’Asie, toujours plus fascinante. L’Indonésie, le Vietnam, les Philippines sont de belles cartes postales.

Maintenant si vous préférez rester sur le continent européen, tournez-vous vers les pays du sud, proches de la méditerranée. Prenez votre billet de train ou d’avion pour le Portugal, l’Espagne ou Malte. Vous ne regretterez pas votre séjour.

 

Peugeot : Il est possible de réserver la nouvelle 208 dès maintenant

Peugeot 208 au Salon de Genève

Présentée il y a quelques semaines au Salon de Genève, la nouvelle 208 de Peugeot sera seulement disponible à la rentrée. Mais pour les plus impatients, il est possible de faire une réservation dès maintenant. Ils devront toutefois se contenter d’une finition GT Line et d’offres de location longue durée.

Diesel, essence ou électrique ?

L’irrésistible nouvelle 208 de Peugeot, dévoilée lors du salon de Genève (7 au 17 mars 2019), ne sera disponible qu’à la rentrée prochaine. Mais il est possible d’en commander un modèle dès maintenant, avec certaines restrictions. En effet, la réservation ne peut se faire qu’avec la finition GT Line et une offre de location longue durée.  En revanche l’on a un large éventuel de choix entre la 208 à l’essence, celle au diesel et une autre à l’électrique.

Peugeot propose aux plus impatients de réserver dès maintenant un modèle à leur goût avec la finition GT Line et des offres de location longue durée sur 48 mois et 60.000 km. Le client a ainsi la possibilité de choisir entre l’essence, le diesel et l’électrique avec un loyer presqu’identique pour les trois modèles : 2 400 €. Le modèle à essence 1.2 PureTech de 100 ch équipé de la boîte automatique 8 rapports revient à 269 euros bruts par mois ; le modèle à diesel 1.5 BlueHDI de 100 ch couplé à la boîte manuelle 6 rapports à 289 euros par mois ; et le style électrique e-208 avec moteur de 136 ch, batterie de 50 kW et autonomie en WLTP de 340 km à 299 euros par mois, le bonus y compris.

La voiture électrique la plus concurrentielle

En outre, le contrat de maintenance est fixé à 29 euros par mois pour les thermiques et 24 euros mois pour l’électrique. Enfin, côté facture énergie, nous avons 99 € par mois pour l’essence, 74 pour le diesel et 26 pour l’électrique. Ce qui nous donne un total de 392 euros par mois pour le BlueHDi, 397 pour le PureTech et 349 pour l’e-208. Par conséquent l’électrique est le moins cher des trois nouvelles 208.

Un acompte de 500 euros à verser

Pour réserver l’un des modèles, Peugeot demande aux clients de verser un acompte de 500 euros. Quand arrivera le lancement officiel des commandes, les clients qui auront versé un acompte seront contactés pour valider en priorité leur achat. Il leur sera ensuite proposé un essai dans un délai de 7 jours. Après quoi ils pourront décider de confirmer la commande et acheter ou de l’annuler en cas d’insatisfaction.

Google : Deux nouveaux combinés de la gamme Pixel bientôt sur le marché

Un homme prenant une photo de building en contre-plongée

Google devrait bientôt intégrer à sa gamme Pixel, deux nouveaux combinés, selon les sites spécialisés XDA-Developers et 9to5Google. Ils s’appelleront Pixel 3a et Pixel 3a XL. Ces smartphones seraient des versions plus économiques des Pixel 3 et Pixel 3 XL, plutôt haut de gamme. Allons à la rencontre de ces produits en attendant que Google lève le voile.

Des smartphones milieu de gamme ?

Si Google fait le mystère autour de ces prochaines sorties de smartphones, il faut compter sur les « paparazzi » pour nous fournir quelques bribes d’infos avant l’heure. Ainsi, selon les sites spécialisés XDA-Developers et 9to5Google, le géant américain de la Tech s’apprêterait à intégrer deux nouveaux combinés à sa gamme Pixel. Ces nouveaux produits very hi-tech devraient s’appeler Pixel 3a et Pixel 3a XL. Ils seraient des sortes de versions économiques des modèles haut de gamme Pixel 3 et Pixel 3 XL. Ceux-ci coûtent respectivement 859 et 959 euros en ce moment.

Le site XDA-Developers a réussi à dénicher des renseignements sur ces prochaines sorties en fouinant dans le code source de la version bêta d’Android Q. De son côté, 9to5Google affirme qu’il tient ses informations d’une source anonyme vraiment fiable. Une taupe au sein de Google ? C’est au site spécialisé de nous le dire.

Google n’est pas loin du scenario de janvier 2019

Déjà en janvier 2019, de pareilles fuites d’informations ont concerné les Pixel 3 Lite et Lite XL, dont la commercialisation est prévue au printemps 2019. La chaîne YouTube AndroNews avait publié, sans qu’on ne sache comment, un teaser du futur Pixel 3 Lite, montré sous toutes les coutures. Google s’était dépêché de supprimer la vidéo, mais trop tard, de nombreuses copies ayant été déjà faites.

Google devrait vraisemblablement rougir de ces nouvelles fuites d’informations. Mais désolé pour l’entreprise américaine, les geekers eux s’en régalent ! Et il y a de quoi.

Quelques caractéristiques du Pixel 3a dévoilées

Selon 9to5Google, les Pixel 3a et 3a XL arboreront respectivement des écrans 5,6 et 6 pouces. Pour ce qui concerne le Pixel 3a, les renseignements sont plus abondants. Son écran 5,6 pouces serait un Oled et afficherait des images dans une définition de 2.220 x 1.080 pixels (440 dpi). Aussi, il intègrerait le processeur milieu de gamme Snapdragon 670, en plus de posséder une mémoire vive de 4 Go et une batterie de 3.000 mAh. Côté appareil photo, le Pixel 3a offrirait une qualité d’images similaire à celle du Pixel 3, avec un capteur avant de 8 mégapixels et un capteur arrière de 12 mégapixels. Le seul hic, c’est que la caméra pourrait être moins performante.

 

Overdoses médicamenteuses : ce scandale dont personne ne parle 

Les overdoses médicamenteuses tuent chaque année en France plus de 10 000 personnes, soit trois fois plus de victimes que les accidents de la route. Pourtant, le sujet semble largement être passé sous silence. Une campagne de sensibilisation et une réduction des prises de médicaments permettraient pourtant de sauver de nombreuses vies.

La France est le pays au monde où l’on consomme le plus de médicaments. Beaucoup trop pour notre santé ! Résultat de cette addiction aux médicaments : plus de dix-mille morts et 130 000 hospitalisations chaque année. Pourquoi un tel scandale ? Et pourquoi ce silence assourdissant au milieu de l’hécatombe ?

Les réponses sont multiples et les responsabilités partagées. Il y a tout d’abord la facilité que représente le médicament, pilule magique qui pourrait dans l’inconscient régler tous nos problèmes. C’est un leurre, mais c’est parfois réconfortant. A la faiblesse des patients viennent se greffer d’autres motivations.

Les médecins d’abord, qui préfèrent prescrire à outrance pour satisfaire leurs patients en leur donnant ce qu’ils veulent. Les pharmaciens, ensuite, qui souvent (comme c’est notamment le cas pour les antalgiques) recommandent des dosages supérieurs à ceux inscrits dans la posologie. Il y a le poids de l’argent enfin et surtout.

Pas pour la collectivité, ni pour les patients, bien sûr, qui doivent supporter le coût de ces traitements inutiles et nocifs. Mais pour les laboratoires pharmaceutiques, qui se sont imposés depuis des décennies au centre du jeu médical. Tout va bien dans le meilleur des mondes tant qu’on avale leurs pilules.

Mais le silence n’est pas tenable face au nombre de victimes. Une mobilisation du gouvernement et de l’opinion publique permettrait de sauver de nombreuses vies. Selon le Collectif du bon usage du médicament, qui milite pour un usage raisonné et raisonnable des médicaments, entre 45% et 70% des accidents pourraient être évités.

Et la surconsommation médicamenteuse atteint des niveaux dramatiques pour les personnes entre 75 et 84 ans, qui consomment en moyenne 4 médicaments par jour. Des seuils où les risques d’interactions médicamenteuses sont très élevés.

Électricité : quel fournisseur est vraiment le moins cher ?

Depuis l’ouverture à la concurrence des marchés du gaz et de l’électricité en 2007, pas facile de savoir quel fournisseur est le moins cher. Y’a-t-il de réelles différences de tarifs ? Si oui, de quel ordre sont-elles ? EDF est-il vraiment plus cher que les autres ? Décryptage.

Entre l’opérateur historique (EDF) aux tarifs réglementés dits « tarifs bleus » qui augmentent chaque année et la trentaine de nouveaux fournisseurs de l’offre de marché qui garantissent des tarifs fixes, les Français sont de plus nombreux à regarder de plus près leur contrat d’électricité. Et, pour certains, à passer à la concurrence, comme 22 % des foyers résidentiels l’avaient déjà fait en octobre 2018, selon la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Mais pour y voir clair dans le marché de l’électricité, il faut d’abord comprendre l’unité de mesure, le kilowattheure (KWh), dans laquelle sont exprimés ces tarifs.

Qu’est-ce que le Kwh ?

Produit de la puissance en milliers de watts (KW) et de la durée en heures (h), le KWh mesure la quantité d’électricité consommée en une heure par une installation électrique (ampoule, appareil électroménager, résidence, etc.). Pour mieux se rendre compte, 1 KWh correspond l’utilisation d’une ampoule de 100 watts pendant 10 heures, mais aussi à 1000 calories (kcal). À plus grande échelle, 1 500 KWh équivalent à la consommation totale annuelle d’un logement de 80m2 utilisant l’électricité pour l’éclairage et les appareils électroménagers. À partir de cette unité commune, il est donc possible de comparer les tarifs des différents fournisseurs. Pour cela, il faut aussi tenir compte de la puissance maximale du courant nécessaire pour le logement ou le local, exprimée en kVA (kilovoltampère). Pour un studio, 3kVA suffisent généralement, contre 6kVA pour un appartement classique et 9kVA pour un grand logement sans chauffage électrique. Enfin, les tarifs peuvent varier selon que l’on opte pour un prix fixe pour toute la journée (tarif de base), ou plus ou moins élevé selon le moment de la journée (tarif heures pleines/heures creuses).

Pour comparer la différence de tarifs entre chaque fournisseur, il est donc nécessaire de choisir une puissance et un type de tarif donnés, dont le prix s’exprimera en euros par KWh. Dans l’infographie illustrant cet article, cinq fournisseurs ont ainsi été sélectionnés sur une puissance de 6kVA au tarif de base. Parmi cet échantillon assez représentatif du marché français, on constate une amplitude de tarifs significative, qui va de 13,42 centimes d’euros par KWh pour Total Spring à 17,38 centimes par KWh pour Enercoop. Si cet écart (3,96 centimes d’euros par KWh) peut sembler minime, il représente tout de même près de 25 % de différence sur la facture d’électricité, soit plusieurs centaines d’euros par an dans le cas d’un logement chauffé à l’électricité.

Avec un tarif de 14,52 centimes d’euros par KWh, EDF et ses tarifs réglementés se situent en troisième position du classement, à un niveau à peine plus élevé que Total Spring (+1,10 centime d’euros) et beaucoup moins qu’Enercoop (-2,86 centimes d’euros). Entouré de près par Direct Énergie (13,96 centimes d’euros par KWh) et Engie (15,25 centimes d’euros), deux des nouveaux acteurs du marché de l’énergie, le fournisseur historique se défend plutôt bien face à la concurrence féroce de l’offre de marché. Mais est-ce également le cas dans toutes les configurations ?

Prix de l’électricité : pourquoi la hausse est-elle inévitable ?

Dans une étude comparative réalisée auprès d’une dizaine de fournisseurs, EDF affiche là aussi des tarifs compétitifs par rapport aux nouveaux fournisseurs pour 3, 6 et 9 kVA. Derrière Cdiscount et Total Spring, le leader national parvient à se maintenir en milieu de peloton, où il joue des coudes avec Planète Oui et Eni, mais devance systématiquement Enercoop et Engie. Pourtant, le groupe français doit composer avec la hausse globale du coût de l’énergie mondiale et des taxes (CSPE, TCFE, CTA et TVA) qui représentent plus du tiers du prix final de vente. Il est également contraint d’augmenter ses tarifs réglementés chaque année, contrairement aux tarifs fixes de l’offre de marché. Début 2019, la CRE a ainsi proposé une hausse de 5,9 %, que l’État français a décidé de ne pas appliquer dans un premier temps. Pour certaines associations de consommateurs, cette augmentation ne serait pas seulement imputable aux fluctuations du marché mondial, mais aussi aux nouveaux fournisseurs

En captant une part croissante de clients, ces derniers dépassent le volume maximal d’électricité d’origine nucléaire acheté à EDF à prix préférentiel, les obligeant à se fournir sur un marché de gros beaucoup plus onéreux. Moins compétitifs, ils sont alors contraints d’augmenter leurs tarifs. François Carlier, délégué général de l’association CLCV, estime d’ailleurs la prochaine hausse à près de 6 %. Résultat : afin de respecter la loi sur la libre concurrence du privé – et ne pas condamner ses rivaux à la faillite –, EDF n’a pas d’autre choix que d’augmenter ses prix à un niveau comparable. Alors pour mettre un terme à ce cycle sans fin et qui récompense mal les efforts d’EDF pour garder ses prix compétitifs, l’UFC Que Choisir demande à l’État de rehausser le plafond du nucléaire réservé à l’offre de marché. « Il faut surtout blâmer la façon dont la concurrence est organisée, ajoute Antoine Autier, responsable adjoint du service des études d’UFC Que Choisir. Comme les fournisseurs alternatifs ont de plus en plus de clients, il n’y a plus assez de nucléaire à tarif préférentiel pour tout le monde. » À en croire les associations de consommateurs, une réforme du modèle de répartition de l’électricité est en tout cas plus que nécessaire…

Cannes : Le château de Soligny vendu à 55 millions d’euros, nouveau record

A Cannes, le château de Soligny a été racheté à hauteur de 55 millions d’euros, établissant un nouveau record pour la ville. La maison, nichée dans un parc de près d’un hectare face aux Îles de Lérins, était en vente depuis sa rénovation en 2011. Domotique, cave de vins, piscine, marbre d’Italie, sol en cuir…font partie de ses irrésistibles attraits.

C’est un nouveau record à Cannes ! L’ancienne demeure d’Aristide Boucicaut, fondateur du Bon marché, a été rachetée à hauteur de 55 millions d’euros. L’acquéreur serait un homme d’affaires de l’Europe de l’est. Ainsi l’on n’est peut-être pas loin d’un retour en force des milliardaires de l’est en France, après l’épisode russe. En effet, il fut un temps où les Russes avaient fait flamber les prix, notamment à Saint-Jean Cap Ferrat.

45.000 euros le mètre carré

Le château, Soligny qui compte au moins 20 pièces, a été bâti sur une superficie de 1200m². Ce qui fait revenir le m² à 45.000 euros ! La vente record a été réalisée par le groupe Michaël Zingraf Christie’s international real estate. « Il y avait longtemps qu’une transaction de ce montant n’avait pas été réalisée à Cannes », a justement rappelé Heathcliff Zingraf, le PDG du réseau d’agences immobilières de luxe. « Elle a été rénovée avec des matériaux d’exception et fait partie des propriétés les mieux finies que j’ai vues », a-t-il ajouté à propos de la merveille architecturale.

Effectivement, le château Soligny est une sublime demeure qui ne pouvait qu’être rachetée à ce prix-là. Nichée dans un parc de près d’un hectare, face aux Îles de Lérins, la maison comprend un jardin luxuriant et une piscine en forme de couloir de nage à débordement. Elle est aussi équipée de domotique, d’une cave à vins, d’un home cinéma, de marbres d’Italie, de nacres, de sols en cuir…Enfin, elle est entourée d’un parc de 8.000 m².

Un château construit en 1868

Le château situé avenue du Roi-Albert-1er a été construit en 1868 par l’architecte Rimbaud à la demande d’Aristide Boucicaut, fondateur du Bon marché. Abandonnée et complètement en décrépitude pendant des années, la demeure de style baroque a été finalement rachetée aux enchères pour 17,5 millions d’euros en 2011. Elle a été ensuite entièrement rénovée par le groupe Finamas. Cette rénovation avait d’ailleurs permis d’augmenter sa surface de 40 %.

 

Coupe du monde féminine 2019 : Nike dévoile des maillots différents de ceux des hommes

Equipe football féminine de France dans son nouveau maillot

A moins de trois mois de la Coupe du monde de football féminin en France, l’équipementier Nike a dévoilé les différents maillots des équipes engagées dans cette compétition. Cette fois ci les maillots sont spécifiquement féminins, alors qu’auparavant ils étaient tout simplement la forme féminisée de ceux des hommes.

Un défilé au palais Brongniart pour présenter les maillots

Nike a enfin dévoilé les maillots des différentes équipes de la Coupe du monde de football féminin qui aura lieu en France du 7 juin au 7 juillet 2019. Pour la première fois, ces maillots sont typiquement féminins. Par le passé, ils étaient plutôt une forme féminisée de ceux des hommes. Ces nouvelles tenues ont été confectionnées en tenant compte des avis des joueuses qui ont insisté sur certains détails. Il fallait par exemple que ces tuniques soient moins serrées et qu’elles aient un cou en V. Toutes ces différences sont censées donner une vraie âme au football féminin. Pour sa part, Nike encourage les filles à s’assumer pleinement à travers ce message : « Vous avez un corps ? Alors vous êtes une athlète ! ». De quoi susciter la curiosité des professionnels hommes comme l’agent Bakari Sanogo ? L’avenir nous le dira.

La cérémonie de remise officielle des maillots a eu lieu mardi au palais Brongniart à Paris. Toutes les athlètes étaient réunies pour un grand défilé dans leurs nouvelles tenues. Il y avait les joueuses de la France, des Etats-Unis, de l’Afrique du Sud, du Brésil, de l’Australie, de la Corée du Sud, du Nigéria, de l’Angleterre, entre autres.

Le maillot des Bleues se démarquent de celui des Bleus

Les deux maillots de la France sont un blanc à pois bleus pour les matchs à l’extérieur et un brut du bleu marine pour les rencontres à domicile. Pour le maillot à domicile, les différences d’avec celui des hommes sont nombreuses à savoir :

1-Un maillot moins serré que celui des hommes ;

2-La virgule de Nike et le coq sportif sont en rose et bleu chez leurs collègues masculins ;

3-Les mailles sont plus visibles avec des bandes horizontales sur le corps et verticales sur les manches ;

4-Les manches du maillot ont une couleur uniforme, celles des hommes sont d’un bleu clair avec des rayures ;

5-Le col est en forme de V accompagnée de la phrase « Nos différences nous unissent » tandis que chez les Bleus le col est rond avec un bouton ;

  1. Le drapeau bleu blanc rouge se situe à l’extrémité des manches alors que chez l’équipe masculine, il est derrière le col.

 

Bactérie E.coli : Le Moulin de Carel rappelle 5000 boîtes de camembert contaminées

fromage sur une table

La marque Moulin de Carel a rappelé quelques 5000 boîtes de camembert en raison de la présence de la bactérie Escherichia coli, à l’origine de plusieurs troubles dont la diarrhée et les douleurs abdominales. Les boîtes en bois de 250 g, commercialisées depuis le 31 janvier 2019, sont les seules concernées.

Les références du camembert concerné

Environ 5000 boîtes de camembert de la marque normande Moulin de Carel ont été rappelées en raison de la présence de la bactérie Escherichia coli. Il s’agit plus précisément des boîtes en bois de 250 g, commercialisées depuis le 31 janvier 2019. Ces produits sont de la marque sanitaire FR 14.654.001 CE, du Lot L19009C et du Code EAN 3 175 400 612 447. Leur DLUO a été fixée au 10/03/19.

Il est demandé aux personnes détenant encore ces boîtes, de ne pas les consommer et de les rapporter au point de vente où elles les ont achetées. Si ces personnes ont déjà consommé ce lot de camembert et qu’elles présentent les symptômes suivants : gastro-entérite éventuellement hémorragique, accompagnée ou non de fièvre, elles sont invitées à appeler le numéro vert : 05 65 58 54 17.

Monoprix rappelle aussi ses sandwichs et son wrap

Le camembert de la marque normande Moulin de Carel n’est pas le seul produit rappelé ce mardi. Il y a également les sandwichs Le club Poulet-avocat-crudités-piment de 155g et de marque Monoprix, ainsi que le wrap avocat-cruités-galette à l’épinard de 175 g. Ils sont rappelés pour la présence de listéria monocytogenes. Les références du club poulet-avocat sont les suivantes :

Date limite de consommation : 09/03/2019 ; 10/03/2019 et 11/03/2019.

Code-barre : 3350033573499

Code emballeur : EMB91286H

Et celles du wrap sont :

Date limite de consommation : 09/03/2019 ; 10/03/2019 ; 11/03/2019

Code-barre : 3350033573390

Code emballeur : EMB91286H

Le Service clients de Monoprix est joignable au 0800 08 400 pour toute urgence ou pour tout renseignement.

Le camembert Leclerc avant celui de Moulin de Carel

Rappelons-le, ce n’est pas la première fois que des fromages sont rappelés à cause d’une contamination par la bactérie Escherichia coli. En début mars, les magasins Leclerc ont dû rappeler des camemberts « Nos régions ont du talent » et « Moulin de Jort ». Notons aussi qu’en France, la plus grande épidémie alimentaire due à la bactérie E.coli a eu lieu en 2005. Elle avait été causée par la contamination de steaks hachés surgelés.

 

 

Bourgogne-Franche-Comté : Les touristes chinois, les plus nombreux au dernier trimestre 2018

Selon le rapport de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), sur l’activité touristique en France au dernier trimestre 2018, les Chinois constituent la première clientèle étrangère pour l’hôtellerie de la Bourgogne-Franche-Comté. Ils sont suivis des Allemands, des Belges, des Suisses, des Britanniques, des Hollandais…et loin derrière les Américains.

Plus de 60.000 Chinois en Bourgogne au dernier trimestre 2018

Le dernier rapport de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), sur l’activité touristique en France, vient de paraître. Il établit qu’en Bourgogne-Franche-Comté, les Chinois constituent le plus gros contingent des touristes étrangers avec 60.000 individus au dernier trimestre 2018. Bien que ce nombre soit très important, il faut noter qu’il est en baisse de 6% par rapport à la même période en 2018. En deuxième position nous retrouvons les Allemands et en troisième les Belges. En dessous de ce trio, il y a les Suisses, les Britanniques, les Hollandais…et plus loin les Américains qui arrivent en force.

Les touristes Allemands et Britanniques, plus particulièrement, ont augmenté de 10,9% et de 7,5%, portant respectivement leurs nombres à 36.000 et 23.500. Mais ce sont les Américains, bien que moins nombreux, qui connaissent la plus forte hausse. Ils étaient environ 14.000 en Bourgogne-Franche-Comté, au dernier trimestre 2018, soit 31,8% de plus qu’à la même période en 2017.

La fréquentation des Français en baisse

Bien que le nombre de touristes étrangers a considérablement augmenté en Bourgogne-Franche-Comté, sur le dernier trimestre 2018, l’activité hôtelière lui a baissé de 1,1%. La faute aux Français moins présents cette année. Leur nombre est en net recul de -2,5%. C’est la plus forte baisse nationale sur la période après la Corse, a noté l’Insee.

Pris individuellement, les départements de la Côte-d’Or et la Saône-et-Loire sont les seuls à avoir enregistré une hausse de la fréquentation de l’ordre de 0,7 pour le premier et 0,3 % pour le second. La Côte d’Or s’en sort même avec un taux d’occupation hôtelière de 55,1 %, au-dessus de la moyenne régionale de 50,3%.

La Bourgogne-Franche-Comté pourrait faire mieux, de l’avis des experts, car elle est dotée d’un potentiel immense qu’elle n’a pas encore pleinement exploité. Il y a par exemple l’horlogerie, qui constitue un tourisme industriel, et sa gastronomie avec ses grands crus, le vin de Jura ou la saucisse de Morteau.

 

Salon de Genève 2019 : Les constructeurs dévoilent leurs nouveaux modèles

Du 7 au 17 mars 2019, le Salon de Genève ouvrira ses portes au public de 10h à 20h du lundi au vendredi, et de 9h à 19h le week-end. Mais avant cela, deux journées sont réservées à la presse, à savoir les 5 et 6 Mars. Ainsi, depuis ce mardi, la presse spécialisée arpente le hall des expositions de Genève pour découvrir les nouveaux modèles des constructeurs automobiles du monde entier.

Le Salon de Genève a ouvert ses portes ce mardi à la presse, avant l’accueil du grand public prévu à partir de ce jeudi. Même si cette année plusieurs constructeurs comme Ford, Opel, Hyundai, Jaguar, Volvo et Land Rover sont absents, le Salon offrira une riche palette de nouveaux modèles de voitures à couper le souffle, littéralement. Au nombre des marques présentes nous pouvons citer Ferrari, Bugatti, Audi, BMW, Mercédès, Volkswagen, Renault ou encore Nissan.

Les vedettes françaises

Commençons par le cru français avec Citroën. La marque avant-gardiste française est arrivée à Genève avec un concept car Ami One Concept, destiné à célébré le centenaire du groupe. Quant à Renault, il présentera sa Twingo complètement restylée et surtout sa nouvelle Clio 5 en concurrence directe avec la Peugeot 208. Les deux citadines françaises sont d’ailleurs très attendues à cette édition du Salon de Genève.

Eternellement les Allemandes

Outre les constructeurs français, nous avons bien évidemment les marques les plus cotées du monde : Audi, Mercédès, Volkswagen, Ferrari, Bugati, Maserati, Nissan etc. Les Allemandes sont probablement les plus nombreuses à ce salon avec Audi TT RS restylée, Audi Q4 e-tron (concept), Audi SQ5 TDI, BMW Série 3 Touring, BMW X3 M et X4 M, BMW Série 7 hybride rechargeable, BMW X5 hybride rechargeable, Mercedes GLE 53 AMG, Mercedes SL et SLC Final Edition, Mercedes AMG GT R, Roadster, Volkswagen T-Cross, Volkswagen Touareg V8 TDI, entre autres.

Les Italiennes, les Japonaises…épatent

Chez le constructeur italien Ferrari on présente en vedette la F8 Tributo, un superbe modèle dévoilé ce mardi. Il y a aussi l’hypercar nommé « Bugatti La Voiture Noire » qui ne sera produit qu’en un exemplaire pour le moment. Même chose pour la Levante One de Maserati, l’autre marque italienne qui entretient un stand à ce salon.

Bouclons avec le japonais Nissan qui expose un crossover nommé IMQ. Le constructeur présente ce modèle comme les prémices de la nouvelle génération de crossovers.

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